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24 - Rêve avec E.Macron - 24 juin 1944 - Appel à témoins: Photos anciennes - Témoignages 39-45: Réservoirs avions et accident side-car

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Programme

- 24 juin 1944, on se souviendra toujours

- Rêve avec Emmanuel Macron

Guerre 39/45: Témoignages (documents de travail)

- Mort motocycliste allemand à Saintes

- Largages de réservoirs d'avions sur la ville de Saintes

Poitiers

- " La porte des crues du Claim.

Ne jamais les oublier... Ce fut la nuit de l'horreur pour des milliers de Saintais. En fait 36 morts et une centaine de blessés. Trois soldats allemands reconnus, mais des dizaines d'autres non déclarées par les autorités d'occupation... c'était comme cela.   De Saintes nous partons à Poitiers pour y découvrir une  " Porte " qui nous conte  les débordements du Claim, si j'en ai jugé sur place, notre Charente est aussi en bonne place dans le domaine des crues....
Ne jamais les oublier... Ce fut la nuit de l'horreur pour des milliers de Saintais. En fait 36 morts et une centaine de blessés. Trois soldats allemands reconnus, mais des dizaines d'autres non déclarées par les autorités d'occupation... c'était comme cela.   De Saintes nous partons à Poitiers pour y découvrir une  " Porte " qui nous conte  les débordements du Claim, si j'en ai jugé sur place, notre Charente est aussi en bonne place dans le domaine des crues....

Ne jamais les oublier... Ce fut la nuit de l'horreur pour des milliers de Saintais. En fait 36 morts et une centaine de blessés. Trois soldats allemands reconnus, mais des dizaines d'autres non déclarées par les autorités d'occupation... c'était comme cela. De Saintes nous partons à Poitiers pour y découvrir une " Porte " qui nous conte les débordements du Claim, si j'en ai jugé sur place, notre Charente est aussi en bonne place dans le domaine des crues....

Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M
Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M

Et si nous partions dans la nuit... un instant propice aux rêves, voici le mien de la dernière nuit, mais je suis coutumier du fait.. Obama, le prince William avait aussi habité mes rêves il y a quelques années, c'est ainsi nos heures de sommeil... Ici avec E.M

Je n'ai rien ajouté... certes les images sont absentes...  Mais retour en arrière avec deux témoignages de la guerre sur lesquels j'ai travaillé dernièrement....

Je n'ai rien ajouté... certes les images sont absentes... Mais retour en arrière avec deux témoignages de la guerre sur lesquels j'ai travaillé dernièrement....

Accident de side-car place Bassompierre

Mort d'un soldat allemand en 1943.....

(Témoignages non retouchés)

A suivre.... autre fait de guerre dans le ciel de Saintes et au sol...
A suivre.... autre fait de guerre dans le ciel de Saintes et au sol...

A suivre.... autre fait de guerre dans le ciel de Saintes et au sol...

Pendant la guerre et le survol des avions alliés,

ces appareils se délestaient de leurs réservoirs d'essence supplémentaires et la chute....

au hasard de nos quartiers... 

Un peu plus ancien: APPEL à témoins.. Qui connnait ces personnes... ou ce genre de photos.. Merci de votre aide. M.S
Un peu plus ancien: APPEL à témoins.. Qui connnait ces personnes... ou ce genre de photos.. Merci de votre aide. M.S
Un peu plus ancien: APPEL à témoins.. Qui connnait ces personnes... ou ce genre de photos.. Merci de votre aide. M.S
Un peu plus ancien: APPEL à témoins.. Qui connnait ces personnes... ou ce genre de photos.. Merci de votre aide. M.S
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24 - Rêve avec E.Macron - 24 juin 1944 - Appel à témoins: Photos anciennes - Témoignages 39-45: Réservoirs avions et accident side-car

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21 - Famille allemande à Saintes pour l'honneur du père Jacob Kölmel - Orgue à St Pierre

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Une famille allemande à Saintes

Pour l'honneur du père et de leur nom

" Capitaine médecin Jacob Kölmel "

Deux jours à Saintes,

sur les traces du père,

mais aussi honorée par l'accueil du maire.

Je les ai accueillis sur le quai de la gare, ce n'était pas de simples touristes.

Je les ai accueillis sur le quai de la gare, ce n'était pas de simples touristes.

Entre la visite des points stratégiques de Saintes " 39/45 " et l'accueil en mairie, avec la remise d'un beau livre souvenir de notre ville, ce fut aussi un temps de restauration au restaurant " La Terrasse ".

