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8 - Exposition - Vente Cabinet expertise Ravon - Témoignages 14-8-44 Bombardement Saintes

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Exposition et Vente

Cabinet expertise Ravon - Abbaye aux dames

*

Témoignages bombardement 14/8/1944 - Saintes

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Images du jour

Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames
Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames

Pendant ce temps au dehors... un prestigieux site L'abbaye aux Dames

Puis deux photos.. l'une d'elles fait penser à la danse des arbres avant l'automne et la seconde me rappelle un témoignage. En effet sous nos yeux un tas de sable et un monticule, à l'entrée du jardin public. Dessous un blockhaus de 39/45, les employés requis pour le construire, mettaient autant de terre que de sable.... ou de ciment.. " sabotage " auraient hurlé les sentinelles allemandes......!!
Puis deux photos.. l'une d'elles fait penser à la danse des arbres avant l'automne et la seconde me rappelle un témoignage. En effet sous nos yeux un tas de sable et un monticule, à l'entrée du jardin public. Dessous un blockhaus de 39/45, les employés requis pour le construire, mettaient autant de terre que de sable.... ou de ciment.. " sabotage " auraient hurlé les sentinelles allemandes......!!

Puis deux photos.. l'une d'elles fait penser à la danse des arbres avant l'automne et la seconde me rappelle un témoignage. En effet sous nos yeux un tas de sable et un monticule, à l'entrée du jardin public. Dessous un blockhaus de 39/45, les employés requis pour le construire, mettaient autant de terre que de sable.... ou de ciment.. " sabotage " auraient hurlé les sentinelles allemandes......!!

Comme promis:Témoignages, extraits de mes rencontres depuis 1994 sur cette douloureuse journée du 14 août.
Comme promis:Témoignages, extraits de mes rencontres depuis 1994 sur cette douloureuse journée du 14 août.

Comme promis:Témoignages, extraits de mes rencontres depuis 1994 sur cette douloureuse journée du 14 août.

Filliollaud Jean – 1921 Epouse née Colas -1924

1939/45 : « La Rigaudière » Ecurat – 17

 

Nous avons vu arriver plusieurs vagues d'avions dans le ciel. Une première vague a largué des bombes, puis il y a eu les sifflements et la pétarade au sol. Et la vague suivante a continué le largage des bombes.

 

Florenceau Paule, née Berthelot – 1911

1939/45 : Petite rue Pont-Amillon (A cette époque, mariée et une fille)

 

A cette époque mon mari faisait des tournées de lait, en plus de son travail, pour le compte de la laiterie des Arènes, il se trouvait vers Chermignac quand il a vu les bombes tomber. Il avait pensé que c'était chez nous.

Mon frère (né en 1921) et un cousin (frère de Claude Berthelot et fils de Maurice), en fait 3 ou 4 personnes, se trouvaient à « La baine » (Chaniers), mon cousin s'était foulé la cheville, mon frère était revenu à la maison chercher des médicaments et des aliments. Je leur avais préparé des tomates farcies. Mon frère était prêt à repartir quand les avions se sont fait entendre, nous à Saintes, étant sur la place de la prison on s'est précipité dans l'impasse, face à la rue Ste Claire, et on s'y était allongé, me couchant sur lui... (le frère..!). On avait la tête dans la porte de la boucherie. Puis après la première salve on s'est tourné vers l'autre côté de l'impasse et nous nous sommes mis dans la cave de M. Loret jusqu'à la fin de l'alerte.

Dans notre maison de la rue Pont-Amillon le lustre de la salle à manger avait été tourné.

Mon mari, étant de la Défense Passive, avait été sur les lieux du drame, cela l'avait mené jusqu'au « Maine ».

Dans ce bombardement nous avons eu des amis tués. Ainsi.. La famille Bouyer, le père est mort, la mère, la fille institutrice. Le fils avait pu se sauver dans une cabane du jardin, mais ce fils, Georges Bouyer, a été traumatisé. Il est décédé d'un cancer quelques années après son mariage. Lucette Bouyer, qui a été tuée, était institutrice à Pisany, elle était venue manger chez ses parents ce jour-là. Elle avait 24 ans (environ), je l'avais eue comme collègue aux Gonds.

 

Fouché Robert – 14/2/1922 (La Rochelle)

1939/45 : Parents rue du jardin du roy (prolongée) – Saintes

 

Ma mère demeurait rue du jardin du Roy, le long des voies ferrées. Dans ce bombardement elle a eu un choc au dos du fait d'une traverse qui avait traversé le toit de la maison. Il y a eu de nombreux morts. M. Richepin, de la rue du colonel De Faucher, a été tué. Il était connu pour ses poésies. 3 membres de la famille Rateau ont été tués, le père, la mère et la fille, employée chez Mlle Montet, dentiste, 154, avenue Gambetta. M. Fouché, rue du colonel de Faucher.. (!.... M).

 

François Gilbert - 1920

39/45" Chez Brouard " St Hilaire de Villefranche

 

Je me trouvais tout près de St Hilaire, j'ai vu des avions passer, ils venaient du nord. En même temps que je regardais ces avions des F.F.I passaient sur la route, ils venaient d'attaquer les Allemands à St Hilaire et ils montaient à Vhâteau-Gaillard (Voir ce combat... De M.S)

 

Gaboriau Marthe – 1913 (Née Montauzier)

1939/45 : Charcuterie – 42, rue St Pallais (angle rue) – Saintes

 

C'était dans la journée et nous nous trouvions au magasin rue St Pallais. Dès que nous avons entendu le bruit des avions et des premières bombes nous sommes descendus dans notre cave avec des clients de notre charcuterie.

