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17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Bataille de France  39/45

Suite de la " Drôle de guerre ",

frappée par la guerre éclair qui mena à l'armistice

Ultimes combats... à bord des avions " Potez 63 "

Des éléments intimes des pilotes, mitrailleurs et observateurs.

Des éléments intimes des pilotes, mitrailleurs et observateurs.

17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest
17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest
17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest
17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest

Charles Légeraud   9/6/1918 -1999

*

Il a vécu à Cognac et a fait ses premières acrobaties aériennes dans cette ville, sur la base de Châteaubernard. Il y avait ainsi obtenu ses brevets de pilote.

Puis en 1938/39, il avait fait son service militaire, à cette époque c'était sur deux ans, et la guerre fut déclarée et il avait alors été affecté dans une unité de combat.

Pendant la guerre, durant la bataille de France, en tant que photographe, pilote... ! dans un goupe de Reconnaissance " 1/14 " il avait fait de nombreuses missions. Il était sur le " Potez 63 " (Selon son fils.. mais incertain... )

Dans cet avion le mitrailleur à l'arrière n'avait aucune protection et il était souvent blessé ou tué. Par contre le pilote avait dans son dos un bon blindage de plomb. Le photographe était dans la partie basse de l'avion. Pour s'en sortir les avions faisaient souvent des acrobaties pour se sortir des tirs des chasseurs allemands qui attaquaient souvent par l'arrière.

 

Journal du " Groupe de Reconnaissance 1/14 "

De Charles Légereaud

 

Mardi 14 mai 1940: Terrain de Vertain (59), est de Solesmes

188 - Lt Kervella Noël (+) / Observateur - St Rouch Roger / Pilote - St Duffaut / Mitrailleur

Reconnaissance dans la région de Namur. A quelques kms au Nord de Namur l'avion est violemment tiré par la D.C.A. L'avion pique pour se mettre en vol rasant, au cours du piqué le Lt Kervella est touché et s'affaisse. Le pilote revient en rase-mottes et atterri sur le terrain de Maubeuge. le Lt Kervella a l'artère fémorale sectionnée et est mort, ainsi en sa première mission de guerre.

Le groupe fait mouvement dès 9 heures vers Douai.

Mercredi 15 mai: Terrain de Douai Vichy ou..... ( Dechy)

192 - Lt Delaunay Louis / Observateur - St Castres Daniel / Pilote - St Bernet Robert / Mitrailleur

Reconnaissance dans la région de Namur. Décollage 5 h 30

- L'équipage ne rentre pas -

Les officiers cantonnent à Douai, les sous-officiers à Dechy (!), les hommes dans une ferme et l'échelon photo à proximité du terrain dans une maison évacuée.

Vendredi 17 mai: Douai

190. SLt Valin / Observateur - Adjt Thénard / Pilote - St Ruiz Alberto / Radio. Départ à 5 h retour 6 h 30.

Reconnaissance sur Fleurus ( Hainaud en Belgique...!!!!)

Aux environs de St Géry (24.. Mussidan ou 46... Cabrerets..!), en fin de mission, à 15 h, 6 " Me 109 " attaquent notre " 63 ". L'adjudant Thenard pique jusqu'au sol en manœuvrant par ricochets, d'après les indications téléphonées de son mitrailleur, chaque fois qu'un adversaire est en position de tir. Malgré les ripostes du St Ruiz, le " 63 " essuie plusieurs rafales l'endommageant sérieusement. Mission photo exécutée.

A 14 h, le S/Lt Moreaux Philippe, pilote, atterrit avec un " 63 " n° 487, affecté à la 2ième escadrille. En raison du bombardement de Châteaudun le S/Lt Moreaux a dû assurer le convoyage depuis Cognac où les avions avaient été hâtivement déplacés.

- Page 2/6 (Peut-être une autre date..!)

Lt Dugit Ernest (Ct la 2ième Escadrille..!) / Pilote - Adjt /C Berthe / Navigateur - Adjt Lacaille Pierre (ou Sgt) / Mitrailleur.

Reconnaissance sur la ligne de combat Mons-Maubeuge-Solesne (Ou Solesmes 59 ou 72..!) à six reprises le " 63 " est attaqué par des " Me 109 " et " 110 ", chaque fois l'équipage trouve un refuge dans les nuages strato-cumulus, très épais. Mission photos mauvaise par suite des conditions athmosphériques.