Entre la visite des points stratégiques de Saintes " 39/45 " et l'accueil en mairie, avec la remise d'un beau livre souvenir de notre ville, ce fut aussi un temps de restauration au restaurant " La Terrasse ".

Avec une invitée de 87 ans.. j'avais organisé cette rencontre, avec Gyslaine Bertin, car sa propre sœur avait été sauvée de la noyade, alors âgée de 4 ans, par un officier allemand. " Le monde n'était pas totalement cruel ". Bien sur en fin du déjeuner j'ai remis un coffret souvenir à la famille Kölmel.... De l'époque gallo-romaine de Saintes au crash d'un bombardier américain  (Sans oublier un aviateur allemand abattu et tué dans ce fait de guerre).
Avec une invitée de 87 ans.. j'avais organisé cette rencontre, avec Gyslaine Bertin, car sa propre sœur avait été sauvée de la noyade, alors âgée de 4 ans, par un officier allemand. " Le monde n'était pas totalement cruel ". Bien sur en fin du déjeuner j'ai remis un coffret souvenir à la famille Kölmel.... De l'époque gallo-romaine de Saintes au crash d'un bombardier américain  (Sans oublier un aviateur allemand abattu et tué dans ce fait de guerre).

Avec une invitée de 87 ans.. j'avais organisé cette rencontre, avec Gyslaine Bertin, car sa propre sœur avait été sauvée de la noyade, alors âgée de 4 ans, par un officier allemand. " Le monde n'était pas totalement cruel ". Bien sur en fin du déjeuner j'ai remis un coffret souvenir à la famille Kölmel.... De l'époque gallo-romaine de Saintes au crash d'un bombardier américain (Sans oublier un aviateur allemand abattu et tué dans ce fait de guerre).

Quelques images de Jacob Kölmel en poste à Saintes entre 1941 et 1942 (Caserne Taillebourg / Abbaye aux Dames)
Quelques images de Jacob Kölmel en poste à Saintes entre 1941 et 1942 (Caserne Taillebourg / Abbaye aux Dames)
Quelques images de Jacob Kölmel en poste à Saintes entre 1941 et 1942 (Caserne Taillebourg / Abbaye aux Dames)

Quelques images de Jacob Kölmel en poste à Saintes entre 1941 et 1942 (Caserne Taillebourg / Abbaye aux Dames)

Mais revenons sur un temps plus apaisé, en précisant que cette rencontre avec cette famille a été chargé d'émotion et de larmes aux yeux, en effet pour le peuple allemand... ce fut très lourd d'accepter ce passé tellement barbare. Enfin un bon repas bien de chez nous a conclu ce séjour dans la bonne humeur et avec de bons souvenirs de ce passage en notre cité.
Mais revenons sur un temps plus apaisé, en précisant que cette rencontre avec cette famille a été chargé d'émotion et de larmes aux yeux, en effet pour le peuple allemand... ce fut très lourd d'accepter ce passé tellement barbare. Enfin un bon repas bien de chez nous a conclu ce séjour dans la bonne humeur et avec de bons souvenirs de ce passage en notre cité.
Mais revenons sur un temps plus apaisé, en précisant que cette rencontre avec cette famille a été chargé d'émotion et de larmes aux yeux, en effet pour le peuple allemand... ce fut très lourd d'accepter ce passé tellement barbare. Enfin un bon repas bien de chez nous a conclu ce séjour dans la bonne humeur et avec de bons souvenirs de ce passage en notre cité.
Mais revenons sur un temps plus apaisé, en précisant que cette rencontre avec cette famille a été chargé d'émotion et de larmes aux yeux, en effet pour le peuple allemand... ce fut très lourd d'accepter ce passé tellement barbare. Enfin un bon repas bien de chez nous a conclu ce séjour dans la bonne humeur et avec de bons souvenirs de ce passage en notre cité.

Mais revenons sur un temps plus apaisé, en précisant que cette rencontre avec cette famille a été chargé d'émotion et de larmes aux yeux, en effet pour le peuple allemand... ce fut très lourd d'accepter ce passé tellement barbare. Enfin un bon repas bien de chez nous a conclu ce séjour dans la bonne humeur et avec de bons souvenirs de ce passage en notre cité.

21 - Famille allemande à Saintes pour l'honneur du père Jacob Kölmel - Orgue à St Pierre

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11 - Niort Saintes... Les locomotives de la mort 28 juillet 1944

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Ils étaient 4 roulants de Saintes

Mécaniciens, chauffeurs

Deux locomotives tiraient un train de troupe allemand

" La mort en chemin pour l'un des cheminots.... "

 

Ce ne fut pas sans émotion que j'ai retravailler ce dossier sur plusieurs jours.....  J'ai bien connu la fille de François Gicquel, Mme Linais.