 

Gautier Henri – 1925

1939/45 : Dans la poche de St Nazaire.

 

Ma tante, madame veuve Gautier Marie, s'était cachée sous la table et on l'y a retrouvée morte. La maison était éffondrée, elle avait son fils Marcel qui était au S.T.O.

 

Geneau Raymond – Vers les 10 ans en 1944 Fils de André Geneau – 1902

Epouse née Bonnet -

1939/45 : 13, rue Geoffroy Martel (Face à Mme Bonnet)

 

Joseph Geneau est le 65ième sur la liste des victimes établie par la mairie : 65 morts.

Mes grands-parents habitaient à la maison à étage face à la rue du colonel de Faucher, rue Geoffroy Martel. Nos meubles étaient dans cette maison.

Ce matin du 14 août vers les 11 heures, quand les avions ont survolé la ville au dessus du quartier de mes grands-parents, ma grand-mère était dans le jardin auprès de la maison, quant à mon grand-père il était au plein milieu du jardin. (De la rue Geoffroy Martel... à la route de Cognac : Voir croquis..)

Ma grand-mère a regardé les avions et elle a vu la bombe qui arrivait sur la maison. Le souffle de la bombe l'a dévêtue, et cela l'a rendue sourde définitivement, étant obligée par la suite d'apprendre à lire sur les lèvres.

Mon grand-père a été tué sur le coup, monsieur Jaquet, de la D.P, a été retrouvé 8 jours plus tard. Mon grand-père a été retrouvé accroupi et tenant son bedauchon (Binette pour jardiner) contre lui. Le cœur avait été détérioré par le souffle, ou bien il était mort étouffé. On l'avait retrouvé enfoui sous la terre.

C'est ma grand-mère Barraud, de la rue Cabaudière, qui a averti mon père qui se trouvait à Montfaucon-sur Moine (49 – Maine-et-Loire). Mais quelques-jours après seulement.

- Une photocopie de photos, maison détruite, affectée au dossier 14/8/1944

 

Gérain Jacques - 7/1925

39/45: Cours Lemercier

 

J'étais venu voir mes parents, je me trouvais cours Lemercier. De mon jardin j'entendais les tintements, comme des clochettes, des bombes. Puis ensuite les sifflements et rapidement les explosions des bombes, mais ce dernier point échappe à ma mémoire.

 

Germain Marcel - 1909

39/45: " Brassaud " Rétaud

 

Je me trouvais dans les champs, peut-être à bêcher des haricots, vers " Brassaud ". je voyais au-dessus des arbres, en direction de Saintes, un nuage de fumée noir. Des gens, ayant peur, revenaient chez eux en vélo, ne voulant pas rester dans le secteur de Saintes.

 

Ginguenaud Bernadette – 28/10/1934 Copie générale

(Parenté famille Jean Pénis – Témoin)

1939/45 : « Le cabinet » Route de l'épineuil (n° 8, angle avec l'avenue de Saintonge dans les temps modernes)

La famille se composait ainsi : Les parents Ginguenaud et les trois filles : Clairette, Claude et Bernadette. Le père tenait un magasin de confection rue Alsace-Lorraine.

 

Nous nous trouvions à la maison et ce jour-là nous avions des invités. Une amie était venue en vélo, ainsi qu'une autre qui avait amené son fils.

Les hommes avaient creusé une tranchée dans le jardin. Donc ce jour, vers 11 heures, nous avons entendu un bruit et on s'était regardé avec ma mère. Nous avions déjà connu les mitraillages. Nous sommes partis vers la maison pour nous abriter mais notre mère nous a dit qu'il vallait mieux aller dans la tranchée, ce fut alors chacun pour soi. Avant d'avoir pu atteindre la tranchée, le soufffle des explosions nous avait jetés au sol. Claude (décédée en 2/1995 à Gémozac) est passée par le bosquet pour se rendre à la tranchée et une grosse pierre n'était pas passée loin d'elle, allant casser une table du jardin en deux. Dans la tranchée nous étions 7 ou 8 personnes.

Deux maisons s'étaient effondrées dans noter secteur (vers eux...!). Ma mère avait emmené des bougies et quand ils se sont tous retrouvés dans la maison après le bombardement, voyant ma mère avec ses bougies, il y a eu des éclats de rire. Quant à ma sœur (Claude...!) elle avait emmené le réveil pour voir combien de temps cela allait durer... ! Il n'y a eu aucune bombe dans notre jardin.

Un homme, locataire, qui avait connu 32 bombardements à Sotteville (Vers Rouen 76) avait quitté la gare au début de l'alerte, et se sauvant tant bien que mal devant les bombes, était arrivé jusqu'à chez nous. Il était ainsi venu s'abriter chez nous et il avait eu de la chance car une maison qui s'était effondrée était tombée à l'inverse de sa planque.

 

Godet Guy – 4/9/1931

Fils de Georges et Hélène Godet, artisan électricien.

1941/42/43 : Royan

 

Nous nous trouvions au 6, rue Eugène Delaunay et notre père était avec nous. Environ 15 mn avant le bombardement un avion était passé, laissant une traînée blanche derrière lui. Cette fumée s'était déportée et j'en avais fait la remarque à mon père, puis nous étions rentrés.

