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7 - Investigations crash... faute de nouveautés ou de recherche dans mes archives.

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Investigations Crash

Dernières actualités sur mes recherches du 3/7/2020

 

" Nieul les Saintes "

 

Bien sûr cela peut concerner en priorité les Fan's de notre histoire, via ces faits de guerre que sont les crashs d'avions dans notre région, mais aussi c'est de l'information éducative pour tous.

Le panneau avec le cercle montre en son centre un fragment d'os, une étude est en cours pour savoir si c'est un fragment osseux du corps du capitaine américain tué sur le site...!
Le panneau avec le cercle montre en son centre un fragment d'os, une étude est en cours pour savoir si c'est un fragment osseux du corps du capitaine américain tué sur le site...!
Le panneau avec le cercle montre en son centre un fragment d'os, une étude est en cours pour savoir si c'est un fragment osseux du corps du capitaine américain tué sur le site...!
Le panneau avec le cercle montre en son centre un fragment d'os, une étude est en cours pour savoir si c'est un fragment osseux du corps du capitaine américain tué sur le site...!

Le panneau avec le cercle montre en son centre un fragment d'os, une étude est en cours pour savoir si c'est un fragment osseux du corps du capitaine américain tué sur le site...!

Quand notre histoire remonte à la surface, enfin ce qui n'est pas désagrégé par le temps, voir l'oxydation.
Quand notre histoire remonte à la surface, enfin ce qui n'est pas désagrégé par le temps, voir l'oxydation.

Quand notre histoire remonte à la surface, enfin ce qui n'est pas désagrégé par le temps, voir l'oxydation.

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4 - Invitations: Concerts à Saintes.... Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire
Nos fidèles lecteurs vous informent... Saintes en culture via la musique.
Nos fidèles lecteurs vous informent... Saintes en culture via la musique.

Nos fidèles lecteurs vous informent... Saintes en culture via la musique.

4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire
4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire

Dans un toute autre domaine

Investigations sur site de crash d'un avion US

Recherches compétences pour m'aider à trouver une réponse sur un fragment d'os découvert sur le point d'impact de cet avion américain, en 1944, avec le point précis où le pilote a trouvé la mort. Merci si vous avez des compétences en structure osseuse du corps humain.

4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire
4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire
4 - Invitations: Concerts à Saintes....  Orgues... Cédric Burgelin... St Pierre... et le 26 juillet 2020 Les Chemin de mémoire

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3 - Saga Témoignages 39/45 à Saintes, avec Kléber R......... Point fort: Bombardement US Saintes, documents inédits.

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Dans la série des témoignages de Saintais, voici celui de Kléber Raymond, avec en point fort,

le bombardement US (8ième Air Force) sur Saintes

avec une cible ratée.... mais pas la population. 

Feuille de route de l'escadrille US avec 38 avions " B 24 ".  Mais rentrons dans le témoignage global du vécu de Kléber Raymond.

Feuille de route de l'escadrille US avec 38 avions " B 24 ". Mais rentrons dans le témoignage global du vécu de Kléber Raymond.

Raymond Kléber - 1927 copie générale

1939/45: " Villa des roses " rue Marcelin Berthelot - Saintes  11/6/1996: Saintes

1 Crash d'un avion anglais à Ecurat - 27/7/44

Affecté au dossier " Crash avion Mosquito à Ecurat "

2 Combat de libération de Saintes - 4/9/44

Affecté au dossier " Combat de Saintes - 4/9/44 "

3 Mitraillage ateliers SNCF - Saintes

C'est confus, mais je me souviens de plusieurs mitraillages , nous montions alors nous réfugier sur les hauteurs du " Chailllot "

4 Bombardement de Saintes - 24/6/1944

Cette nuit-là je dormais dans ma chambre à l'étage de notre maison familiale. Dans la maison il y avait mes parents et deux de mes frères, André 14 ans et Georges 11 ans.

J'ai alors été réveillé par la sirène, on s'était habillé rapidement et au dehors on avait vu le ciel illuminé. Nous sommes tous partis dans la prairie du jardin public et arrivés au terme de notre fuite, les premières bombes avaient commencé à tomber. Sur le chemin j'avais entraîné ma mère par le bras et une fois sur place on s'était couché.