Dans l'après-midi nous assistons à un formidable combat aérien entre " Hurricanes " et " Me 109 ". C'est un chassé-croisé grandiose de quelques 60 chasseurs que vennent augmenter, une demi-heure après, les " Heinkels " revenant d'une mission de bombardement. Le combat se déroule maintenant à la verticale du terrain et il faut s'abriter sérieusement contre les projectiles, car les évolutions se font entre 800 et 1000 mètres. Des voilures blanches éclatent un peu partout dans le ciel bleu et l'on est pris et partagé entre le désir de voir et la crainte des balles que l'on entend miauler. Un " Heinkel " dont la queue a été sectionnée, s'abat en tournoyant pendant que ses occupants éjectent l'appareil, l'un descend avec son parachute en feu, tandis-que l'autre reste accroché aux empennages détachés. de point en point des explosions suivies d'une fumée très noire, terminent les descentes en flèche, vertigineuses des avions abattus. Le combat a duré une heure et demi environ et est soldé par une quinzaine d'allemands et 6 " Hurricanes ". Nous tenons cela des aviateurs anglais, le soir-même, peu avant que leur terrain soit violemment bombardé par des " Dornier 17 ", en représailles, à 8 h du soir. (Crash " Heinkel " ... photo.. !!)

Dimanche 19 mai - 6 h du matin à Douai.

Le groupe fait mouvement vers le terrain de Bacqueville (Eure), 10 km (!) SW de Dieppe. Arrivée de l'échelon roulant individuellement dans la soirée, voyage pénible, considérablement géné par les réfugiés qui fuient avec tous les moyens dont ils disposent. Nous assistons au cours du voyage à des scènes poignantes entre réfugiés Belges et du nord. Une bielle coulée et un tracteur de la section photo est le seul incident de ce long déplacement. Convoyage des avions sur le nouveau terrain.

Mardi 21 mai. De Bacqueville.

Trois équipages rejoignent St Omer afin de se mettre à la disposition du général Canone (!) de la Z.O.A.N (Zone d'Opérations Aérienne Nord)

611 - N° 487 - N° 188, avec S/Lt Valin - Lt Dugit - St Ruiz

Page 3/6 - Dès 6 h préparatifs de départ du groupe qui effectue un nouveaumouvement pour rejoindre le terrain de Deauville. Départ 10 h. Nous apprenons que le Lt Secré (!!!) Ct la section photos, qui était reparti après avoir passé Abbeville, pour aller dépanner, avec un camion, son tracteur remorque resté en panne vers Aucey-le-Château, a subi avec son personnel une violente attaque aérienne. Le camion est criblé de balles et un soldat de la section photo est tué par un éclat de bombe. Arrivée de l'échelon roulant à Deauville, vers 10 h.

Des trois équipages partis à St Omer, seul l'avion " 188 " du Lt Dugit revient. Peu après l'atterrissage sur le terrain de St Omer, des " Me 110 " arrivent en piquant et arrosent copieusement les équipages et les avions. le n° 188, bien que touché ne l'a pas été dans ses parties essentielles et peut repartir.

Mercredi 22 mai - Deauville

Le terrain étant trop petit, le groupe se prépare pour un nouveau déplacement direction Caen (!).

Le Ct Payet Georges rejoint St Inglevert (62 - Marquise !!) où il casse son train d'atterrissage dans des trous de bombes. Un " 63 ", abandonné sur le terrain , leur servira au retour qui s'effectue avec huit attaques de la chasse ennemie qui avait abandonné le convoyage escorte des bombardiers. L'arrivée de " Moranes 406 " permet à l'équipage de séclipser au ras des arbres. Arrivée de l'échelon roulant à 16 h 30 à Rocquancourt (Caen - Rocquancourt) 10 km sud de Caen.

Samedi 25 mai - Caen

Trois équipages du groupe sont désignés pour partir en Angleterre d'où ils travailleront au profit de l'armée du nord encerclée. N° 698 - St Lt Valin - Lt Dugit - St/C Lacaille (Pierre) mitrailleur. N° 720 - S/Lt Fournier Léon (+) observateur - St Faidherbe / Pilote - Adjt Prual Yves / mitrailleur. N° 699 - Lt Jacob / Observateur - Sgt Rouch Roger / Pilote - Sgt Régelin (!) ou Piégelin (!)

Jeudi 30 mai - Caen

Activité réduite par brume de vol. retour du Lt Henrion (ou Hennion) / observateur, du Sgt Durand, qui rejoignent le groupe après la destruction de leurs appareils à St Omer. Embarqué sur un cargo norvégien qui essaya sans succès de les débarquer avec ses passagers à Folkestone (Kent - Angleterre, en face du Pas-de-Calais), puis à Cherbourg où ils réussissent.

Vendredi 7 juin

Nous apprenons notre rattachement à la IVième armée terrestre.

Dimanche 9 juin

Départ du groupe qui doit rejoindre de toute urgence un terrain aux environs de Plancy (10 /Aube).

arrivée de l'échelon roulant à 19 h, après avoir été retardé par l'évacuation de Paris.