Ce ne fut pas sans émotion que j'ai retravailler ce dossier sur plusieurs jours..... J'ai bien connu la fille de François Gicquel, Mme Linais.

Mitraillage à Aiffres - 79

Vendredi 28 juillet 1944

Mort de François Gicquel

Décédé dans la nuit à Niort le 29 juillet 1944 (3 h 00)

7/9/1896 - 29/7/1944

 

Témoignages:

Beauchamp Michel – 1938

1944 : 15 bis, rue Fernand Chapsal – Saintes

Fils d'André Beauchamp, mécanicien roulant SNCF, grièvement blessé par suite d'un déraillement / sabotage.  

Le « roulant » Gicquel a été tué au cours d'un mitraillage aérien à Aiffres. Sa veuve restait rue Pallue de la barrière. (27/3/1995)

Belin André – Né en 1924

Mon père Joseph Belin était roulant, il avait souvent comme compagnon : Méchain Camille.(1994)

Dans la région de Niort à Aiffres le train de mon père a été mitraillé par un avion. Les hommes de la locomotive avaient alors sauté de la machine. Une balle avait tapé dans l'essieu de la machine.

- - - > Attention: le roulant Belin ne semblait pas avoir été dans les locomotives mitraillés à Aifffres ce 28/7

Brisson James -

" Le pérot " Aiffres

A cette époque nous demeurions vers le P.N n° 345. La dame du P.N était absente mais pas très éloignée, elle a eu de la chance car une balle avait traversé la barrière et aussi traversé la cuisine. Mais était-ce bien à ce mitraillage... ! La maisonnette qui était au P.N 344 a été détruite par la suite, elle avait essuyé des tirs le jour du mitraillage. (1996)

Frappé Robert - 1920

1944: " Chez Corbin " Chaniers

La veille du mitraillage, le train (les wagons) venant de Saintes avait transporté des Allemands. Le jour du mitraillage à Niort (79), dans la matinée on avait aperçu des avions tournant dans le ciel, c'était des " Deux-queues " (P 38), aussi nous étions venus au réfectoire et on nous avait demandé de nous préparer. Pour ces alertes un drapeau spécial était utilisé.

On s'était rendu à Niort, changeant les locomotives à Champdeniers (79), on rentrait donc au dépôt.

On reprend la route 3 jours après (!!!!), avec un train de soldats allemands qui devaient quitter la région, on ne pouvait pas passer par Nantes, les militaires étaient dans des wagons à bestiaux. Il y avait deux locomotives (Train T.C.O). Dans la première loco il y avait Friou (Chauffeur) et Gicquel (mécanicien), dans la deuxième j'étais avec Jules Boyer.

On venait de nous signaler l'alerte, on était alors sorti du triage de Niort, à Romagné (86). Prenant la ligne de Saintes, nous n'avons pas marqué l'arrêt à la première gare (certainement Aiffres... de M.S) où le chef de gare, sur le quai, nous signale l'alerte (!!!).

Ainsi, peut-être vers les 14 heures, au P.N 344, avant Fors (79), en venant d'Aiffres, un avion a attaqué. Un peu plus tard nous avons demandé à la dame du P.N de partir avec sa fille, mais elles avaient voulu rester. Nous nous trouvions à environ 300 mètres de la gare (de la dernière traversée... !!!!!) en pleine rampe (côte) quand un avion passe, il fait deux tirs, les locos sont perforés. Nous roulions à ce moment-là à environ 40 km/h. J'ai alors dit à mon compagnon, Boyer, de sauter, c'est ce que nous avons fait et nous sous sommes retrouvés sur le ballast contusionné, en ce qui me concerne la tête et les coudes. Par la suite j'ai vu que j'avais reçu des petits éclats de balles explosives (du 20 mm ... !!), au coude gauche, à la main droite et au-dessus de la tête, 3 ou 4. Mon compagnon avait été blessé à l'oreille, dès qu'il bougeait le sang pissait.

Après avoir sauté je m'étais retrouvé dans un champ de blé parmi les quintaux. J'étais ensuite revenu sur le lieu du mitraillage, cherchant mon compagnon. j'ai alors vu un homme étendu, c'était François Gicquel, je lui avais dit..." Alors François... tu te tournes.. ", il gémissait. Comme je viens de le dire il décédera dans la nuit , vers 2 heures, à l'hôpital de Niort.