Au loin, au-dessus du triage on apercevait des jets de lumière de couleur orangée, ils se détachaient sur l'horizon.

J'ai aussi vu des tirs de D.C.A, certains depuis la caserne Taillebourg et les autres depuis les hauteurs de la ville. En fait la D.C.A avait commencé à tirer dès l'illumination du ciel. Les avions faisaient un balai incessant.

Nous sommes rentrés à la maison vers les 1 h 30 / 2 heures, après les derniers éclatements de bombes.

5 Bombardement de Saintes - 14/8/1944

Mes parents étaient à la campagne, j'étais avec mon frère Robert (19 ans) dans notre jardin et je me rasais. J'avais entendu les avions, mais sans plus. Puis j'ai vu tomber des objets gris que j'ai pris pour des avions, en biais et très bas, en fait c'était des bombes., puis il y a eu un sifflement.

Aussitôt le ciel s'était obscurci, il était devenu presque noir et accompagné d'un grondement. Avait suivi un temps de silence, qui je pense était de quelques minutes... mais cela n'avait peut-être pas été si long ! Se terminant alors par une multitude de bruits, c'était les " objets " qui retombaient.

A la deuxième vague, je me précipitais (Nous nous précipitons..!) dans la cave où à peine rendu j'avais entendu un sifflement suivi d'explosions, d'éclairs jaillissant dans la cave par les " outeau " (Ortho...! / Vasistas) suivi d'éclats, apprenant ensuite que c'était des morceaux de bombes.

Puis il y avait eu les mêmes silences et les mêmes bruits des objets retombant au sol.

Par une grande chance une bombe, tombée dans notre jardin, avait fusé et donc pas explosé. Elle s'était retrouvée enfouie à environ 1 mètre sous la terre. Le pâté de maison était le seul resté debout. Et la troisième vague a été suivie des mêmes effets. A la quatrième vague l'air était devenu irrespirable et nous avons donc évacué les lieux.

Nous sommes sortis dans la rue Marcelin Berthelot, nous dirigeant vers la prairie, on avait rencontré sur notre chemin Mme Richetin qui nous avait annoncé que deux hommes de son foyer venaient d'être tués dans son jardin. Cette personne était notre voisine d'en face.

Nous avons continué notre route et dix mètres plus loin nous avons découvert un homme plaqué contre son garage avec les bras en croix. Trois cent mètres plus loin nous rencontrons les premiers secours, nous sous sommes joints à eux et ainsi on avait aidé pour retrouver les survivants.

Notre maison n'avait plus de toit, plus de fenêtres et les murs étaient lézardés.

La bombe non explosée faisait environ 1 m 20 de longueur avec un diamètre de 0 m 50. J'en avais fait un motif de décoration.

6 Epuration

Non repris ici au 3/7/2020... Affecté au dossier " Epuration "

Saisie du 3/7/2020 Copie 7/2020

C'était une très belle journée.......  (Merci de rectifier.. 65 blessés et non 115...)
C'était une très belle journée.......  (Merci de rectifier.. 65 blessés et non 115...)
C'était une très belle journée.......  (Merci de rectifier.. 65 blessés et non 115...)

C'était une très belle journée....... (Merci de rectifier.. 65 blessés et non 115...)

Le témoin, architecte de son métier, a réalisé plus tard ce dessin, au plus près de la réalité des faits.
Le témoin, architecte de son métier, a réalisé plus tard ce dessin, au plus près de la réalité des faits.
Le témoin, architecte de son métier, a réalisé plus tard ce dessin, au plus près de la réalité des faits.

Le témoin, architecte de son métier, a réalisé plus tard ce dessin, au plus près de la réalité des faits.

Et autre plan /témoignage de ce fait de guerre.
Et autre plan /témoignage de ce fait de guerre.

Et autre plan /témoignage de ce fait de guerre.

Bien sûr on quitte cette triste période pour présenter deux photos que je viens de recevoir d'un fidèle lecteur, Michel G.... que je remercie ici.

Bien sûr on quitte cette triste période pour présenter deux photos que je viens de recevoir d'un fidèle lecteur, Michel G.... que je remercie ici.