Mardi 11 juin

598 - Lt Hennion - Sgt Durand - Ajt Thiébault / Pilote

Reconnaissance sur la région Reims - Réthel

La protection de la chasse prévue n'est pas rencontrée pâr l'équipage qui est attaqué par plusieurs " Me 109 " à l'est de Mourmelon. Mitrailleur tué (+) et observateur grièvement blessé. Un groupe de chasse devant prendre notre place, l'échelon se prépare à partr pour Blèges (!)

Mercredi 12 juin

L'observation décéle l'avance massive et le bon ordre des unités motorisées. Un obus de la " Flak " traverse la place gauche au ras du guignol (ferrure pour câble aileron), un autrele plan fixe. A l'atterrissage, les commandes bloquées, l'appareil décroche de plusieurs mètres. Equipage blessé.

720 - S/Lt Valin - Sgt Lebras / Pilote - De Quillac Pierre (+) / Mitrailleur

Nous sommes sur le terrain de Troyes qui est attaqué à 5 h (!) le soir par des " Ju 87 " (Stukas) et à 8 h par des " Me 109 ". Deux appareils sont initulisables.

Jeudi 13 juin

Le Ct Georges Fayet va nous quitter, appelé au G.Q.Général. Très ému il nous dit .. au revoir. En nous quittant le Ct Fayet laisse parmi nous beaucoup d'émotion et de regrets.

Le groupe poursuivant son repli doit se porter sur le terrain de Fourchambault (Nevers). Le terrain de Barberey-sur-Troyes (Aube) sera toujours utilisé, malgré les trous des bombes, afin d'apporter les missions à la section photo qui y reste momentanément.

Vendredi 14 juin - Nevers

Mission du " 256 ". le capitaine Frebillot Pierre / Observateur, fait mettre le feu aux deux appareils restés sur le terrain de Troyes-Barberey.

L'avance rapide des unités blindées allemandes que nous observons impuissants au cours des reconnaissances, oblige l'échelon photo à quitter Barberey pour nous rejoindre à Nevers, emmenant le S/Lt La Cavalerie et le Caporal / C Fol, demeurés là-bas.

Mission du " 604 ". Reconnaissance sur Romilly - Châlons. Equipage - S/Lt Fournier (+) / Observateur - S/Lt Moreaux - Sgt De Quillac (+). Départ 14 h 45. L'équipage n'est pas rentré.

Samedi 15 juin

18 h Départ en mission de guerre du " 356 "

Nous apprenons par téléphone du S/Lt Moreaux, hospitalisé à Nevers, l'interruption dramatique de sa mission du 14 juin. Attaqué à 13 h par une douzaine de " Me 109 ", il évite les premières rafales par dégagements à droite sur les indications de son mitrailleur. Peu après le Sgt De Quillac (+) s'écroule, blessé à mort et la rafale vient s'écraser sur le siège blindé du pilote. Maintenant il dégage au jugé tout en esayant de se mettre en vol rasant, mais plusieurs " Me 109 " n'hésitent pas à attaquer par l'avant malgré le feu des mitrailleuses de capot, et le S/Lt Fournier (+), observateur, est tué à son tour. Les moteurs enflammés par les balles incendiaires et l'appareil n'étant plus contrôlé par son pilote (Moreaux), celui-ci, parachute déclenché et se réveille dans un lit de ferme. Tranporté à l'hôpital, pour de multiples éclats d'obus dans le cou et le bras droit.

Dimanche 16 juin

Reconnaissance à .... (!!!!) sur Auxerre (!!!!) - Romilly et Troyes. Appareil " n° 21 ". Il s'agit de déterminer les éléments amis encerclés dans la région d'Auxerre (!) en vue de ravitaillement par avion. Départ 9 h (!!) l'avion touché par la " Flak " ramène sa mission et son observateur blessé.

Le départ du groupe pour Limoges est annoncé à 14 h. L'échelon roulant s'ébranle, suivit de près du départ des avions restants.

Lundi 17 juin - Limoges

L'échelon arrive dans la matinée et l'installation recommence à nouveau. Les réfugiés inondent la ville (ou villa) et il nous faut nous contenter des conserves sauvegardées.

le bruit court au sujet d'un armistice demandé par le gouvernement, mais personne n'y croit encore.

Départ en mission du " 578 " avec le Ct Lamey. La brume au sol interrompt la reconnaissance.

Mercredi 19 juin

Mission du " 298 " (!) - Lt Hennion - Cne Frebillot - Sgt Hoffard (!!!)

