24 - La Statue de la liberté Descendance en Saintonge. Avec Sarah Coblenzer Top Modèle en 1875. Protestants à Saintes. Fils de la Vierge.
Statue de la liberté
Avec Sarah Coblenzer dans le rôle du " Modèle "
Au cœur de notre Saintonge une arrière-petite-fille,
de cette " stature " de légende, nous présente et nous révèle quelques secrets....
" Je suis née en 1939, mon père était français et d'origine polonaise, ma mère était danoise. C'est tout au début l'histoire d'une amitié entre deux hommes, Bartholdi et mon ancêtre Adiolphe Salmon..... puis ils avaient alors décidé de donner une statue aux U.S.A, certainement en souvenir de La Fayette " Ainsi s'exprime Karine qui a accepté de nous recevoir et de nous présenter un superbe livre écrite par une descendante Salmon .... " Lady Liberty - I Love you ".
Bartholdi et Salmon avait sympathisé en 1871 et c'est ainsi que Sarah, née en 1844, a été choisie pour servir de modèle, mais dans ces temps son identité, de modèle, ne devait pas être dévoilée. De nos jours Sarah repose près de l'ingénieur Bartholdi au cimetière Montparnasse. Il y a 31 ans l'hebdomadaire " Vendredi Samedi Dimanche - V.S.D avait réservé quelques-unes de ses pages à la descendance et au modèle.
Du visage bien sûr on notera les ressemblances entre les nez, celui de la statue avec celui d'une descendante, on dirait un " nez " à l'antique. Pour conclure écoutons Karine.... " Bartholdi avait été au mariage de ma grand-mère, en photo sur ma cheminée, il avait été un des témoins ". Puis une dernière anecdote.... " Dans la famille du témoin on disait souvent... " Quand tu tiras à New York tu seras accueilli par notre grand-mère ".
Entretien intime conviction avec l’arrière-petite-fille
Madame, en quelques-mots, quelles seraient vos réponses…. ?
Dans votre vie on en parlait souvent dans votre cercle familial… !
« Nous en avons toujours parlé, mais bien sûr pas quand j’étais enfant. C’est seulement après la mort de ma grand-mère que nous en avons parlé le plus. Mon père ainsi que mon frère ont beaucoup accumulé des informations dans leurs bureaux, ils ont fait beaucoup de recherches historiques. Puis il y a eu le bicentenaire de la statue et c’est à cette occasion que nous avons été contacté pour des articles ».
Quand nous regardons sur Internet nous découvrons plusieurs « Modèles » quelles preuves, certes mis à part vos recherches validant votre descendance de Sarah, avez-vous que c’était bien votre arrière-grand-mère…. ?
« On l’a toujours su c’était transmis dans la famille ».
Le fait de descendre de ce célèbre « Modèle » avec ce que cela représentait dans le monde, a-t-il eu une incidence sur vous, votre vie… ?
« Aucunement. Nous avions bien essayé de nous faire inviter par le maire de New York, c’était pour une restauration, mais cela n’a pas abouti et c’est notre cousine Marcelle, en photo sur V.S.D en comparaison avec Sarah. Elle a certainement été choisie car elle était encore au plus près de la famille Salmon ».
Aujourd’hui et certainement depuis longtemps en éprouvez-vous de la fierté… ?
« Complètement. Une grande fierté ».
Je vous remercie et ce fut une fierté de m’entretenir avec vous…. j’en serais longtemps fier.
Protestants à Saintes
Expos pour " 500 ans "
Et Histoire... in situ
C'est en ce moment dans la" salle de l'étoile " à Saintes (proche Médiathèque). Venez découvrir les origines du protestantisme à Saintes, depuis les tristes guerres de religions. On a aussi appelé les Protestants, les Huguenots ou les gens de la Religion Prétendue Réformée. Détail sur cette expo à découvrir.....
Dans le quartier St Vivien se trouvait le premier temple de Saintes, construit en 1603 et détruit à la révocation de l'édit de Nantes en 1685, obligeant les hommes et femmes de cette pratique à aller écouter le " prêche " dans le " désert ", c'est à dire hors de leurs structures de cultes habituels, desquels ils avaient été chassés, ils étaient aussi persécutés. Images d'éléments ayant appartenu aux premiers Protestants de Saintes.
Le graffiti a du être dessiné sur le mur du temple, le poids monétaire a été trouvé dans ce secteur, quand au cadran solaire il se trouve toujours sur le site du temple, dans une propriété privée. Quant à la colonne expiatoire elle se trouvait dans un jardin contigu au temple, le terrain où elle se trouvait se nommait... " La croix du prêche ". Retournons dans le présent avec notre belle météo.... on pouvait voir dans notre ciel les fameux fils de la Vierge.
Toujours dans le curieux, en promenade champêtre un curieux cercle dans un terrain agricole sur les hauteurs de Saintes.
Comme sur Culture-Histoire nous aimons bien celle-ci, surtout quand elle touche notre cité, sans remonter très loin dans le temps.... retour à l'époque où le Syndicat d'Initiative (Office de Tourisme) se trouvait place du maréchal Foch)