La sirène a sonné et on était retourné dans la rue, j'avais alors dit... « Regarde les parachutes... ». Quand nous avons entendu le bruit des explosions nous avons eu confirmation que c'était des bombes.

Ce matin-là mon frère Claude a eu de la chance car il voulait aller chercher des poires chez la grand-mère de Gilles Bonastre, dans le quartier Emile Zola. C'était vers les 10 heures, j'en avais alors déconseillé ma mère à cause des bombardements. Guy Bonastre qui avait été chercher des poires a été tué.

Deux ou trois jours après, on a été voir les dommages. Mais j'avais eu peur que les avions reviennent.

 

Gouin Yves - 1912

51, rue St Pallais (Par la suite maison Gouin / Richard vendue à Pierre Souris)

 

A cette époque je me trouvais à 8 / 10 kms de Saintes. Je me trouvais sur une hauteur et je me souviens bien des avions et des bombes qui tombaient sur le quartier Emile Zola. je devais me trouver à Chermignac. Comme j'en avais assez de travailler pour les Allemands (SNCF...) je me mettais souvent en maladie.

 

Goulevant André - 1922

Epouse née Odette Fournel – 1919 (Mariage en 1942)

1939/45 : Epicerie – 8, rue Roger Coumaillaud – Saintes

 

On se trouvait devant notre épicerie et on voyait les avions, ils arrivaient du nord. Avec nous il y avait des réfugiés du nord de la France et ils connaissaient bien le « truc ». Ils nous ont dit que cette fois c'était pour nous. Dans le ciel de Saintes les avions se dirigaient vers « Le Maine ».

Les premières bombes sont tombées rue Emile Zola, sur la fin deux bombes sont tombées vers chez nous ; une au coin du haras natinal, à l'angle de la rue Hoche et l'autre dans cette même rue, mais en dehors du cimétière. La maison Ardaille a été détruite, une bombe y avait fait un gros trou. Une femme, amie de mon épouse,a été tuée dans la palisse derrière chez nous, elle s'y était cachée. Elle a eu la jambe coupée. Elle avait dans les quarante ans et travaillait à la SNCF.

(Mme) J'étais restée au magasin, alors qu'une bombe tombait, j'en ai eu le souffle coupé, peut-être une bombe soufflante... !

J'ai alors pris mon vélo pour partir vers les hauteurs, j'en étais tombé de mon vélo.

Dans le cimetière St Pallais le père Chassériaud avait été déterré par des bombes.

Monsieur Genêt, une amie de mon épouse, alors âgée de 20 ans, avait été écrasée le long d'un mur, vers la rue Emile Zola. La maison n° 30, de la rue Hoche, où M. Maraicher y avait un jardin, a eu son coin de bâtiment endommagé par une projection suite à une explosion.

 

Goumet Yvette - 1920

39/45: " Lormont -bas " (Maison Causse)

 

A cette époque nous étions toujours réfugiés à " Chaumet les violettes ", il arrivait souvent que nous retournions à " Lormont-bas " pour faire des provisions de bois.

Ce matin-là, je préparais la cuisine sous le hangar (Chaumet) faisant chauffer les plats sur un fourneau à lessive. Mon mari était parti à l'arrondissement (grands-bureaux) prendre un papier, tandis-que moi je remplissais la brouette de bois. J'étais donc seule dans le village de Lormont lorsque l'alerte a sonné et que nous avons été bombardés par les " Forteresses volantes ". C'était le nom donné à ces gros bombardiers.

 

Gravat René - 1920

39/45: 26, rue Galliéni - ancien roulant SNCF

 

Nous étions logés rue Gautier, il y avait une vieille dame avec nous et elle avait eu très peur.

 

Grelaud Félicien – 1912

1939/45 : Saintes

 

Le jour de ce bombardement je me trouvais à la réparation d'une locomotive, j'étais dans le foyer. Ainsi les bombardiers américains ont raté la gare / triage, mais ils ont détruit tout le quartier Emile Zola à Saintes.

Après ces bombardements il avait fallu évacuer tous les gravats et autres destructions et au plus vite. Comme on faisait traîner le travail les Allemands nous menaçaient de nous envoyer en camps de concentration. En fait ils n'employaient pas ces termes car on ignorait tout de ces camps.

 

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4 - De l'amiente aux vespatiennes - Rocher et belles fleurs - La rampe de la justice

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Quand les rochers valorisent les fleurs

WC fermés pour cause d'amiente, mais qustion...!

Le palais justice pense à ses clients

Depuis quelques semaines une belle rampe vous guide vers la justice....

Depuis quelques semaines une belle rampe vous guide vers la justice....

A St Pierre, dilemme surtout un jour de foire....
A St Pierre, dilemme surtout un jour de foire....

A St Pierre, dilemme surtout un jour de foire....

Mais la journée de ce lundi de foire à Saintes ne peut se refermer, comme ces belles fleurs, que sur de jolies couleurs.

Mais la journée de ce lundi de foire à Saintes ne peut se refermer, comme ces belles fleurs, que sur de jolies couleurs.

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30 - Graffiti modernes. Invitation vente aux enchères RAVON. St Eutrope et St Pierre.. images imprenables....