L'équipage effectue une longue reconnaissance par ciel clair et est violemment tiré par la " Flak ". le siège blindé reçoit un gros éclat pendant que le pilote a une jambe brisée. un " Me 109 " isolé oblige le " 63 " à dévier de sa route puis l'abandonne sans cause apparente.

L'avance ennemie semble se faire avec très peu de moyens, telle est l'impression de l'observateur qui remarque des groupements arrêtés d'unités blindées.

 

Vendredi 21 juin

Mission du" 834 " ayant toujours le même objet dont on ne réalise pas encore toute l'ampleur dramatique, tous ces jours de replis ont fait oublier à chacun la notion du temps.

A 11 h parvient l'ordre de rejoindre Bergerac (33). Départ de l'échelon roulant à 14 h, un équipage reste à Limoges pour être à disposition du commandement.

Dimanche 23 juin

Un avis de départ nous parvient encore (!!!) il (!!) vise (!!!) l destination de Toulouse.

Lundi 24 juin

A 7 h l'échelon roulant quitte Bergerac pour Toulouse. Les équipages ne peuvent encore partir car la pluie et la brume sont très denses. Ceci inquiète de plus en plus car nous apprenons que les motorisés allemands ne sont qu'à 40 km de Bergerac. Vers 17 h la météo ..... avec une éclaircie et les avions décollent.

Mardi 25 juin

Les hostilités ont pris fin après l'accord Franco-Italiens Installation des cantonnements au G..................l (!) près de Colomiers (31).

Vendredi 5 juillet

Le groupe est dissous et l'échelon roulant et volant sont rendus à la base de Bergerac.

Samedi 10 août

Le groupe est reformé! Nous reprenons notre matériel et devons aller à La Salanque.. (!) assurer la défense des côtes. Départ prévu pour le 15 courant. Les démobilisables restent à Toulouse et seuls les conducteurs qui vont emmener l'échelon trouveront leur démobilisation à La Salanque (Il existe La salanque dans le département 66 - Pyrénnées orientales... !!!).

Avions allemands abattus, incendi du fait d'un crash, photos récupérées sur des prisonniers allemands, le chien d'un des pilotes allemands dont l'avion avait été abattu. (Il arrivait que des aviateurs emmènent leur chien avec eux.. )

Avions allemands abattus, incendi du fait d'un crash, photos récupérées sur des prisonniers allemands, le chien d'un des pilotes allemands dont l'avion avait été abattu. (Il arrivait que des aviateurs emmènent leur chien avec eux.. )

Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.
Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.
Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.
Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.
Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.
Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.

Triste spectacle de ces personnes rencontées au cours des missions aériennes.... ils ses auvent sur les routes de France, vers le sud, fuyant les combats et l'avancée allemande.

Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.
Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.

Les chefs, mais surtout une partie des victimes militaires, ici seulement des aviateurs.... mais les pertes de la Bataille de France furent terriblement plus élevées.

17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest
La photo du groupe n'est pas très représentative du GR 1/14. Toutes ces photos ont été fournies par le fils de Charles Légeraud. Cette famille demeure à Saintes et en Saintonge, nous les remercions pour nous avoir autorisés à publier ces précieux témoignages.
La photo du groupe n'est pas très représentative du GR 1/14. Toutes ces photos ont été fournies par le fils de Charles Légeraud. Cette famille demeure à Saintes et en Saintonge, nous les remercions pour nous avoir autorisés à publier ces précieux témoignages.
La photo du groupe n'est pas très représentative du GR 1/14. Toutes ces photos ont été fournies par le fils de Charles Légeraud. Cette famille demeure à Saintes et en Saintonge, nous les remercions pour nous avoir autorisés à publier ces précieux témoignages.

La photo du groupe n'est pas très représentative du GR 1/14. Toutes ces photos ont été fournies par le fils de Charles Légeraud. Cette famille demeure à Saintes et en Saintonge, nous les remercions pour nous avoir autorisés à publier ces précieux témoignages.

Avec les reconstitunionnistes

39/45

" M.V.C.G "

17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest

L’association M.V.C.G SUD OUEST, déclarée le 15 mai 1979, a pour objet la préservation de tous types d’engins d’origine militaire n’étant plus fabriqués et pour but de sauvegarder le patrimoine militaire, l’éducation historique et culturelle dans un devoir de souvenir.

Elle regroupe ainsi une cinquantaine d’adhérents de tous âges, passionnés de restauration des véhicules surtout de la période 39-45 ainsi que les équipements et les uniformes portés par les équipages, le tout en stricte conformité de l’époque.

Ce véritable musée mobile participe à de nombreuses concentrations, expositions statiques et commémorations, chaque fois qu’il en est sollicité. La diversité des matériels représente un élément pédagogique du rappel de l’histoire et un support historique aux défilés officiels avec le devoir de mémoire qui s’impose.