Dans le ciel de la banlieue de Saintes...  belles prises.
Dans le ciel de la banlieue de Saintes...  belles prises.

Dans le ciel de la banlieue de Saintes... belles prises.

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30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Ecole d'Enseignement Technique de l'Armée de l'Air 

B.A 722 - Saintes

En août 2002 devant un important parterre de militaires et élèves techniciens, j'avais expliqué pourquoi mon investissement envers le….

" Devoir de Mémoire " et bien sûr ma passion pour mes investigations historiques dans les souvenirs des humains et sur le terrain.

30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002

                                   LE DEVOIR DE MEMOIRE

 

*

 

Les raisons majeures de cette animation / débat sont, d'une part: La présentation de la démarche historique par la recherche de témoignages et d'éléments matériels sur un fait, en l'occurrence il s'agit ici d'un fait de guerre.

Ceci doit nous faire prendre conscience, que ce qui' n'était au départ qu'un vulgaire morceau de tôle, un banal éclat de pierre, de vagues récits ou toute autre chose sans grand intérêt apparent, deviennent, du fait d'investigations précises, des témoignages empreints de vie, voire de respect, deviennent des reliques, car ils reflètent les drames vécus par des centaines de mille d'êtres humains.

Ces démarches d'investigations tant en recherche d'éléments matériels que de témoignages humains, s'appuyant sur des bases solides, dans le but de la Conservation de la mémoire des hommes, permettront la contribution de tous et de chacun de nous au DEVOIR DE MEMOIRE.

LA MEMOIRE

Pour les origines de la mise en action de notre mémoire et de sa transmission tout peut être supposé. Ainsi, certainement que les premiers occupants humains de notre terre, avant même d'avoir un langage très étendu, un peu comme les animaux, avaient dans leur programmation du comportement la mémoire de leu vécu, influant de ce fait sur leur mutation comportementale.

Puis un jour, au fur et à mesure de leur progression technique, peut-être même parallèlement à l'élargissement de leur langage ces hommes ont étendu leur vocabulaire. 

Il est probable, qu'au cours de concentration d'individus, voire avant de s'endormir, devant un feu, certainement jamais éteint, les hommes commentaient des faits de la journée, ne serait-ce qu'en se ventant. Je ne pense pas que les premiers hommes perdaient de leur temps en " Bla bla ou baratins " dits intellectuels " comme nous le pratiquons de nos jours.

Donc, de jour en jour, de mois en mois, d'époque en époque, nos hommes préhistoriques se remémoraient très certainement leurs faits glorieux, sans oublier les catastrophes et leurs grandes terreurs, voire même qu'ils se rassemblaient pour revivre ou se rappeler ces grands faits. Avec souvent pour repère lune, soleil et saisons.

 

Ce qui a fait, que de veillées en veillées, d'évolution en évolution, les grands faits, les traditions des ancêtres se sont inscrits d'eux-mêmes dans la transmission orale, mais aussi conserver sous d'autres formes, à savoir, peintures rupestres, graffiti et autres moyen de communication.

Il est probable, et même évident, qu'avant toute mémoire inscrite donc conservée, il n'y avait que la mémoire vivante, celle qui était transmise oralement et mémorisée uniquement dans le cerveau des individus, auteurs de ces faits et de ceux qui en avaient connaissance, soit pour les avoir vécus ou en avoir reçu l'information d'un ancêtre.

La mémoire sauvegardée étant essentiellement celle qui a été gravée, écrite. Au sujet de la mémoire sauvegardée, nos ancêtres avaient un avantage sur nous. Ainsi qu'ils s'agissent des hommes préhistoriques, dits " hommes des cavernes ", des fabuleux architectes pharaoniques, des flamboyants constructeurs de cathédrales, de bien d'autres qui gravaient ou inscrivaient leur mémoire sur des supports solides, résistant au temps. Leurs moyens de conservation étaient et reste plus durable que les procédés de l'homme contemporain qui fait trop confiance à ses supports modernes, voir électroniques et basés sur le principe du magnétisme, avec tous les dérivés, ordinateur, CD, logiciels, etc…

En effet si une catastrophe, voire un séisme magnétique, même de minime importance survenait, qu'adviendrait-il de notre mémoire conservé selon ces procédés. Dans ce domaine on peut dire que la mémoire sauvegardée sous forme d'écrit peut rester plus fiable dans le temps.

