8 - Hommages sur " Notre " France - Michel Lis et la nature domestiquée - Boucher charcutier c'est un métier
Amis.... vous avez refusé la barbarie
Amis.... on refuse de vous oublier
Amis... entendez-vous...?
Ouvrez le ban...
Paroles et images, photos et hommages
70 ans… déjà
Du public, des corps constitués, des anciens combattants et l’école des élèves techniciens de l’armée de l’air.
Immuable depuis le 8 mai 1945, pour les 70 ans bien sûr on veut parler du grand vent de liberté qui a soufflé sur les plages de Normandie, vent avec des dégâts considérables devant tant de flammes qui se sont éteintes revêtant alors les ailes de la gloire.
Saintes, square maréchal Foch, défilé, prises de paroles, dépôts de gerbes, chant des partisans et Marseillaise, puis départ vers les maisons de retraite de la ville, ainsi que vers certaines maisons de santé. Avant la cérémonie il y avait eu différents dépôts de gerbes en ville, à savoir qu’un hommage a aussi été rendu au cimetière St Vivien, au carré du « Souvenir-Français ».
Un regret on a pu remarquer que le grand public n’est pas très représenté, pas plus qu’à la rencontre, dite « Vin d’honneur » organisée dans une des salles de réception de la mairie ; pourtant chaque année la municipalité y convie la population.
Pendant que nous sommes dans la salle de réception, voyons de plus près…
Dans la salle une vingtaine de personnes ont pu écouter les prises de paroles de Gabriel Gaboriau (président de l’UFACS), de Jean-Philippe Machon (Maire) et de Jean-Claude Laujac (président local du Souvenir Français).
Gabriel Gaboriau a rappelé que cette année étant le soixantième anniversaire de tellement de souffrances et d’espoir, il fallait commémorer cette année comme il se doit, ne serait-ce que pour la venue en septembre des hommes de la Dordogne qui avait sauvé et libéré Saintes un certain lundi de foire. Aussi il demande à Monsieur le maire que la ville soit à la hauteur, sachant que ce maquis libérateurs n’a plus que deux représentants ayant connus les combats de Saintes.
Monsieur le Maire a alors rappelé le haut sens de ce jour et des 70 années de paix qui s’en sont suivies, mais écoutons notre maire…
Monsieur le Maire, que représente pour vous ce 8 mai… ?
« Le 8 mai, c’est le souvenir, c’est la mémoire. C’est l’essentiel pour rappeler ce nouveau départ de l’Europe. Il faut conserver la paix, nous rappeler ce qui s’est passé. C’est cela le devoir de mémoire, cette chance de la paix, une paix durable pour nous, mais surtout pour les générations futures. Nous étions dans une guerre mondiale et ce matin j’ai entendu….. c’est un équilibre fragile…. Nous restons des hommes, tout est fragile. Le ciment pour lutter contre cette fragilité c’est ce devoir de mémoire. Avec l’âge on en prend plus conscience »
Cette guerre a-t-elle marquée votre enfance…. ?
« Je n’étais pas né durant ce conflit. Mon père était très attaché au devoir de mémoire. Quant à mon beau-père il avait fait cette guerre à partir de l’Afrique du nord. Je fais partie de cette génération née juste après la guerre ».
Monsieur le Maire nous pourrons en rester là pour l’instant, vous comme chacun de nous avons un vécu, une approche sur cette douloureuse période, mais c’est une autre histoire…..
Puis une simple réception, mais on y a appris qu'une exposition sur le " Souvenir Français " est prévu sur la base de Paban (EETAA 722), puis qu'au cimetière St Vivien un hommage avait été rendu au docteur Parat, il avait été sur le bateau " Le Pourquoi-pas ", ce navire avait eu une triste fin.
Extraits... le dire et le redire.. le MANQUE de liberté, oui vraiment il existait à cette époque.
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Michel Lis
Un terrien de chez nous
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Nouveau commerçant à Saintes
" Boucherie charcuterie "
Un départ et un nouveau couple de commerçants rue St Vivien
Vers 1885 la famille Coumaillaud s'était installée comme commerçants " Boucherie charcuterie " rue St Vivien, puis un nouveau commerçant leur avait succédé, ceci pour trois années, c'était Monsieur Hapiot. Enfin il y eut la famille Gravelle, puis en juin 1982 était alors arrivé Jacky Roux.
Pour Jacky et Maryline Roux, c'est terminé, en effet ce samedi matin 10 mai, ils partent à la retraite. Le couple se retire sur la commune d'Epargnes, dans une maison de famille. Jacky et Maryline avaient su se faire apprécier de leur clientèle.Nous leur souhaitons un long et bon parcours dans cette nouvelle vie, entre promenade et jardinage et bien sûr..... avec une autre belle mission celle de grands-parents.
Bienvenue aux nouveaux commerçants qui ne manqueront pas, à leur tour, de vous souhaiter la bienvenue en leur magasin , mais aussi à vous rencontrer dans leurs tournées du jeudi et du vendredi après-midi. Mickaël Brun, 33 ans, est originaire de Thézac. Béatrice Grand, 42 ans, est originaire de Saujon. Mickaël a fait son apprentissage à Saujon et il est boucher charcutier, quant à sa compagne, Béatrice, elle était vendeuse dans le commerce de la volaille. Mickaël est un ancien de la " découpe " en effet il exerce ce métier depuis 17 années. Le couple connaissait bien Saintes, mais pas vraiment ce quartier St Vivien, nul doute que cela viendra rapidement. Côté loisir, plus que nécessaire dans le commerce et ce métier très prenant, pour monsieur c'est la passion du football et pour madame c'est la pratique de la moto. Alors bonne route et bon commerce dans la ville de Saintes, sa banlieue, son secteur rural.