L’association MVCG SUD OUEST est affiliée à la Fédération MVCG France qui regroupe une quarantaine de clubs sur le territoire français.

" Article communiqué par Isabelle Coussine - Secrétaire de l'association - 2/2022 "

(Military Véhicle Collection Group)

 

17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest
17 - Bataille de France ultimes combats du ciel 39/45 - Le Military Véhicule Collection Group - Sud Ouest

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13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Rue Victor Hugo

Saintes

De la " Decumanus Maximus " à Victor Hugo

Détails et plans anciens

Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis.  Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....
Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis.  Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....
Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis.  Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....
Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis.  Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....
Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis.  Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....

Autrefois cette artère très citadine était la " Decumanus Maximus ", du temps des Romains, devenus Gallos-Romains.... Mais bien plus tard elle porta le nom de " Grand rue ". En effet, une fois passé la porte triomphale de la ville, cette rue étant le prolongement de la voie romaine jusqu'à Lyon, était la principale rue de la cité saintaise remparée. Elle débouchait, dans les temps médiévaux sur une autre artère, traversante, appelée de nos jours rue Alsace - Lorraine. Cette rue menait de la porte Aiguière à la porte St Louis. Mais en février 2022, toujours très commerçante la " Grand rue " a aussi ses petits secrets, outre la présence du Présidial devenu musée.....

Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
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Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..
Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..

Des sous-sols, via le musée, au toit du Présidial. Sans toutefois oublier la présence de l'église Ste Colombe, certes située rue St Michel, mais qui a une sortie dans la rue commerçante..

A titre personnel j'avais un parent, par alliance, qui était tailleur rue Victor Hugo, il employait une dizaine de personnes. Son magasin atelier se situait sur la partie droite du square du présidial, là où se situaient les locaux de la Sécurité Sociale, il y a une trentaine d'années.  Puis avec la technologie moderne nous avons un aperçu aérien de la rue Victor Hugo.
A titre personnel j'avais un parent, par alliance, qui était tailleur rue Victor Hugo, il employait une dizaine de personnes. Son magasin atelier se situait sur la partie droite du square du présidial, là où se situaient les locaux de la Sécurité Sociale, il y a une trentaine d'années.  Puis avec la technologie moderne nous avons un aperçu aérien de la rue Victor Hugo.

A titre personnel j'avais un parent, par alliance, qui était tailleur rue Victor Hugo, il employait une dizaine de personnes. Son magasin atelier se situait sur la partie droite du square du présidial, là où se situaient les locaux de la Sécurité Sociale, il y a une trentaine d'années. Puis avec la technologie moderne nous avons un aperçu aérien de la rue Victor Hugo.

Par curiosité j'ai compté les commerces de cette rue.. Rive nord: 19 et Rive sud: 22. Bien sûr à deux unités près sachant que des commerces sont en recherches d'occupants). Enfin cerise sur le gateau... le dernier commerce installé est celui de Caroline Hot " Créa & Couture ", aussi c'est avec plaisir que je vous présente cette créatrice... qui, pour le plaisir de ces Dames et Demoiselles, confectionne ces articles de ses mains très talentueuses. Images.....  (Sources des documents: Médiathèque de Saintes - Fonds anciens)

Par curiosité j'ai compté les commerces de cette rue.. Rive nord: 19 et Rive sud: 22. Bien sûr à deux unités près sachant que des commerces sont en recherches d'occupants). Enfin cerise sur le gateau... le dernier commerce installé est celui de Caroline Hot " Créa & Couture ", aussi c'est avec plaisir que je vous présente cette créatrice... qui, pour le plaisir de ces Dames et Demoiselles, confectionne ces articles de ses mains très talentueuses. Images..... (Sources des documents: Médiathèque de Saintes - Fonds anciens)

13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes
13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes
13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes
13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes
13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes
13 - Rue Victor Hugo Passé et détail d'une rue commerçante à Saintes

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10 - Sous la ruine Notre passé - La ferme Douillard et son giratoire

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Sous les Ruines Notre Passé

" Rue Delage "

*

La ferme Douillard (Le Clouzy - Saintes)

aurait son giratoire

aux abords immédiats du Centre Hospitalier de Saintonge,

oui la famille Douillard le mérite bien.

Rue Delage à Saintes,

quand la démolition d'un immeuble vétuste

nous fait remonter le temps....

La démolition et le fond qui remonte à la surface...
La démolition et le fond qui remonte à la surface...

La démolition et le fond qui remonte à la surface...

Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....
Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....
Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....
Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....
Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....
Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....

Avant de revenir plus en arrière, deux images en contreplongée.....

Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...
Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...
Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...
Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...
Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...
Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...

Comme on peut le voir des blocs de pierre sculptées, d'époque gallo-romaine. Ici on se trouve sous " L'Oppidum ", en fait le " Capitole ", mais aussi sous le rempart romain, bien aménagé et visible en sous-sol sous les constructions modernes de ces logements dénommés à juste titre.. " Résidence de l'Oppidum ". Par contre ces pierres sont des pierres de remblaiments provenant certainement des terrassements fait bien après la construction de la partie du bastion encore visible. Ceci du fait qu'elles y sont tombées en vrac...

Giratoire " Ferme Ernest Douillard "

Situé en bout du cours Paul Doumer, mais aussi de la rue de l'Alma et en entrée de Saintes par la route de Marennes. 

Proposition faite en mairie et qui acterait bien le fait que ce secteur fut toujours appelé... la ferme Douillard, voir aussi, terme plus ancien .. " Le Clouzy ".

Rappelons-nous que ce furent les seules bâtiments incendiés et détruits, par les combats et le coup de canon tiré par les Allemands qui voulaient réinvestir Saintes le lundi de foire du 4/9/44.

Il y a peu de temps aussi, Mme Veuve Douillard avait voulu donner son terrain à la ville de Saintes pour y mettre en place, plus commode, et plus honorable le monument / stèle de ce combat, situé plus en ville. 

Notes: Le second giratoire situé en sortie direct du C.H.S pourrait porter le nom de " Georges Lhoumeau " seul victime civil de cette journée de combat, dont la maison avait subi un début d'incendie suite au tir des Allemands sur sa maison au " Petit Rullaud " route de Royan. Ce tir l'avait atteint au coup et blessé très griévement, il décédera dans la nuit après son transfert à l'hôpital de Saintes. 

10 - Sous la ruine Notre passé - La ferme Douillard et son giratoire
10 - Sous la ruine Notre passé - La ferme Douillard et son giratoire

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7 - Berneuil à peu de distance de Saintes

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

En promenade en Saintonge

Un arrêt à Berneuil

La cible... l'église

En quelques clichés

On commence par les plus humbles, les marques de tâcherons.. mais un peu grosses, rares et surtout semblent gravées sur des pierres déplacées....

On commence par les plus humbles, les marques de tâcherons.. mais un peu grosses, rares et surtout semblent gravées sur des pierres déplacées....

On continue par des " têtes " d'origine à ces endroits sur les murs, sinon repositionnées après avoir été récupérées sur une plus ancienne église, en place de celle-ci.
On continue par des " têtes " d'origine à ces endroits sur les murs, sinon repositionnées après avoir été récupérées sur une plus ancienne église, en place de celle-ci.

On continue par des " têtes " d'origine à ces endroits sur les murs, sinon repositionnées après avoir été récupérées sur une plus ancienne église, en place de celle-ci.

Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !
Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !
Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !
Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !
Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !

Mais si on en découvrait un peu plus sur cet édifice religieux... !

Et autres détails....

Et autres détails....

Un belle vue générale.
Un belle vue générale.
Un belle vue générale.

Un belle vue générale.

Merci de m'avoir accompagné.
Merci de m'avoir accompagné.
Merci de m'avoir accompagné.
Merci de m'avoir accompagné.

Merci de m'avoir accompagné.

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6 - Gold Case à Saintes. 78 ans plus tôt... un nouvel élément a ressurgi, alors on va aux archives

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Gold Case 

Saintes

Une affaire de 78 ans remonte à la surface

" Découverte d'un revolver "

6 - Gold Case à Saintes. 78 ans plus tôt... un nouvel élément a ressurgi, alors on va aux archives

              Une  affaire n'est jamais totalement refermée, surtout s'il s'agit d'une affaire concernant notre ville " Saintes ". Sur ce fait de guerre, du combat de Saintes en date du 4 septembre 1944, justement un livre avait été édité et il s'intitulait " L'affaire de Saintes "

              Le fait nouveau qui fait réouvrir cette affaire est le fait qu'un témoin a parlé d'une arme découverte, bien après la guerre, sur les lieux. 

                   Voici les faits.... 

6 - Gold Case à Saintes. 78 ans plus tôt... un nouvel élément a ressurgi, alors on va aux archives

L'arme perdue du " Clouzy "

ou

Le revolver du combat du 4 septembre 1944

*

" Un nouvel élément est découvert

et le dossier de cette journée de Saintes doit alors être complété "

 

Un témoin, P... Huguet, recontré il y a quelques temps m'avait raconté que son père avait récupéré une arme, au départ un " Luger ", et qu'il avait montré cet arme à un voisin Marcel Mallet.