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Des graffitis contemporains... expressions murales

St Pierre et St Eutrope.... sous un autre angle

Invitation à une vente aux enchères de classe et de caractère " RAVON "

Téléphone portable perdu.. mais retrouvé

De St Pierre.... direction St Eutrope
De St Pierre.... direction St Eutrope
De St Pierre.... direction St Eutrope
De St Pierre.... direction St Eutrope
De St Pierre.... direction St Eutrope

De St Pierre.... direction St Eutrope

Et sur le passage un objet trouvé, un téléphone portable et diverses cartes. Une Dame, me connaissant, le ramassait juste sur le trottoir du cours, après une rapide tentative de recherches, même pas dix minutes, Mr C........ récupérait son bien. La chance.
Et sur le passage un objet trouvé, un téléphone portable et diverses cartes. Une Dame, me connaissant, le ramassait juste sur le trottoir du cours, après une rapide tentative de recherches, même pas dix minutes, Mr C........ récupérait son bien. La chance.
Et sur le passage un objet trouvé, un téléphone portable et diverses cartes. Une Dame, me connaissant, le ramassait juste sur le trottoir du cours, après une rapide tentative de recherches, même pas dix minutes, Mr C........ récupérait son bien. La chance.

Et sur le passage un objet trouvé, un téléphone portable et diverses cartes. Une Dame, me connaissant, le ramassait juste sur le trottoir du cours, après une rapide tentative de recherches, même pas dix minutes, Mr C........ récupérait son bien. La chance.

Puis je vous invite à une vente aux enchères cette fin de semaine à l'abbaye aux Dames.

Puis je vous invite à une vente aux enchères cette fin de semaine à l'abbaye aux Dames.

Bien sûr je terminerai par des inscriptions de nos temps.... modernes, mais cela a toujours existé depuis l'homme des cavernes, mais en ces temps reculés... loin de là ces com'

Bien sûr je terminerai par des inscriptions de nos temps.... modernes, mais cela a toujours existé depuis l'homme des cavernes, mais en ces temps reculés... loin de là ces com'

30 - Graffiti modernes. Invitation vente aux enchères RAVON. St Eutrope et St Pierre.. images imprenables....
30 - Graffiti modernes. Invitation vente aux enchères RAVON. St Eutrope et St Pierre.. images imprenables....

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27 - Patchwork... de ces derniers jours

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Patchwork

Un peu de tout, mais c'est un peu du quotidien parfois

Les Harkis

Découvertes sur crash

Baptêmes à St Pierre

Les araignées .... impitoyables

C'était dimanche matin à Saintes. Hommages, mais surtout grande tristesse pour cette époque.
C'était dimanche matin à Saintes. Hommages, mais surtout grande tristesse pour cette époque.
C'était dimanche matin à Saintes. Hommages, mais surtout grande tristesse pour cette époque.

C'était dimanche matin à Saintes. Hommages, mais surtout grande tristesse pour cette époque.

Rochevent depuis 1998... toujours des minis découvertes, mais très parlantes.
Rochevent depuis 1998... toujours des minis découvertes, mais très parlantes.

Rochevent depuis 1998... toujours des minis découvertes, mais très parlantes.

Cathédrale St Pierre, baptême de trois adolescentes ce dimanche, durant l'Eucharistie (Messe). Et petit détail à l'entrée... le sanitaire dans tous les domaines, médailles miraculeuses... !!!
Cathédrale St Pierre, baptême de trois adolescentes ce dimanche, durant l'Eucharistie (Messe). Et petit détail à l'entrée... le sanitaire dans tous les domaines, médailles miraculeuses... !!!

Cathédrale St Pierre, baptême de trois adolescentes ce dimanche, durant l'Eucharistie (Messe). Et petit détail à l'entrée... le sanitaire dans tous les domaines, médailles miraculeuses... !!!

Ici nous sommes dans l'impitoyable univers, mais c'est la loi de l'écologie....
Ici nous sommes dans l'impitoyable univers, mais c'est la loi de l'écologie....
Ici nous sommes dans l'impitoyable univers, mais c'est la loi de l'écologie....
Ici nous sommes dans l'impitoyable univers, mais c'est la loi de l'écologie....

Ici nous sommes dans l'impitoyable univers, mais c'est la loi de l'écologie....

Et bien sûr un timbre qui sait nous causer.

Et bien sûr un timbre qui sait nous causer.

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20 - Journées Patrimoine - Avec la SNCF, avec le M.V.C.G Sud Ouest, avec la planche à laver

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Patrimoine quand tu nous tiens

Saintes et alentours

" Le Patrimoine de Pierres ne compte que s'il est appuyé sur le Patrimoine Humain "

Avec l'association " M.V.C.G - Sud Ouest " Véhicules d'époque 39/45, un parcours autour de sites de crashs d'avions, du concret dans la traçabilité

Avec l'association " La roue " de la SNCF, parcours avec un ancien apprenti de la SNCF, spuis les années 1960.

A partir d'une ancienne photo, quai des roches... les fameuses planches lavoirs.

Une vingtaine de personnes, embarquées à bord de vehicules américains, même modèles que ceux qui ont débarqué sur notre sol en juin 1944, ont fait tout un périple, de 9 h à 17 h. J'ai servi de guide sur ce parcours qui a commencé à la halte des Gauthiers, où un avion de la R.A.F avait détruit un train, entre autres, avant de se faire abattre par la DCA au-dessus de Saintes, allant alors se crasher à Ecurat.

