Concert caritatif
" Sacrée soirée sacrée "
Avec les " Voies d'Eole et Pluri' Elles "
Le premier groupe est de Saintes, le second étant de Riom (Auvergne)
Avec talent et brio, parfois très enlevé, ces deux groupes qui se sont produits dans l'église paroissiale St Pallais de Saintes, ont autant fait vibrer les coeurs que les structures en pierre. Pour le côté sentiment, c'est un peu normal car le bénéfice de la soirée est destiné au PRASAD, projet humanitaire en Inde (Soins médicaux et culture biologique). Les chefs des groupes, hommes et femmes, les voix se doivent d'être binômes... :) , Saintes: Michelle Olivier-Dulat, pour Riom: Fanette Coing-Couet.
Le " nez rouge " (entracte) n'est pas sans nous rappeler l'association humanitaire qui intervient dans les hôpitaux, auprès des enfants.
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8 ième prix Marcel Bergereau
1ière manche des espoirs du vélo
" 18 à 22 ans "
107 au départ, plusieurs chutes sur un parcours de 151 km (sans gravité). 150 personnes, environ, attendaient ces jeunes espoirs sur le cours national à Saintes. La météo était vraiment de la partie. 10 minutes avant l'arrivée, 7 hommes s'étaient déjà détachés du peloton, avec une vingtaine de secondes d'avance.
Sur le podium, le breton était à l'honneur, suivis en cela par ses deux autres concurrents. La photo a départagé le 3ième et le 4 ième. Des trophées et fleurs, suivi du Champagne, ont été remis, par le président de la fédération Poitou-Charentes, une jeune demoiselle et par la représentante de Monsieur le Maire de Saintes, Céline Violet. Dans l'aordre d'arrivée.. les comités des régions... Bretagne, Rhône - Alpes, Poitou - Charentes (Thibault Nuns), quant au malheureux 4ième, il s'agit d'Adrien Legros, Bretagne. Le mot du vainqueur.... " Cette course fut dure et usante, elle s'est aussi gagné à la fraîcheur.... ". Pour le second... " Un peu décevant de faire le second... " Bravo et c'est à continuer.
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« Si on se faisait une soirée photos… ! »
Ce fut le cas salle Saintonge avec la très bonne idée de Wolfgang Autexier, chasseur invétéré au cyclopéen numérique (Ou / et argentique).
La soirée a été décomposée en trois parties, chacune d’elle valait bien son pesant d’or, ce que ne contredirait pas la quarantaine de spectateurs présents.
En première partie « Clair obscur », ces clairs obscurs que ce sont accaparés nos photographes, ceci depuis la découverte de la photographie (le mot découverte est sciemment utilisé par C-H, en effet la photographie était déjà dans la nature, nous n’avons fait que la maîtriser), alors qu’il faut remonter aux peintres su 15ième pour découvrir cet art.
Ainsi de « Rembrandt » en passant par le fameux tableau « La ronde de nuit », qui est en fait une scène diurne, à « Velasquez », « Géricault » et bien d’autres, le maître de ce soir nous en a présenté les subtilités. Ces parties sombres des personnages centraux qui se noient dans les couleurs sombres des fonds, voir les ombres. Ces différentes intensités de clarté qui valorisent le ou les sujets principaux, voire que cela va guider le regard de façon hiérarchique. Chacun sa vision, c’est évident, mais pourquoi chercher dans l’ombre ce qui est transcendé par la lumière… ! Même la fameuse « Madeleine » (Contemporaine de Jésus-Christ) était présente, traînant perpétuellement sa pénitence.