Friou et Gicquel étaient dans la loco devant nous, un jet de vapeur venait d'ébouillanter François Gicquel, il en décédera le soir à l'hôpital, il avait une figure énorme. Quant à Paul Friou il était brûlé au bas ventre par la vapeur, ses vêtements sont collés aux " parties " (Intimes), mais il survivra.

Par la suite nous avons été emmenés à l'hôpital St Florent de Niort, en ce qui me concerne on m'avait emmené à l'hôpital sur le toit d'un camion de paille. Quand on m'a soigné on m'avait enlevé les éclats avec une pince à épiler.

Le lendemain matin, le curé du faubourg St Florent de Niort, vient à l'hôpital faire la visite des malades. Je lui avais demandé des nouvelles de Gicquel et c'est là que j'ai appris sa mort.

Dans ma chambre il y avait un autre homme, originaire d'Alsace, c'était un commerçant qui ravitaillait un grand magasin de Saintes, la " Maison Universelle ". Il revenait d'un camp de prisonniers et il était très maigre. Comme je n'avais pas très faim, malgré cela j'avais acheté des provisions la veille (Souvent le panier des roulants... M.S), j'ai donné mes provisions à cet homme, lui disant de ne pas trop en manger à la fois.

Comme cela allait mieux pour moi j'étais sorti faire un tour à Niort. Mon compagnon Bouyer restant dans sa chambre, d'ailleurs il avait un sacré trou derrière son oreille.

Alors que le curé me parlait, je pensais plutôt partir avec une voiture qui était stationnée dans la cour. C'était une voiture de l'arrondissement de Saintes, avec M. Brizard (De Lormont), le chauffeur des grands-bureaux (Locaux administratifs et de la direction SNCF). C'est ce qui s'est passé, nous sommes revenus à Saintes, sans oublier mon panier, suite à ma demande. par contre je n'avais pas pris le temps de récupérer les papiers. A Saintes la voiture nous a laissé devant l'arrondissement. A cette époque, suite au bombardement, nous étions réfugiés " Chez Corbin " (4 km au NNW de la mairie de Chaniers). Cette voiture avait amené Mme Gicquel et Mme Friou. (25/3/1995-1996)

Notes de M.S: Au vu des récits la zone du mitraillage devait se situer entre " La plaine des rotis "et " St Clément ".

Friou Jacques - 1936 (fils de Paul Friou)

1944: Cité St Jean - Saintes

Nous habitions cité St Jean à Saintes, mais par mesure de sécurité on s'était retiré aux Gonds.

Après le mitraillage d'Aiffres, un forgon de la SNCF nous avait enmené à l'hôpital de Niort. Il y avait ma mère et moi-même et Mme Gicquel et sa fille. On était venu nous chercher vers les 13 heures.

A l'hôpital j'ai vu une chose que j'ai toujours devant les yeux. Ils ont soulevé un drap et j'ai vu le corps de Gicquel tout brûlé. Mon père avait aussi été brûlé par des jets de vapeur de la loco percée. une balle le frôlant, lui avait fait une estrafilade sur la poitrine.

Les hommes avaient sauté du train après les tirs, un allemand " accompagnant " avait aussi été blessé. (9/4/1996)

Friou Paul - 1906

1944: Cité St Jean - Les Gonds Saintes

Je travaillais à la S.N.C.F comme roulant. J'avais été élève mécanicien, j'avais eu comme compagnon roulant Gicquel, ceci durant 4 ans.

La journée durant laquelle nous avons été mitraillés, je faisais un train en double, en fait: Frappé / Boyer et Gicquel, dit " Toto " et moi-même, dit " Popol " nous avions une loco " 230 " (Attention... ou " 141 ", n'est plus sûr).

Le train tirait 55 wagons, il y avait environ 500 chevaux, Nous partions pour Bordeaux. Quand nous étions à Fors (79) un avion est arrivé, c'était vers les 14 heures, nous avons été blessés tous les quatre.

Gicquel avait sauté de sa machine et moi j'avais grimpé sur le tander. Gicquel a été tué sur le coup en sautant.

J'ai ensuite été hospitalisé 2 jours à l'hôpital de Niort, puis un jour à Saintes. A l'hôpital de Niort quand j'y avas été soigné, j'étais brûlé et couvert de sang.J'ai eu un arrêt de travail de 4 mois. (8/4/1996)

- - - > Attention mémoire défaillante... !!!