Une vingtaine de personnes, embarquées à bord de vehicules américains, même modèles que ceux qui ont débarqué sur notre sol en juin 1944, ont fait tout un périple, de 9 h à 17 h. J'ai servi de guide sur ce parcours qui a commencé à la halte des Gauthiers, où un avion de la R.A.F avait détruit un train, entre autres, avant de se faire abattre par la DCA au-dessus de Saintes, allant alors se crasher à Ecurat.

Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.
Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.
Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.
Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.
Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.

Puis le convoi " militaire " est parti sur la commune de Plassay où un avion allemand " Messerschmitt 109 ", tombant en piqué dans le champ de M. Louradour, le 31/192/1943 , s'était alors enfoncé de plus de trois mètres dans le sol. Si nous n'avons pu voir le point d'impact, à une centaine de mètres d'un chêne séculaire (600 ans...!!!), les participants ont pu voir les restes de l'avion, assez conséquent, dans un bâtiment proche.Sur ce site nous remercions le très bon accueil de la famille Louradour. Enfin départ pour se restaurer dans la salle des fêtes d'Ecurat.

A suivre... Ecurat
A suivre... Ecurat
A suivre... Ecurat

A suivre... Ecurat

Après la restauration, bien méritée, car en effet au départ, vers 8 h 30 il avait plu à torrent. Pour faire environ 80 hilomètres nous avions alors vu le calme du ciel avec plaisir. Puis nous nous sommes rendus au " Moulin des Fougères " à la stèle nous rappelant la chute, le 22 juillet 44, du Mosquito de la " R.A.F ". A noter que sur chaque site j'ai reconter les faits de guerre. Pour St Vaize (Crash d'un JU 88, ayant tué deux Français le 1er février 45) par faute de temps nous n'avons pu nous y rendre, mais ce fait de guerre a été raconté sur le parking d'Ecurat.
Après la restauration, bien méritée, car en effet au départ, vers 8 h 30 il avait plu à torrent. Pour faire environ 80 hilomètres nous avions alors vu le calme du ciel avec plaisir. Puis nous nous sommes rendus au " Moulin des Fougères " à la stèle nous rappelant la chute, le 22 juillet 44, du Mosquito de la " R.A.F ". A noter que sur chaque site j'ai reconter les faits de guerre. Pour St Vaize (Crash d'un JU 88, ayant tué deux Français le 1er février 45) par faute de temps nous n'avons pu nous y rendre, mais ce fait de guerre a été raconté sur le parking d'Ecurat.

Après la restauration, bien méritée, car en effet au départ, vers 8 h 30 il avait plu à torrent. Pour faire environ 80 hilomètres nous avions alors vu le calme du ciel avec plaisir. Puis nous nous sommes rendus au " Moulin des Fougères " à la stèle nous rappelant la chute, le 22 juillet 44, du Mosquito de la " R.A.F ". A noter que sur chaque site j'ai reconter les faits de guerre. Pour St Vaize (Crash d'un JU 88, ayant tué deux Français le 1er février 45) par faute de temps nous n'avons pu nous y rendre, mais ce fait de guerre a été raconté sur le parking d'Ecurat.

Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.
Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.
Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.
Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.
Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.
Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.

Pour conclure notre petit séjour à Ecurat, quelques volontaires se sont rendus sur le point de la chute du " Mosquito " et ont ainsi pu récupérer quelques petits éléments de l'avion.

Merci aux petites mains, mais sans binette et peu de temps devant nous, ce fut mieux que rien... Enfin endroit incontournable, surtout que les participants ne connaissaient pas le site... " Rochevent " Nieul les Saintes. Stèle du capitaine Charles Donald Cole, mort dans son " B 17 " le 5 janvier 1944.

Merci aux petites mains, mais sans binette et peu de temps devant nous, ce fut mieux que rien... Enfin endroit incontournable, surtout que les participants ne connaissaient pas le site... " Rochevent " Nieul les Saintes. Stèle du capitaine Charles Donald Cole, mort dans son " B 17 " le 5 janvier 1944.

Avant de refermer ces pages de notre histoire, nous tenons à remercier les organisateurs, ainsi que les municipalitsé pour leur bon accueil, nous permettant de se restaurer au départ en en fin de ce parcours, mais aussi à la restauration de midi. La commune de Pisany nous avait offert un petit déjeuner sous les halles en centre ville. Ce fut une journée très conviviale, de bons souvenirs qui s'inscriront aussi dans notre histoire.
Avant de refermer ces pages de notre histoire, nous tenons à remercier les organisateurs, ainsi que les municipalitsé pour leur bon accueil, nous permettant de se restaurer au départ en en fin de ce parcours, mais aussi à la restauration de midi. La commune de Pisany nous avait offert un petit déjeuner sous les halles en centre ville. Ce fut une journée très conviviale, de bons souvenirs qui s'inscriront aussi dans notre histoire.
Avant de refermer ces pages de notre histoire, nous tenons à remercier les organisateurs, ainsi que les municipalitsé pour leur bon accueil, nous permettant de se restaurer au départ en en fin de ce parcours, mais aussi à la restauration de midi. La commune de Pisany nous avait offert un petit déjeuner sous les halles en centre ville. Ce fut une journée très conviviale, de bons souvenirs qui s'inscriront aussi dans notre histoire.