Ainsi monsieur Huguet aurait trouvé cet arme en allant récupérer du fumier dans les fossés de la ferme Douillard, site du " Clouzy ", dans la pointe formée par la future rue de l'Alma (Prolongation du chemin ferré et la route de Marennes, de nos jours cours Paul Doumer). Cette découverte le témoin la situe vers 1960.

Après enquète d'environnement et diverses investigations j'ai réussi à avoir un contact avec un des fils de Marcel Mallet (1927/2017) et ainsi on peut enfin s'approcher au plus proche des faits...

" Vers 1967 / 1968, mon père m'avait montré une arme, un revolver, qu'il avait trouvé en allant chasser des lapins dans le secteur de la ferme Douillard. A cette époque, venant de Saintes, sur la droite et à 50 mètres de la ferme il y avait " La Charentaise des bois ". C'était une entreprise de découpe des arbres et de la vente de ces découpes et de ce fait il y avait des stocks importants de bois et de nombreux lapins venaient s'y réfugier. Voilà pourquoi mon père chassait dans ce secteur aux abords immédiats de la ferme. Selon lui c'est au cours de cette traque qu'il avait trouvé cette arme. Elle était rouillé, elle n'avait plus de crosse et il l'avait tapée pour en faire sortir les munitions, puis il l'avait jetée. Pour en savoir plus c'est compliqué, ma mère (née en 1929), toujours du monde a malheureusement des problèmes de mémoire et ne pourrait plus s'en souvenir " (P.... Mallet - Né 1955)

Note:

- A cette époque les témoins demeuraient respectivement au 103 (M. Huguet) et 107 (M. Mallet) du cours Paul Doumer. Ces sections de rues étaient aussi dénommées " chemin ferré ".

- Les Allemands avaient pris position dans ce dépôt de bois.

- Recontacté par la suite, le fils de monsieur Huguet, revient un peu sur ses premières déclarations et pense aussi que cela pouvait être une arme avec un barillet (donc revolver), il se souvient d'une arme dans une boite.

Mes conclusions

En fait il s'agirait certainement d'une arme de poing, un revolver, ayant appartenu à des combattants, allemands ou des F.F.I.

Trouvée dans un secteur où les combattants étaient répartis d'un bord et de l'autre, avec des déplacements fréquents.

Chez les aAemands les armes à barillets, revolver, devaient être rares, à savoir que des Français, miliciens, étaient réputés les avoir accompagnés sur Saintes ce 4 septembre 1944.

Monsieur Mallet a certainement déclaré à son fils qu'il avait jeté l'arme pour éviter que ce jeune garçon tente de le chercher et de jouer avec.

Comme je détiens la liste des armes du 3ième bataillon " Violette " qui a combattu sur ce terrain je vais la consulter, mais je pense que seuls les gros armements y figurent.

Par ailleurs, bien que tenté de la rencontrer, la Veuve de Marcel Mallet, mère du témoin, pourrait être contactée, mais je sais par expérience que cela pourrait générer des problèmes secondaires. en effet souvent quand j'ai remonté le passé de ces personnes cela avait réveillé en elles les plus mauvais souvenirs, et alors il y avait des retombées. Sachant toutefois que dans certains cas de perte de mémoire ou de disfonctionnement mental en la matière, les témoins potentiels retrouvaient brusquement ces parties de leur vécu.

 

Découvrons le décor et le site

Bien sûr cette arme avait certainement appartenu à un F.F.I, les Allemands, en générale, sauf des milicians ou des collaborateurs (régionaux) les accompagnant, auraient pu en posséder. Ci-après le tableau des armes que portaient les soldats allemands.
Bien sûr cette arme avait certainement appartenu à un F.F.I, les Allemands, en générale, sauf des milicians ou des collaborateurs (régionaux) les accompagnant, auraient pu en posséder. Ci-après le tableau des armes que portaient les soldats allemands.
Bien sûr cette arme avait certainement appartenu à un F.F.I, les Allemands, en générale, sauf des milicians ou des collaborateurs (régionaux) les accompagnant, auraient pu en posséder. Ci-après le tableau des armes que portaient les soldats allemands.
Bien sûr cette arme avait certainement appartenu à un F.F.I, les Allemands, en générale, sauf des milicians ou des collaborateurs (régionaux) les accompagnant, auraient pu en posséder. Ci-après le tableau des armes que portaient les soldats allemands.

Bien sûr cette arme avait certainement appartenu à un F.F.I, les Allemands, en générale, sauf des milicians ou des collaborateurs (régionaux) les accompagnant, auraient pu en posséder. Ci-après le tableau des armes que portaient les soldats allemands.