Guittet Albert – 1911

1939/45 : Cité (Rose) Boutin – Saintes

Giquel, mécano, un breton. J'avais vu le corps et il avait le visage très gonflé. Il avait été tué à Aiffres par mitraillage aérien, avant Niort. Je n'ai pas pu faire ce train, ce qui aurait été le cas si je n'avais pas eu à partir à La Rochelle voir des relations. (1994/1997)

Linais Christianne, née Gicquel (épouse de François Gicquel)

1944: 42, rue Pallue de la barrière - Saintes

Mon père avait fait la guerre 14/18. Il était né en 1896 et était arrivé à Saintes en 1936, il arrivait de Segré en Anjou.

Comme " roulant SNCF " il faisait souvent des déplacements en Bretagne, c'était parfois des trains de munitions.

Cette journée-là il revenait de Niort. Un avion était alors arrivé, je pense qu'il y en avait plusieurs, l'appareil était en piqué sur son train qui transportait des Allemands.

Sous les tirs des avions les tuyaux de vapeur ont éclaté.... " Papa a été brûlé et sous la douleur et voulant s'écarter du danger il avait sauté sur le ballast... "

Il était tellement brûlé qu'on n'a pas pu lui enlever son tricot de peau.

Je m'étais rendue sur place le lendemain, on nous avait averti le soir même du mitraillage. Mais en cours de route nous avions été obligés de nous arrêter et de nous jeter dans un fossé, un avion nous survolant.

L'enterrement a eu lieu à l'église St Vivien de Saintes, puis nous avons été à son inhumation au cimetière St Pallais. Sur place il y avait une délégation d'Allemands en tenue.

Nous n'avons pas voulu de condoléances au cimetière, mais on nous en a prié. Pour l'inhumation on nous avait prêté un caveau. Par le suite le corps de mon père a été ramené en Anjou. (10/4/1996)

De Mme Richeux, une voisine de la famille Linais:

L'endroit où il a été tué avait des platanes, elle y était passée une fois.

Noël Olivier -

Récit de sa mère Noël Réjane (Copie de la lettre transcrite à la première personne)

12 à 13 ans le jour de l'attaque.

" Je revenais de l'école lorsque j'ai entendu la sirène et vu deux avions (avec des bombes). A ce moment-là, je me suis planquée. Au loin je voyais la vapeur du train. A la suite de cela, j'ai appris que un mécanicien était là pour stopper la locomotive (avec des serre-freins). Qu'il avait été transporté dans la maisonnette. Il était gravement blessé. Je croyais qu'il était mort.

Je me rappelle que le train avait des wagons d'animaux, de matériels: Camions, tanks.

Monsieur Gicquel et Friou étaient connus de notre famille. Quand cette attaque a eu lieu je transportais deux litres de pétroles que j'avais eu avec des bons.

Le numéro de la maisonnette de mes parents était le 341 - PN 341 ".

(Voir la photo qui doit correspondre, elle ma été donnée) (8/5/1996)

Tesson René - 1917 (Roulant)

1944: 1, rue des cyclamens - Saintes

J'étais dans le fossé de graissage de ma locomotive à Niort. Un avion a fait plusieurs allées et venues en mitraillant. C'est ce jour-là que Gicquel a été tué dans sa loco en tête du train. (24/10/1994)

 

*

 

Attention: Ceci est un document d'études, témoignage brut. M.S le 11/6/2021

11 - Niort Saintes... Les locomotives de la mort 28 juillet 1944
11 - Niort Saintes... Les locomotives de la mort 28 juillet 1944
11 - Niort Saintes... Les locomotives de la mort 28 juillet 1944
Nous comprenons sans peine cette souffrance affligée à ce roulant.... victime de graves brûlures, sa fuite en sautant sur le ballast, dans cette campagne au sud de la ville d'Aiffres. Pour les " roulants ", surtout en 1944, les attaques aériennes étaient permanentes, OUI le monde cheminot  a payé lourdement en ce temps d'occupation, de résistance et des combats de la libération.
Nous comprenons sans peine cette souffrance affligée à ce roulant.... victime de graves brûlures, sa fuite en sautant sur le ballast, dans cette campagne au sud de la ville d'Aiffres. Pour les " roulants ", surtout en 1944, les attaques aériennes étaient permanentes, OUI le monde cheminot  a payé lourdement en ce temps d'occupation, de résistance et des combats de la libération.
Nous comprenons sans peine cette souffrance affligée à ce roulant.... victime de graves brûlures, sa fuite en sautant sur le ballast, dans cette campagne au sud de la ville d'Aiffres. Pour les " roulants ", surtout en 1944, les attaques aériennes étaient permanentes, OUI le monde cheminot  a payé lourdement en ce temps d'occupation, de résistance et des combats de la libération.
Nous comprenons sans peine cette souffrance affligée à ce roulant.... victime de graves brûlures, sa fuite en sautant sur le ballast, dans cette campagne au sud de la ville d'Aiffres. Pour les " roulants ", surtout en 1944, les attaques aériennes étaient permanentes, OUI le monde cheminot  a payé lourdement en ce temps d'occupation, de résistance et des combats de la libération.

