23 - Dédicaces au jeu des cartes.... postales - Un handicapé verbalisé.... - Amour et des mots.... - Marché de Saintes: Concertation bruyante - Ecurat: Souvenir de mémoire - Anne Bert écrit contre la mort " tabou " - La bête....
Saintes encartée...
Un livre et une expo qui marchent
" Saintes il y a 100 ans... "
Les cartes postales racontent Saintes, il y a 100 ans. A l'expo les permanents s'activent pour rendre vivante leurs panneaux de présentations, vendre le livre et surtout signer des dédicaces. Ainsi ce jour l'auteur de C-H s'est vu dédicacé son livre, mais il manquait le griffe de Frédéric Morin, un des trois auteurs, et de bien d'autres petites mains....
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P.V mérité
Un automobiliste atteint d'un handicap aurait été verbalisé à tort..
" Débat "
Ce conducteur, en fauteuil roulant, unijambiste a contesté son P.V, pour stationnement sur emplacement interdit réservé aux personnes atteintes d'un handicap (nécessité de détenir le macaron G.I.G ou G.I.G). Mais il a été condamné à payer, malgré sa réclamation. Lisez-bien l'article, l'auteur de Culture-Histoire n'est pas d'accord avec le médiateur de la république, en effet. " Cher Monsieur, l'agent verbalisateur ne peut revenir sur le fait qu'il a relevé une infraction. Par contre seul l'officier du ministère public, souvent le commissaire de police peut faire surseoir à l'obligation de payement, en demandant un complément d'enquête sur cette demande d'annulation, et, bien sûr, avec l'avis de l'agent verbalisateur. Dans le cas présent, le macaron n'était pas bien visible, tout porte à croire que l'annulation / indulgence pourrait être accordée, aussi le contrevenant n'aura pas à faire le siège de la Préfecture ".
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Quand les anciens maniaient l'amour avec humour, sans indécence.....
Quittons ce texte d'humour, peut-être même de l'appel d'un jeune homme adressé à Cupidon, pour nous rendre sur le marché Reverseaux - St Louis, à Saintes.
Marché Reverseaux / St Louis
75% des commerçants de ce marché du mardi et vendredi l’avaient demandé, la municipalité a suivi.
Réunion de mise au point, sous la direction de Gérard Desrente, élu en charge des marchés, qui était assisté de trois administratifs et en présence de 40 commerçants.
« Il s’agit d’un transfert du marché, du site actuel, St Louis, à son ancien emplacement place du 11 novembre. Notre priorité étant les commerçants qui viennent y installer leurs étales le mardi et le vendredi, essentiellement les abonnés. Nous vous présentons plusieurs configurations pour ces deux journées ».
Suite à cette ouverture par l’élu, place aux remarques et suppliques….
- Les commerçants préfèrent avoir leurs étals en vis-à-vis avec d’autres commerçants, puis aussi avoir le soleil dans le dos et pas en face.
- Il faut tenir compte des manœuvres des gros véhicules et de leurs remorques.
Puis très violemment….
« Le mardi, qui va se mettre à la place des espaces laissés libres à l’entrée du marché (côté Sud), ce sera des passagers avec leurs produits sans intérêt… ! » (Il est cité certains articles qui ne peuvent être repris ici…)
Après ce grand cri, Gérard Desrente reprend…
« Ceux qui sont là le mardi et le vendredi auront la même place. Mais soyons calme, on est là pour discuter, trouver les meilleures solutions ".
Et un cri du même auteur…..
« Pas trop de favorisés, on va retrouver un certain commerçant à l’entrée du marché, bien sûr les clients iront le voir, plus près de leurs véhicules, vu la lourdeur des produits achetés… Facile pour cet homme. Il faudrait aussi que les commerçants occupent toujours les places situées vers l’entrée du marché »
Et ainsi de suite..
- On remet le marché avec les mêmes emplacements qu’auparavant, bien sûr sauf le mardi ».
Pour conclure, tout au moins cette première partie de la réunion de ce vendredi, l’élu précise qu’il faut surtout une cohérence sur ce marché, marché du mardi surtout et bien sûr en période hivernale où il y a beaucoup de places de vide.
La parole de conclusion est laissée une commerçante…
« Il nous faut peut-être groupir… le mardi ».
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Histoire, nostalgie, devoir de la mémoire collective ou bien tout simplement des souvenirs.....
1944, 1994, 1997, 2014 ......
1944: 22 juillet crash d'un avion à Ecurat 1994: Comérmmoration / cinquantenaire 1997: Inauguration stèle et venue veuve d'un des aviateurs 2014: La recherche de la traçabilité historique n'a jamais de fin...
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Esprit de Jean Cocteau
ou
Imaginaire de Culture-Histoire
" La belle et la bête.. aux thermes "
Si vous cherchez la belle, elle est déjà partie, quant à la bête elle vous attend..... à la nuit tombée c'est encore mieux en frisson garanti. Parlant de frisson on peut aller à la rencontre d'une auteure qui fréquente un certain tabou, la mort.....
Anne Bert en est à son sixième livre. elle avait commencé ses écrits dans l'érotisme et sans tabou. Comme ses ventes se déroulent bien, ses livres ont été repris en édition de poche. Pourquoi " Epilogue selon Marguerite "...? D'ailleurs sorti avant " S'inventer un autre jour ", ce livre présenté à la " Maison de la presse " ce jour, saute du tabou du sexe à celui encore pire, qu'est la mort. Mais écoutons Anne, elle écrit certes, mais elle commente aussi... " J'aime bien écrire sur les tabous, sur ce qui se passe derrière les portes, la mort, le sexe, la pauvreté, la vieillesse. Dans ce livre sur Marguerite (nom d'emprunt, mais cette femme a existé dans le milieu rural) il y a un rapport avec le sensuel corporel, allusion, Marguerite se souviens de ces instants dans sa jeunesse. Marguerite nous précise aussi que tout a une fin, que ce n'est pas triste de mourir ". Zoom sur " s'inventer un autre jour ": Il s'agit dans le premier chapitre d'une jeune fille qui vit dans l'île de Ré, elle fantasme sur Fabrice Luccini, sur sa manière de mettre ses mains, entre autres... ".