Pour le deuxième partie, le micro fut passé à Andy Corbras. Il avait pour mission de faire une analyse d’une de ses photos, extraite d’un reportage photographique sur la construction de la ligne à grande vitesse en 2013 (L.G.V). Ce photographe est membre du « Club photo d’Ars »
Organisé par le « P.A.A » (Photographic Académy Atlantic) en vue de donner le « Label Image ». Ainsi tout est présenté, les réglages divers, voir la météo du jour…., les modifications apportées par les différents logiciels correcteurs d’images. La photo présentée affichait deux piliers d’un pont avec en son centre un escalier. A partir de là toutes les proportions, dimensions, découpages de l’espace, les orientations de toutes les lignes. En fait une belle présentation technique du sujet de la photo. Mais comme pour un tableau, une peinture, il n’a pas été question du « Nombre d’or » (Point du tableau où tout doit s’organiser autour). Enfin ce fut une présentation, avec brio, d’une œuvre photographique. Mais il est vrai, un peu comme le fameux livre « Le passager de l’autobus » (où chacun des témoins, selon sa culture, ses passions et son métier décrivaient le personnage avec son imperméable….), oui chacun de nous, même tout autre photographe, aura son appréciation, son interprétation.
Et bien sûr comment ne pas terminer la soirée avec nos petites compagnes des étendues d’eau de nos campagnes, on a cité les…. Libellules.
De Photographe spécialisé sur ces charmantes « Demoiselles » surnom de certaines espèces, Wolfgang Autexier en est devenu un fin connaisseur (Pas fin gourmet en la matière…. !)
Cela semblait du réchauffé, en effet ce diaporama scientifique nous avait déjà été présenté par les co-auteurs, Wolfgang et Murielle de l’atelier du patrimoine, ceci en 2013.
Moteur.. et attention aux petites ailes très fragiles.
Lieux de vie, lieux de reproductions, leurs origines, leur accouplement sous le signe du cœur. Tout a été passé en revue, même une libellule découverte à l’état de fossiles, avec une envergure d’environ 70 centimètres. Ces « insectes » auraient connu la disparition des dinosaures, bien sûr elles étaient à l’état de larves au fond des trous d’eau… alors feu et autres catastrophes elles n’en n’avaient que faire. Et bonjour le jour après les catastrophes.
C’était quand…. Et bien 330 millions d’années avant J-C.
Un inventaire et un repérage des lieux de vie ont été effectués en Poitou-Charentes, c’est dans le sud du département que nous en retrouvons le plus pour une certaine catégorie. Là encore Wolfgang possède bien son sujets et ses « Demoiselles », mais il nous donne un dernier conseil..
« Pour profiter un peu plus de votre lopin de terre et si vous voulez remplir avec de la terre quelques petits points d’eau et bien… que nenni…. C’est peut-être le lieu de reproduction de ces délicats et beaux insectes. Ils vivent plus longtemps dans l’eau qu’en surface, souvent en surface…. 3 ou 4 jours »
Vraiment W-A aura vraiment mérité un délicat battement d’ailes auprès de sa peau d’être humain.
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Blockhaus enfoui
Jardin public Saintes
Blockhaus – Jardin public – 1 - Entrée
2006 - Visite avec David C……. – Mairie de saintes
Le 16/10/06 : environ 50 cm d’eau. Eau non nauséabonde ;
Le 19/10/06 : environ 22 cm d’eau ;
Dans l’eau de nombreux débris, dont des pierres romaines. Sur le tour du blockhaus, principalement sur le côté Charente (partie bien dégagée) des petites tiges métalliques, réparties sur la longueur, à deux niveaux différents, semblent avoir été des supports de barbelés.
La profondeur du blockhaus, depuis le palier de l’entrée, avait été relevée mais a été égarée. C’était assez bas, la porte d’accès à l’intérieur du blockhaus était coincée par les débris.
Dans la pièce unique et principale dans l’angle côté passerelle se trouve une porte en hauteur qui doit donner sur une tourelle.
Vers 1955 on pouvait encore voir la partie émergeante de ce blockhaus, dans la tourelle, côté passerelle il y avait beaucoup de morceaux de ferrailles et autres ordures.
Cette structure allemande avait été construite pour avoir pour cible les véhicules, engins et combattants qui auraient pu utiliser le pont Bernard Palissy pour les combattre. Il n’a jamais servi.
Les requis (souvent saintais) qui l’on construit ont souvent procédé à des actes de sabotage au cours de sa construction, essentiellement dans le dosage sable / ciment.
Les croquis, surtout ceux en coupe sont relatifs.
(Michel Souris - 17 - Saintes - 4/2015)