Nous comprenons sans peine cette souffrance affligée à ce roulant.... victime de graves brûlures, sa fuite en sautant sur le ballast, dans cette campagne au sud de la ville d'Aiffres. Pour les " roulants ", surtout en 1944, les attaques aériennes étaient permanentes, OUI le monde cheminot a payé lourdement en ce temps d'occupation, de résistance et des combats de la libération.

J'ai retrouvé les squadrons (anglais ici, mais aussi américains) qui intervenaient régulièrement sur les réseaux de la SNCF.. Leur mission dite " Ranger " était de détruire tout ce qui se trouvait sur les voies ferrées. Alors de plus la résistance sabotant au maximum les voies ferrées, les roulants étaient là aussi les premières victimes. Nous sommes loin des plages de Normandie, mais tout à leur honneur, ce fut le PRIX DE LA VICTOIRE.
J'ai retrouvé les squadrons (anglais ici, mais aussi américains) qui intervenaient régulièrement sur les réseaux de la SNCF.. Leur mission dite " Ranger " était de détruire tout ce qui se trouvait sur les voies ferrées. Alors de plus la résistance sabotant au maximum les voies ferrées, les roulants étaient là aussi les premières victimes. Nous sommes loin des plages de Normandie, mais tout à leur honneur, ce fut le PRIX DE LA VICTOIRE.
J'ai retrouvé les squadrons (anglais ici, mais aussi américains) qui intervenaient régulièrement sur les réseaux de la SNCF.. Leur mission dite " Ranger " était de détruire tout ce qui se trouvait sur les voies ferrées. Alors de plus la résistance sabotant au maximum les voies ferrées, les roulants étaient là aussi les premières victimes. Nous sommes loin des plages de Normandie, mais tout à leur honneur, ce fut le PRIX DE LA VICTOIRE.

J'ai retrouvé les squadrons (anglais ici, mais aussi américains) qui intervenaient régulièrement sur les réseaux de la SNCF.. Leur mission dite " Ranger " était de détruire tout ce qui se trouvait sur les voies ferrées. Alors de plus la résistance sabotant au maximum les voies ferrées, les roulants étaient là aussi les premières victimes. Nous sommes loin des plages de Normandie, mais tout à leur honneur, ce fut le PRIX DE LA VICTOIRE.

La dernière photo montre le PN 341. Parmi les personnes un des membres de la famille Noël qui avait recueilli le corps d'un mourant... en effet François Gicquel est mort à l'hôpital de Niort à 3 h 00 dans la nuit. Son épouse et Mme Friou était montées sur le lieu du drame, la direction de la SNCF de Saintes leur avait proposé le transport en véhicule.
La dernière photo montre le PN 341. Parmi les personnes un des membres de la famille Noël qui avait recueilli le corps d'un mourant... en effet François Gicquel est mort à l'hôpital de Niort à 3 h 00 dans la nuit. Son épouse et Mme Friou était montées sur le lieu du drame, la direction de la SNCF de Saintes leur avait proposé le transport en véhicule.

La dernière photo montre le PN 341. Parmi les personnes un des membres de la famille Noël qui avait recueilli le corps d'un mourant... en effet François Gicquel est mort à l'hôpital de Niort à 3 h 00 dans la nuit. Son épouse et Mme Friou était montées sur le lieu du drame, la direction de la SNCF de Saintes leur avait proposé le transport en véhicule.

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6 - St Sever de Saintonge - Beillant - Il avait 19 ans et travaillait pour la SNCF en été 1944

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Emile Slanka

" Il avait 20 ans "

Il s'était caché sous un wagon

pensant être à l'abri des balles des avions anglais.....

