24 - Paris n'est pas brûlé, il se libère mais à Saintes.... ! Victor Hugo Ambiance Brasserie
" Victor Hugo "
Bar, ambiance, Brasserie
Saintes
« Nous parlons beaucoup de l’arc, mais il faut préciser que la rue Victor Hugo était une des artères principales de la ville, ceci depuis les Romains »
Précisions avec des chiffres, autour du commerce de bouche… « Le Victor Hugo » :
Depuis environ 2000 ans cette rue est connue, d’abord Decumanus, elle fut ensuite la rue du pont, puis grand-rue ensuite rue Victor Hugo en 1886.
Ainsi, Fréderic Lechon, 46 ans, gérant de sa double activité, a une obsession, faire revivre ce secteur « est » de la rue portant le nom de notre illustre poète. Voici 9 mois qu’il a repris possession des lieux, qui fut, il y a peu, bien connue toujours sous le nom, comme le savaient le dire les clients.. « On va au Victor Hugo », qui avait été bar tabac restaurant.
Frédéric connaissait bien l’établissement pour y avoir travaillé de 1994 à 2003, comme il le dit si bien.. « C’est comme une histoire d’amour avec cet établissement, puis j’aime bien parler aux gens ».
Découvrons les lieux du « Bar, brasserie avec ambiance », établissement au concept étendu depuis peu à son « Epicerie fine » qu’il vient d’ouvrir à l’extrémité de son bar, en angle avec la rue de la poste.
Au premier abord nous sommes frappés par le nouveau style, très design, mais surtout avec une belle luminosité, un lieu où l’on a vraiment envie de rentrer, pour s’y restaurer, se détendre, mais aussi échanger assez facilement.
Côté restauration : Nous y trouverons des consommations de bouche, comme l’indique le menu, pour des prix très abordables. Un plus très sympa, ici pas le menu enfant formaté mais c’est vraiment adapté pour cet âge difficile parfois, on peut dire moins de frais et pas de gaspillage pour ces petits clients. Pour les produits de table ce sont des préparations avec des produits locaux, on dira Saintongeais, mais en s’appuyant sur des circuits courts. Mais F.L tient quand même à faire savoir qu’il est parfois bon de présenter des produits d’autres régions. Ce qui nous amène à son « Epicerie fine ». Dans cet espace, flambant neuf, on y découvre des produits, bien sûr arrivant ici par des circuits courts, mais aussi avec des rayonnages forts sur des produits de conserverie «
Quelque-part par ce concept Fréderic Lechon se retrouve un peu avec l’esprit épicerie de quartier.. Bientôt il compte aussi avoir un dépôt de pain, quant à tous les produits qu’il propose en épicerie fine, voir le diaporama, en fait un extrait rapide, mais le mieux est de venir passer un bon moment au « Victor Hugo », sachant que l’on n’est jamais mieux servi que par sa propre vision. Il se félicite car il a déjà eu de bons échos de commerçants du secteur piéton qui lui ont fait remarquer qu’il avait mis une magnifique énergie dans le lancement de son établissement.
On pourrait conclure en mettant l’accent sur le fait que ce commerce se trouve à un superbe carrefour au milieu du secteur piéton, en effet on le découvre depuis le cours national, on le devine depuis la rue Alsace Lorraine et, immanquablement, on tombe dessus en parcourant la rue de l’abreuvoir et la rue de la poste.
A très bientôt et pour réserver voici les coordonnées :
Contact : 06 71 06 83 48 / 05 46 96 70 12.
Nous étions côté " Bar Brasserie" et si maintenant nous passions dans son épicerie fine......
A bientôt et... bon appétit, bons achats et beaux échanges.... avec un goût de...revenez-y.
Paris ne brûle pas,
Il se libère.
Pendant ce temps à Saintes des hommes meurent....
Le film sur la libération de Paris est passé il y a peu sur nos petits écrans... mais ils ne faut pas oublier ces hommes.... les Allemands avaient la gâchette facile à Saintes...
En images.... la rue et le mur, là où des hommes sont morts et ont soufferts des heure... Des rescapés il y en a eu et ils ont témoigné.
Parmi les chanceux, malgré les graves blessures aux genoux pour l'un d'eux.
Après ce voyage en août 1944, mais rien ne vous interdit de visiter ce site, Cinq jour après ce drame les Allemands évacuaient la ville. Un retour en janvier 1944.... avec une image " Art Crash ".