Pour en revenir à la MEMOIRE VIVANTE, moyen de transmission orale de nos ancêtres, c'est cette méthode de transmission qui nous intéresse, en partie, aujourd'hui, mais pourquoi. !

Pourquoi…! Et bien, de nos ancêtres de l'âge de pierre aux veillées de nos arrières grands-parents, il y a un point fort qui est commun, en effet la mémoire vivante reste la même, reste basée sur le même principe, mais, et on ne peut que le regretter, il est pratiquement impossible, que de veillées en veillées, des récits puissent nous parvenir d'aussi loin.

Je parle de ces faits non sauvegardés, non conservés, faits qui se transmettent par le moyen bien connu du bouche à oreille.

Pour un grand nombre d'entre nous, ici présents, nous n'avons pas connu ces soirées où ces instants, au cours de rencontres, durant desquelles des anciens racontaient des histoires, celles des autres et souvent la leur. Celle des autres c'est l'histoire qu'ils tenaient de leurs parents, grands-parents, ces derniers les tenaient eux-mêmes de leurs parents, voire leurs grands-parents, et on pourrait remonter encore plus loin, mais les exemples en la matière sont rares, malheureusement la mémoire vivante se disperse, s'atténue et s'évapore au fil des générations.

 

Concernant la mémoire vivante, il m'est possible de vous citer un exemple qui m'est personnel, mais en vous renseignant auprès des anciens de vos familles peut-être que vous pourriez constater, à votre tour, et être étonné à quel point la mémoire vivante nous concerne tous, faut-il avoir tendu les oreilles au bon moment…..

Dans la famille de mon épouse, je tiens de mon beau-père ce qui suit….

" Un soldat de l'empereur Napoléon 1er, qui avait fait la retraite de Russie, était revenu à Saintes, avec ses moyens de bord, comme l'on dirait aujourd'hui, et il avait survécu en mangeant le jarret de son cheval…. 

Bien sûr cela paraît léger comme information…. Mais à d'autres veillées mon beau-père (Ainsi que sa sœur) en ont rajouté, à savoir que ce soldat, je pense qu'il s'agit bien du même, pour échapper à la poursuite des gendarmes qui le recherchaient comme déserteur, il ne tenait pas à remettre ce genre d'expédition désastreuse, ainsi pour échapper au regard des gendarmes il s'était déguisé en femme…. 

Le nom de cet homme échappe à mon beau-père, mais dans le courrier de famille il y a deux lettres de l'époque napoléonienne, signées par un nommé BEY, qui déclare à sa famille saintaise que le lendemain de ce courrier l'empereur doit passer son régiment en revue….

Ainsi ces faits se corroborent mutuellement, c'est de la mémoire vivante à l'état pure, mais comme je l'ai conservée en l'écrivant, celle-ci devient mémoire sauvegardée.

Ainsi par le simple fait de cette mémoire vivante, je pense sans me tromper que j'ai ainsi eu connaissance d'une partie de vie d'un homme étant né à l'époque de la révolution française, ceci sans rupture du bouche à oreille.

Cette mémoire vivante, nous en sommes tous détenteurs, mais aussi souvent coupables de l'avoir fait disparaître, parlant principalement pour moi, mais d'autres personnes pourront se reconnaître…..

Qui n'a pas dit un jour…! Comme moi-même je l'ai dit " Le papy, le pépé ou tel ou tel autre ancien, ancienne…. Il nous rabâche toujours la même chose, quand il commence on ne peut plus l'arrêter, il ne va pas nous remettre cela….. Qu'il s'agisse de la guerre ou de tout autre fait vécu par ce narrateur ou dont on lui a, à lui aussi, fait le récit… 

C'est ainsi que l'on fait taire la mémoire vivante, mais aussi on enferme dans son silence cette personne qui n'osera plus jamais raconter ces récits, même qu'agissant ainsi c'est aussi lui signifier qu'il n'est plus bon à rien, voire même qu'en le faisant se taire c'est nier son existence, voire celle de ceux dont il voulait parler.