Avant de refermer ces pages de notre histoire, nous tenons à remercier les organisateurs, ainsi que les municipalitsé pour leur bon accueil, nous permettant de se restaurer au départ en en fin de ce parcours, mais aussi à la restauration de midi. La commune de Pisany nous avait offert un petit déjeuner sous les halles en centre ville. Ce fut une journée très conviviale, de bons souvenirs qui s'inscriront aussi dans notre histoire.

Patrimoine SNCF

Parcours d'un apprenti, Claude Sabourin, que nous remercions ici.

Nous sommes partis de l'ancien internat des apprentis, passant devant la nouvelle entrée des ateliers, pour refaire un tour devant les anciens grands bureaux... mais c'était avant tous les changements.... Puis retrouvons un instrument de nos ancêtres.. la planche lavoir. Celle-ci servait autant au lavoir municipal qu'en bordure de nos rivières, ici la Charente à Saintes. De ma planche lavoir au quai des roches, hier et aujourd'hui.
Nous sommes partis de l'ancien internat des apprentis, passant devant la nouvelle entrée des ateliers, pour refaire un tour devant les anciens grands bureaux... mais c'était avant tous les changements.... Puis retrouvons un instrument de nos ancêtres.. la planche lavoir. Celle-ci servait autant au lavoir municipal qu'en bordure de nos rivières, ici la Charente à Saintes. De ma planche lavoir au quai des roches, hier et aujourd'hui.
Nous sommes partis de l'ancien internat des apprentis, passant devant la nouvelle entrée des ateliers, pour refaire un tour devant les anciens grands bureaux... mais c'était avant tous les changements.... Puis retrouvons un instrument de nos ancêtres.. la planche lavoir. Celle-ci servait autant au lavoir municipal qu'en bordure de nos rivières, ici la Charente à Saintes. De ma planche lavoir au quai des roches, hier et aujourd'hui.
Nous sommes partis de l'ancien internat des apprentis, passant devant la nouvelle entrée des ateliers, pour refaire un tour devant les anciens grands bureaux... mais c'était avant tous les changements.... Puis retrouvons un instrument de nos ancêtres.. la planche lavoir. Celle-ci servait autant au lavoir municipal qu'en bordure de nos rivières, ici la Charente à Saintes. De ma planche lavoir au quai des roches, hier et aujourd'hui.

Nous sommes partis de l'ancien internat des apprentis, passant devant la nouvelle entrée des ateliers, pour refaire un tour devant les anciens grands bureaux... mais c'était avant tous les changements.... Puis retrouvons un instrument de nos ancêtres.. la planche lavoir. Celle-ci servait autant au lavoir municipal qu'en bordure de nos rivières, ici la Charente à Saintes. De ma planche lavoir au quai des roches, hier et aujourd'hui.

Nous espérons (j'espère) que cette promenade autour d'une partie de notre patrimoine vous aura fait passer un bon moment, certes, intra-muros, mais aussi sur les chemins de la Saintonge avec les organisateurs de " M.V.C.G / Sud-Ouest " dont on voit une derière prise de vue dans le champ du " Moulin des fougères ". (Pour mémoire.. la photo du quai des roches, en N et B,  est tirée du " Fonds ancien & Régional  " Médiathèque de Saintes)
Nous espérons (j'espère) que cette promenade autour d'une partie de notre patrimoine vous aura fait passer un bon moment, certes, intra-muros, mais aussi sur les chemins de la Saintonge avec les organisateurs de " M.V.C.G / Sud-Ouest " dont on voit une derière prise de vue dans le champ du " Moulin des fougères ". (Pour mémoire.. la photo du quai des roches, en N et B,  est tirée du " Fonds ancien & Régional  " Médiathèque de Saintes)
Nous espérons (j'espère) que cette promenade autour d'une partie de notre patrimoine vous aura fait passer un bon moment, certes, intra-muros, mais aussi sur les chemins de la Saintonge avec les organisateurs de " M.V.C.G / Sud-Ouest " dont on voit une derière prise de vue dans le champ du " Moulin des fougères ". (Pour mémoire.. la photo du quai des roches, en N et B,  est tirée du " Fonds ancien & Régional  " Médiathèque de Saintes)

Nous espérons (j'espère) que cette promenade autour d'une partie de notre patrimoine vous aura fait passer un bon moment, certes, intra-muros, mais aussi sur les chemins de la Saintonge avec les organisateurs de " M.V.C.G / Sud-Ouest " dont on voit une derière prise de vue dans le champ du " Moulin des fougères ". (Pour mémoire.. la photo du quai des roches, en N et B, est tirée du " Fonds ancien & Régional " Médiathèque de Saintes)

20 - Journées Patrimoine - Avec la SNCF, avec le M.V.C.G Sud Ouest, avec la planche à laver

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16 - Saintes en 1941. où es-tu liberté chérie..!

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Saintes

1941

" Liberté chérie "

Où es-tu...! 

Selon le journal

" L'Indépendant de la Charente maritime " 

Je remercie le " Fonds ancien " de Saintes, qui m'a permis la consultation de ce quotidien paru durant 5 années. On découvre des extraits de 1941, depuis mars à fin décembre.

Je remercie le " Fonds ancien " de Saintes, qui m'a permis la consultation de ce quotidien paru durant 5 années. On découvre des extraits de 1941, depuis mars à fin décembre.

Les cinq planches photos suivantes représentent, d'une certaine manière différents thèmes regroupés.