" 19 juillet 1944 "

Triangle SNCF de Beillant

Saint-Sever-de-Saintonge 17

6 - St Sever de Saintonge - Beillant - Il avait 19 ans et travaillait pour la SNCF en été 1944

Mitraillage de " Beillant " - 19 juillet 1944

Saint Sever de Saintonge

" Mort d'Emile Slanka "

Témoignages

Barbot A -

Un après-midi, vers 17 heures, des avions ont mitraillé la gare. Une personne a été tuée vers les halles de " Beillant ", appelées " le triangle " du fait des liaisons des voies ferrées. Il s'appelait Slanka et avait un frère à Chaniers. (18/12/1993)

Bourinet Jean-Claude - 1936 (Beillant - St Sever)

J'étais à nager dans la Charente, quand des avions sont arrivés et ont mitraillé. Ils ont rasé la gare, un homme de la COOP nous a fait sortir et on s'était mis dans un fossé. Ce jour-là un nommé Slanka a été tué. (1998)

Doucet Armand - (Parents PN de St Sever de Saintonge)

Dans le parc de " Beillant " un nommé Slanka a été tué par mitraillage aérien. A cette époque un nommé Foulon travaillait avec Slanka au parc. (1994/1997)

Doucet James - 27 ans en 1944

C'était un après-midi, un avion est venu mitrailler le parc, en fait dans le triangle de la SNCF. Un travailleur privé a été tué, il s'agit de Slanka. Un autre homme a eu un œil crevé, il s'appelait Stéphen .... ! (1994)

Foulon Marcel - 1916

A cette époque je travaillais au parc de " Beillant ", SNCF. J'étais dans l'entreprise Chaussat en tant que chef d'équipe. Je me trouvais à la halle de déchargement, quand surgirent deux avions canadiens (Etoile.... ), au-dessus des bois " des sablières ". Les ouvriers eurent à peine le temps de se camoufler, en effet les avions, prenant les chaudières à bois pour des locomotives, prirent celles-ci en enfilade sous leurs feux , je n'ai rien eu, mais monsieur Slanka (Jean) avait ses trois fils et parmi eux il y a eu des blessés. Il y avait Ludovic, Emile et Joseph. Ludovic avait été blessé à la main. M. Delaisse avait aussi été blessé. Emile Slanka avait été grièvement blessé par une balle qui avait ricoché.

J'avais alors sorti Emile de dessous le wagon où il s'était réfugié, il avait été gravement touché à la poitrine. Il avait été emmené au café " Wenden " puis en ambulance à l'hôpital de Saintes. Il est mort suite à ses blessures, ces tirs furent une erreur.

Il y a eu des impacts dans la gare elle-même et sur le mur de la halle, toujours visibles. (1994)

Parvery Marie-Louise - 1918 (Veuve de René Parvery) Saintes

C'était un après-midi, on allait ramasser des pissenlits, un petit avion était passé en mitraillant. le fils Brun qui travaillait sur le parc (de Beillant..) avait été tué, il s'était caché sous une locomotive. (1997) Remarque: Il y a certainement confusion sur le nom, en effet un autre témoin cite Brun mais ne parle pas de son décès. Témoin Guérin Gilbert (11/1994

Slanka Ludovic - 16 ans en 1944

En 1944 je travaillais avec mon père et mes frères dans une entreprise d'Angoulème.

Un après-midi, alors que je travaillais dans le parc de " Beillant ", gare de St Sever de Saintonge, deux avions canadiens sont arrivés (Nationalité constatée où cela lui a été dit.... M.S) et ont survolé les voies ferrées en arrivant du côté de Bordeaux et en se dirigeant vers Saintes.

Nous apercevions très bien la tête des aviateurs. Il y avait deux hommes par avion (certainement des " Mosquito "), ceux-ci tiraient des balles perforantes et explosives. Ces avions avaient lâché des fusées, mais c'était trop tard au parc. Ainsi il y a eu six blessés dont un homme grièvement.

Mon frère Emile Slanka, âgé de 18 ans, a été grièvement blessé. Il a été emmené à l'hôpital de Saintes pour y être soigné, mais il mourra le surlendemain, soit le 21 juillet 1944 à 7 h 15 (Acte décès état-civil). Il avait été soigné par le docteur Jonchères, mais il avait arraché ses pansements. Il n'avait reçu que des balles perforantes. Son nom est inscrit au monument aux morts de St Sever de Saintonge.

J'étais parmi les blessés, en effet j'avais reçu des éclats. Un autre de mes frères avait eu le bras perforé. Un chef d'équipe avait aussi été blessé, un autre homme avait eu un œil crevé.