Image extraite de Internet - Google (6/2/2022). Puis il faut savoir que d'autres éléments avaient été découverts sur le site des combats, des boutons certainement perdus par des combattants F.FI qui devaient souvent ramper pour se dissimuler et progresser vers leurs objectifs, ce qui fut souvent le cas, au vu des résultats et selon les témoins, tels les deux F.F.I qui avait remonter une grande partie du cours Paul Doumer en se faufilant derrière les haies, avant de détruire un nid de mitrailleuse allemande à la grenade. Dans ces cas ils perdaient certainement des boutons... voir la photo.. !!!

Image extraite de Internet - Google (6/2/2022). Puis il faut savoir que d'autres éléments avaient été découverts sur le site des combats, des boutons certainement perdus par des combattants F.FI qui devaient souvent ramper pour se dissimuler et progresser vers leurs objectifs, ce qui fut souvent le cas, au vu des résultats et selon les témoins, tels les deux F.F.I qui avait remonter une grande partie du cours Paul Doumer en se faufilant derrière les haies, avant de détruire un nid de mitrailleuse allemande à la grenade. Dans ces cas ils perdaient certainement des boutons... voir la photo.. !!!

Ces boutons ont été découverts sur le côté impair, aux abords du n° 61 du cours, en se dirigeant au terrain face au Clouzy et à la Charentaise des bois.  Enfin, et pour conclure, mais un dossier ne sera jamais définitivement fermé, voici la liste des armes que détenaient les F.F.I à leur arrivée à Saintes, quelques heures après le début du combat. Je vous en conseille une lecture approfondie pour vous permettre de vous faire une idée précise des enjeux de cette époque, avec le peu de moyens que ces hommes souvent habillés de manière hétéroclite, avaient à leur disposition.  Et pour le sourire.. ils appelaient leur bazooka d'un mot médiéval... " arbalète ".

Ces boutons ont été découverts sur le côté impair, aux abords du n° 61 du cours, en se dirigeant au terrain face au Clouzy et à la Charentaise des bois. Enfin, et pour conclure, mais un dossier ne sera jamais définitivement fermé, voici la liste des armes que détenaient les F.F.I à leur arrivée à Saintes, quelques heures après le début du combat. Je vous en conseille une lecture approfondie pour vous permettre de vous faire une idée précise des enjeux de cette époque, avec le peu de moyens que ces hommes souvent habillés de manière hétéroclite, avaient à leur disposition. Et pour le sourire.. ils appelaient leur bazooka d'un mot médiéval... " arbalète ".

6 - Gold Case à Saintes. 78 ans plus tôt... un nouvel élément a ressurgi, alors on va aux archives
6 - Gold Case à Saintes. 78 ans plus tôt... un nouvel élément a ressurgi, alors on va aux archives

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4 - Découverte - Magazine des Petites Sœurs des Pauvres - Voyage entre Bretagne et St Joseph

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Avec les Petites Sœurs des Pauvres on ne reste pas inactives

De la Bretagne avec " La Vallée des Saints " au voyage de " St Joseph ", des petits faits souvent inconnus, mais partons avec elles.. sur les pas de Ste Jeanne Jugan.

" Découverte "

Les fameux alignements dans notre belle Bretagne. Inauguration courant 2022.

Les fameux alignements dans notre belle Bretagne. Inauguration courant 2022.

Puis en 2021, quand St Joseph voyagait en France dans les maisons de Ste Jeanne Jugan, qui fonda sa première " Maison " à Cancale.
Puis en 2021, quand St Joseph voyagait en France dans les maisons de Ste Jeanne Jugan, qui fonda sa première " Maison " à Cancale.

Puis en 2021, quand St Joseph voyagait en France dans les maisons de Ste Jeanne Jugan, qui fonda sa première " Maison " à Cancale.

Revenons à Saintes et regardons les tapisseries de labbaye aux Dames... qui ont soulevé bien des polémiques. mais la Paix semble revenue... aussi elles restes sur les murs.
Revenons à Saintes et regardons les tapisseries de labbaye aux Dames... qui ont soulevé bien des polémiques. mais la Paix semble revenue... aussi elles restes sur les murs.
Revenons à Saintes et regardons les tapisseries de labbaye aux Dames... qui ont soulevé bien des polémiques. mais la Paix semble revenue... aussi elles restes sur les murs.

Revenons à Saintes et regardons les tapisseries de labbaye aux Dames... qui ont soulevé bien des polémiques. mais la Paix semble revenue... aussi elles restes sur les murs.

4 -  Découverte - Magazine des Petites Sœurs des Pauvres - Voyage entre Bretagne et St Joseph
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4 -  Découverte - Magazine des Petites Sœurs des Pauvres - Voyage entre Bretagne et St Joseph

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