« L’auteure est rentrée dans la résistance dans le même temps où elle persiste dans l’écriture »
Saintongeaise, 24 ans, après des études de droit non abouties, elle consacre ses loisirs à l’écriture, mais pourquoi, telle est la question !
Comme beaucoup…
« Vers mes 8 ans j’aimais écrire des courtes poésies, puis un jour ma maîtresse de primaire, suite à une chansonnette « Rose » et autres textes, avait remarqué avec quelle facilité j’aimais écrire des petits textes. Bien plus tard, par la suite j’avais écrit des nouvelles, en fait c’était aussi un exutoire. Mon premier roman, qui avait pour titre - Illusions – avait été écrit dans les jours du décès de mon grand-père, c’était en 2009 ».
L’auteure est satisfaite, son livre est terminé et il sortira vers le 2 septembre, sur Amazone et en présentation publique. Ce roman-fiction avait été commencé en 2014, à cette époque elle travaillait sur un site d’accueil et avec beaucoup de temps disponible, c’est alors à cette époque que sur l’ordinateur les pages ont commencé avec Word. Mais dans ces débuts il y avait eu beaucoup de critiques, c'était pour - Illusions - et cela avait fait très mal. Le mot fin a été inscrit après la page 200, mais pourquoi avoir écrit « Résistant »…. ?
« J’avais vraiment ce besoin d’écrire et je voulais aussi faire voyager les gens au travers cette histoire fiction ».
Justement cette fiction, sans en dévoiler les arcanes secrètes, pouvez-vous zoomer dessus.. ?
« Cela se passe en 2200, la technologie arrive à son apogée, les robots ont tellement évolué qu’ils sont capables de penser par eux-mêmes. Tout est en osmose totale sur la terre, tout va bien mais survient un bug informatique, mais surtout un hacker qui révèle la volonté d'un pays de déclarer une guerre bactériologique, comme c’est une histoire à l’échelle mondiale. Ainsi il y a une concertation rapide des dirigeants qui, pour enrayer ces dangereux comportements, vont décider de détruire toutes les technologies de pointe. Ce sont des millions de vies qui sont en jeu…. »
Comment vous avez écrit, aviez-vous le déroulement total du scénario dès la première ligne… ?
« Bien sûr. Au début j’avais une vague idée. Puis j’ai suivi le courant comme on suit le cours d’un fleuve et les idées se sont enchaînées à la suite les unes des autres. En fait j’ai construit tout au long des pages »
Est-ce que vous vous situez ou vous vous retrouvez dans tel ou tel personnage… ?
« Dans ce roman je suis un peu dans chaque personnage, quand j’écris je mets aussi un peu de mon âme dans chacun d’eux ».
Cela vous a demandé, en temps réel, certes espacé dans le temps… ?
« Une année de travail d’écriture, étalé sur quatre ans. J’écrivais quand j’étais triste, et je pouvais écrire à différentes heures du jour ou de la nuit. Vivant seule cela m’était assez facile pour gérer mon emploi du temps »
Les moments les plus difficiles et votre avis sur ce travail abouti… !
« Comme je l’ai dit au début de notre entretien, j’ai eu beaucoup de critiques, essentiellement dans le début de mon écriture, mais aussi je voulais un livre vraiment présentable et sans faille, tels les erreurs en syntaxe et bien sûr avec une orthographe impeccable »
Merci chère auteure et vous souhaitant une bonne diffusion de votre seconde œuvre littéraire, à quel prix on trouve « Résistant ».. ?
Sur Amazone : En broché : 9 € 99 – En e-Book : 3 € 00.
Au début du 20ième siècle le général Sarrail commandait l'armée d'Orient dans la région de Korça. Comme il avait fallu fédérer les Albanais il avait alors offert la possibilité de créer la première république d'Albanie, sous le nom de Korcë. Ce fut alors le premier état albanais. Dans ce temps là il fut alors ouvert un lycée français. Ce fut le début de la mise en place d'une belle culture avec la langue albanaise (langue remontant dans les temps très éloignés) .
Voilà ce qui explique le choix du nom de cet espace ouvert par JMM, qui avait d'ailleurs bien connu cette région pour y avoir été en mission en opération extérieure, alors qu'il était en activité professionnelle.
Cet espace a été ouvert pour être mis à la disposition d'artiste, dans un double but, à savoir exposer leurs créations, mais aussi pouvoir créer sur place, avec la possibilité d'y faire ainsi des rencontres et échanges culturels.
L'utilisation de cet espace est gratuit, mais le gérant se réserve le droit d'être très sélectif sur les demandes car il ne désire que des artistes qui tiennent la route.
Ainsi pour sa troisième exposition on peut découvrir les œuvres de l'artiste Annie Brunetot, vous pourrez vous entretenir avec elle de .... la quadrature du cercle.
Et cerise sur le gâteau, pour le bon choix de JMM, il s'agit de redonner une dynamique à ce quartier via cette antique artère saintaise, trop souvent négligée.