Dans la gare de " Beillant " il y avait quelques locomotives stationnées sur des voies de garage. Elles y étaient au repos depuis quelques-temps, elles avaient été en panne où avaient déjà été mitraillées. Mais à proximité il y avait des fours à charbon qui fumaient, laisant supposer aux aviateurs qu'il y avait des locomotives en marche. Au moment du tir les hommes étaient occupés au déchargement du bois. (J'ai indiqué aucun sur le témoignage de 1993.... ai-je voulu dire aucun blessé à cet endroit...! M.S)(Témoignage 1993)

Remarques:

- L'extrait du régistre de l'hôpital de Saintes, relevé en 1994, ne mentionne pas le nom de Slanka, le document ne commence que le 22 juillet 1944 (Voir mon livre sur Ecurat, page 32 - Edition 1995)

Le livre de H.Gayot mentionne ce mitraillage à la page 100 ((Voir mon livre sur Ecurat, page 23 - Edition 1995)

- Un document du 151 squadron de la R.A.F indique une attaque de 2 avions " Mosquito " le 19 juillet 2020 avec destruction de trains (Voir dossier " Crash d'un avion de la R.A.F à Ecurat le 22/7/1944 ")

- Il n'est pas inscrit la mention " Mort pour la France " alors qu'il est marqué sur le monument aux morts de la commune.

Pièces de ce dossier: Extrait livre H.Gayot, extrait du " Journal de Saintes " (parution de la fin juillet...!), mission du 151 squadron de la R.A.F, acte de décès, plan selon un témoin.

 

Saisie du 30/7/2020 Edité: 8/2020

La gare de " Beillant " (Saint Sever de Saintonge) est reconnaissable du fait de ce carrefour ferroviaire en triangle.. Ligne de Saintes à Cognac partant vers l'est et en restant côté ouest la voie continue sur Bordeaux.
La gare de " Beillant " (Saint Sever de Saintonge) est reconnaissable du fait de ce carrefour ferroviaire en triangle.. Ligne de Saintes à Cognac partant vers l'est et en restant côté ouest la voie continue sur Bordeaux.

La gare de " Beillant " (Saint Sever de Saintonge) est reconnaissable du fait de ce carrefour ferroviaire en triangle.. Ligne de Saintes à Cognac partant vers l'est et en restant côté ouest la voie continue sur Bordeaux.

On ne le dira jamais assez... la S..N.C.F et tous le réseau ferroviaire, via tout le personnel humain aura payé le prix fort pour detuire la machine de guerre allemande et surtout éviter que des renforts se dirigent vers la Normandie et les fronts nombreux sur notre territoire.  A Chaniers, ce 8 juin (1944) un cultivateur a aussi été tué par des avions alliés mitraillant un train. Il s'appelait Nadeau, il travaillait dans ses vignes avec ses bœufs. Ils sont déclarés " Morts pour la France ".
On ne le dira jamais assez... la S..N.C.F et tous le réseau ferroviaire, via tout le personnel humain aura payé le prix fort pour detuire la machine de guerre allemande et surtout éviter que des renforts se dirigent vers la Normandie et les fronts nombreux sur notre territoire.  A Chaniers, ce 8 juin (1944) un cultivateur a aussi été tué par des avions alliés mitraillant un train. Il s'appelait Nadeau, il travaillait dans ses vignes avec ses bœufs. Ils sont déclarés " Morts pour la France ".

On ne le dira jamais assez... la S..N.C.F et tous le réseau ferroviaire, via tout le personnel humain aura payé le prix fort pour detuire la machine de guerre allemande et surtout éviter que des renforts se dirigent vers la Normandie et les fronts nombreux sur notre territoire. A Chaniers, ce 8 juin (1944) un cultivateur a aussi été tué par des avions alliés mitraillant un train. Il s'appelait Nadeau, il travaillait dans ses vignes avec ses bœufs. Ils sont déclarés " Morts pour la France ".

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1 - 1939/45 Saintes. Un très bon témoignage avec Guy Saulnier

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

REPORTAGE

1939/1945 Saintes

Un témoignage de 9 pages... sur Saintes au quotidien

Parfois surprenant, mais aussi dans la douleur

Avec photos et dessins par le témoin

Guy Saulnier (né en 1926) nous a quitté en 2003... mais ce qu'il a connu, vu et vécu il nous l'a transmis...

Guy Saulnier (né en 1926) nous a quitté en 2003... mais ce qu'il a connu, vu et vécu il nous l'a transmis...

Extrait de mes archives...

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1 - 1939/45 Saintes. Un très bon témoignage avec Guy Saulnier
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