Les cinq planches photos suivantes représentent, d'une certaine manière différents thèmes regroupés.

Il y avait à cette époque un homme qui avait une certaine idée de la France, alors nous allons nous faire une certaine idée du quotidien des Saintais.

Il y avait à cette époque un homme qui avait une certaine idée de la France, alors nous allons nous faire une certaine idée du quotidien des Saintais.

De nos jours on ne sait pas ce qu'est devenu le fameux buste du maréchal qui avait été amené de Bordeaux à Saintes, pour être placé en bonne place à la mairie, au moins jusqu'au 4 septembre 44.

De nos jours on ne sait pas ce qu'est devenu le fameux buste du maréchal qui avait été amené de Bordeaux à Saintes, pour être placé en bonne place à la mairie, au moins jusqu'au 4 septembre 44.

Les narrations des faits divers méritent vraiment d'être lus... du sourire au côté vraiment grave des faits et circonstances.

Les narrations des faits divers méritent vraiment d'être lus... du sourire au côté vraiment grave des faits et circonstances.

Nous terminerons cette rapide lecture de ce journal en découvrant le changement de nom d enotre département... d'inférieur il allait devenir maritime, mais il fallait alors la signature d'un fameux Pétain depuis son bureau de Vichy.

Nous terminerons cette rapide lecture de ce journal en découvrant le changement de nom d enotre département... d'inférieur il allait devenir maritime, mais il fallait alors la signature d'un fameux Pétain depuis son bureau de Vichy.

16 - Saintes en 1941. où es-tu liberté chérie..!

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12 - Patrimoine encore et encore: Mon père charpentier à St Pierre

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Patrimoine

" Mon père était charpentier en 1930

et il avait refait la première partie de la charpente

de la cathédrale St Pierre "

Ainsi St Pierre était restée sans toit durant 2 à 3 mois. L'ancienne voûte avait alors été totalement enlevée, mais ce dimanche j'ai pu en retrouver la trace.
Ainsi St Pierre était restée sans toit durant 2 à 3 mois. L'ancienne voûte avait alors été totalement enlevée, mais ce dimanche j'ai pu en retrouver la trace.

Ainsi St Pierre était restée sans toit durant 2 à 3 mois. L'ancienne voûte avait alors été totalement enlevée, mais ce dimanche j'ai pu en retrouver la trace.

Nous apercevons sur la grande photo le plafond sur lequel mon père avait travaillé, le tout remplacé par de belles poutres.
Nous apercevons sur la grande photo le plafond sur lequel mon père avait travaillé, le tout remplacé par de belles poutres.

Nous apercevons sur la grande photo le plafond sur lequel mon père avait travaillé, le tout remplacé par de belles poutres.

Ces photos ont été prises par Pierre Souris, mon père, alors en chantier. La photo montrant la nef entière de la cathédrale provient du " Fonds ancien & Régional / Médiathèque de Saintes ".

Ces photos ont été prises par Pierre Souris, mon père, alors en chantier. La photo montrant la nef entière de la cathédrale provient du " Fonds ancien & Régional / Médiathèque de Saintes ".

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10 - Visite au Fonds ancien Médiathèque de Saintes: Images et souvenirs

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

J'ai fait une visite au " Fonds ancien "

pour y découvrir les plaques photos de...

E.Proust & C.Dangibeaud

Un vrai petit trésor et de belles photos.

En fait je pensais découvrir des photos ou des documents avec un ancêtre (Ernest Pénis), par alliance, qui avait réalisé des photos avec ces deux érudits et photographes saintais... Mais hélas, à cette époque on se photographiait moins que de nos jours, mais il faut savoir que l'appareil photo, sous le voile noir était sorti pour servir l'histoire. 

Et maintenant si on remontait le temps. Quand j'étais adolescent, avec les frères et copains, nous montions sur les " toits " des arènes, à cette époque, pas de barrières et moins de surveillance. On était jeune et il y avait le petit escalier que nous connaissions bien. On le voit sur la photo du " Fonds ancien & Régional "

Et maintenant si on remontait le temps. Quand j'étais adolescent, avec les frères et copains, nous montions sur les " toits " des arènes, à cette époque, pas de barrières et moins de surveillance. On était jeune et il y avait le petit escalier que nous connaissions bien. On le voit sur la photo du " Fonds ancien & Régional "

Puis une autre fois, j'avais découvert un objet perdu.... il y a fort longtemps au cours d'un spectacle dans l'amphithéâtre... une fibule en forme de phallus. Unique car j'en ai vu un autre sur un livre, mais il manque une boule..... Il finira sa vie au musée de Saintes... aux " Objets trouvés ".
Puis une autre fois, j'avais découvert un objet perdu.... il y a fort longtemps au cours d'un spectacle dans l'amphithéâtre... une fibule en forme de phallus. Unique car j'en ai vu un autre sur un livre, mais il manque une boule..... Il finira sa vie au musée de Saintes... aux " Objets trouvés ".

Puis une autre fois, j'avais découvert un objet perdu.... il y a fort longtemps au cours d'un spectacle dans l'amphithéâtre... une fibule en forme de phallus. Unique car j'en ai vu un autre sur un livre, mais il manque une boule..... Il finira sa vie au musée de Saintes... aux " Objets trouvés ".

Découverte sur la droite en entrant par la porte triomphale.... On voit d'ailleurs cette belle porte sur un tableau de M. Tourneur.

