9 février - EREA et Blockhaus allemand. Barbara Cardwell en vernissage. Karine Salmieri en vernissage.
E.R.E.A
Visite vestige dernière guerre
Blockhaus de la gare
dans le cadre d'une action éducative, étudiant la 2ième guerre mondiale, une dizaine de jeunes de l'EREA ont visité le blockhaus de la gare. Avec des comentaires depuis le 2 septembre 1939 au 8 mai 1945. Mais à quoi servait cette structure...! Uniquement de protection car aucun armement.
Pour la petite histoire qui rejoint souvent le grande.... mais 74 ans plus tard. Comme le blockhaus avait été squatté la mairie avait fait posé des cadenas et il n'y avait pas de lumière pour la visite guidée par l'auteur de Culture-Histoire, mais cela a permis de se mettre en situation dans le noir lors des alertes et des bombardements, celui du 24/6/44 ou du 14/8/44. La prochaine approche de cette seconde guerre se fera à l'EREA... cette fois avec des photos inédites sur Saintes. Après ces heures socio-éducatives on se dirige vers deux vernissages en centre ville... En premier lieu avec Karine Salmieri à Instant Art....
On vous invite à découvrir les œuvres de Karine Salmieri, elles vous attendent pendant 15 jours. Par moment on pense que Bernard Buffet a copié Karine..... ! Et avant de rejoindre Barbara Cardwell à " La musardière " pour sa seconde exposition en centre ville, une photo à la Doisneau, clin d'œil à la galerie d'Yvan....
Barbara avait bien su attirer son petit public pour lancer son exposition. On se souvient de ses premiers pas en galerie, c'était il y a quelques mois à la galerie de la mutuelle " APIVIA ".
Barbara semble satisfaite se son exposition.... " Très contente pour les visiteurs, ils sont gentils de venir. Il y a toujours des choses belles à voir dans le monde (de la peinture) " A bientôt chère Barbara et merci pour votre dynamisme que vous aimez laisser deviner sur vos créations on dira ... abstraites mais tellement parlantes pour certaines. On aura pu noter la présence d'une descendante du modèle de la statue de la liberté à New York. Notre Saintonge a bien ses secrets... gardés.