Découverte sur la droite en entrant par la porte triomphale.... On voit d'ailleurs cette belle porte sur un tableau de M. Tourneur.

Toujours en regardant de plus près les photos du " F.A " j'ai découvert l'ancien numéro de la cathédrale St Pierre. Après la révolution cette église, étant devenue bâtiment civil et d'état, avait reçu un numéro... le 148. J'ai d'ailleurs vu ce numéro il y a une vingtaine d'années, avant que des travaux ne l'effacent. Avant la révolution on ne  numérotait pas rue par rue, mais des quartiers entiers, c'est pourquoi on trouvait des numéros élevés. Voir aussi le numéro de la maison de M. Dangibeaud.

Toujours en regardant de plus près les photos du " F.A " j'ai découvert l'ancien numéro de la cathédrale St Pierre. Après la révolution cette église, étant devenue bâtiment civil et d'état, avait reçu un numéro... le 148. J'ai d'ailleurs vu ce numéro il y a une vingtaine d'années, avant que des travaux ne l'effacent. Avant la révolution on ne numérotait pas rue par rue, mais des quartiers entiers, c'est pourquoi on trouvait des numéros élevés. Voir aussi le numéro de la maison de M. Dangibeaud.

Le numéro 148 était encore visible dans la niche de la statue, en 1998.
Le numéro 148 était encore visible dans la niche de la statue, en 1998.
Le numéro 148 était encore visible dans la niche de la statue, en 1998.

Le numéro 148 était encore visible dans la niche de la statue, en 1998.

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6 - Shooting photos recherches historiques STATUE - Egout romain

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Statue du jardin public

Suite à une demande historique sur la statue de pierre du jardin public

" Shooting photos "

Mais le photographe (historien) est resté de bois

devant la Dame.... statue de pierre

Mais dommage, car malgré une signature aux pieds de l'œuvre, je n'ai pu retrouver le sculpteur. Nom difficilement visible, mais j'ai quand même consulté mon dictionnaire des Charentais célèbres... en vain. Alors.... partons au jardin public " Fernand Chapsal " Saintes.

Mais dommage, car malgré une signature aux pieds de l'œuvre, je n'ai pu retrouver le sculpteur. Nom difficilement visible, mais j'ai quand même consulté mon dictionnaire des Charentais célèbres... en vain. Alors.... partons au jardin public " Fernand Chapsal " Saintes.

Mais l'élégance se lit aussi en images dites ... portraits
Mais l'élégance se lit aussi en images dites ... portraits
Mais l'élégance se lit aussi en images dites ... portraits

Mais l'élégance se lit aussi en images dites ... portraits

Côté nom du sculpteur et aussi.. un graffiti supposé sauvage.
Côté nom du sculpteur et aussi.. un graffiti supposé sauvage.

Côté nom du sculpteur et aussi.. un graffiti supposé sauvage.

On pourrait lire.... BART ....... !!!!!!!  et devant peut-être la première lettre du prénom. Alors amis historiens et anciens de Saintes, venez à notre secours. Merci.
On pourrait lire.... BART ....... !!!!!!!  et devant peut-être la première lettre du prénom. Alors amis historiens et anciens de Saintes, venez à notre secours. Merci.

On pourrait lire.... BART ....... !!!!!!! et devant peut-être la première lettre du prénom. Alors amis historiens et anciens de Saintes, venez à notre secours. Merci.

Réponse et merci au chercheur... La statue " Femme à la peinture " avait été ramené à Saintes par Fernand Chapsal en 1936. Elle provenait du Trocadéro avant sa démolition, celui-ci allait devenir " Le Chaillot " à Paris.

Quartier St Vivien

Le fameux égout romain

" Il aurait pu être défoncé ce jour

pour des travaux dans la rue des thermes romains.... "

Il y a une vingtaine d'années, des plaques de couvertures s'étaient brisées, alors j'étais descendu dedans, mais étant seul je n'avais pas osé m'aventurer plus loin, vers la cité romaine Port Larousselle et vers la Charente...
Il y a une vingtaine d'années, des plaques de couvertures s'étaient brisées, alors j'étais descendu dedans, mais étant seul je n'avais pas osé m'aventurer plus loin, vers la cité romaine Port Larousselle et vers la Charente...

Il y a une vingtaine d'années, des plaques de couvertures s'étaient brisées, alors j'étais descendu dedans, mais étant seul je n'avais pas osé m'aventurer plus loin, vers la cité romaine Port Larousselle et vers la Charente...

6 - Shooting photos recherches historiques STATUE - Egout romain

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5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

4 septembre 1944

Saintes est sauvée

Libérée définitivement par le Bataillon Violette

Des hommes du colonel Rodolphe André Cézard, dit RAC

Depuis 77 ans, les Saintais ne peuvent oublier cet ultime combat qui aurait pu être néfaste pour beaucoup de Saintais, si des hommes du colonel RAC, bataillon Violette n'y avaient fait le sacrifice de leurs vies. Merci et Honneur à vous.

Depuis 77 ans, les Saintais ne peuvent oublier cet ultime combat qui aurait pu être néfaste pour beaucoup de Saintais, si des hommes du colonel RAC, bataillon Violette n'y avaient fait le sacrifice de leurs vies. Merci et Honneur à vous.

5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944
5 - Libération de Saintes. Sauvée le 4 septembre 1944

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