C'est dommage, pour l'homme, mais aussi pour la transmission de cette mémoire vivante, car c'était peut-être le dernier détenteur de cette connaissance des faits qu'il aimait relater aux proches, c'était peut-être le dernier maillon d'une partie de notre passé.

Ainsi va le cheminement de notre mémoire, fut-elle collective ou au niveau familial, mais avec tout le respect que nous devons apporter au narrateur des faits rapportés qu'en est-il de nos jours.. !

Il y a cette mémoire sauvegardée et conservée, car mémorisée par un moyen physique, mais pour la mémoire vivante véhiculée depuis la nuit des temps jusqu'à notre génération, on peut dire en fait, sans beaucoup se tromper, que nous ne pouvons probablement remonter que jusqu'au récit que nos grands-parents, voire arrière grands-parents tiennent de leurs grands-parents, voire de leurs arrières grands-parents, vous pourrez vous-même faire le calcul, je crois que nous pouvons nous retrouver vers la fin de la révolution française.

La mémoire inconsciente remonte à la nuit des temps, la mémoire consciente ou vivante ne survit que grâce à la méthode du bouche à oreille.

Je pense que les " grandes frayeurs " vécues par l'humanité, en outre d'être gravées dans notre inconscient, sont certainement inscrites dans notre génétique

Parmi les grandes frayeurs qu'ont connues et subies les hommes, outre les catastrophes naturelles, il y a eu et il y a encore les calamités humaines, soit: Génocide, barbarie et acte de terrorisme, ceci à petite ou à grande échelle. Aussi les hommes doivent se rappeler ces faits, se rappeler les victimes, se souvenir d'hommes dignes de ce nom, qui avaient fait ou qui font encore leur, l'honneur et le combat pour la défense de l'homme. 

Souvent ce combat a été, et est pour certains, voire combattants de toutes sortes, voire journalistes… un ultime combat.

Ainsi qu'il s'agisse de la mémoire vivante, de la mémoire sauvegardée, le respect engendré par la narration, par la connaissance de grands faits vécus par nos ancêtres, héros ou victimes à l'échelon individuel ou collectif, fait que " Conserver la mémoire " des hommes devient un " Devoir ".

Ce " Devoir de mémoire ", terme moderne, certainement dû à une médiatisation importante des faits qui bouleversent l'humanité, s'il s'adapte tant aux grands évènements collectifs, qu'individuels, ne peut ignorer la cellule familiale. C'est tant mieux, car si la mémoire est une arme contre l'oubli, le devoir de mémoire est une arme de prévention contre toute atteinte à l'homme.

Mais nous pouvons nous demander…. Ce devoir de mémoire, à quelle époque devons nous remonter pour que cela nous apporte une satisfaction morale… !

Il est vrai que le DEVOIR DE MEMOIRE, tel que le terme est entendu comme le vécu de notre collectivité, il faut bien en convenir, ne peut remonter à la nuit dès temps, sauf pour le respect du genre humain en général.

 

Nous pourrions prendre comme éléments de références, pour en parler en termes forts trois grands faits qui ont marqué nos contemporains, au sens large du terme. Ainsi il y a eu la guerre franco – allemande de 1870, puis la 1ière guerre mondiale de 14/18 et la 2ième guerre mondiale de 39/45.

La dernière guerre est toujours présente dans le cœur des hommes, mais aussi dans leur corps et dans leur mémoire, la 1ière guerre mondiale est encore présente dans le cœur des gens qui ont eu des proches qui ont souffert de cette guerre, ce conflit de 14/18 est aussi présent dans le corps de peu de survivants qui ont souffert dans leur chair de ce conflit, mais aussi cette guerre des tranchées demeure dans la mémoire de beaucoup, pour en avoir entendu tant et tant d'atroces récits.

Quant à la guerre de 1870 contre l'Allemagne, elle s'estompe de notre mémoire vivante, peu de gens ont encore dans le corps et le cœur des cicatrices de ce conflit.

Je pense, sans me tromper, que pour placer dans le temps ce DEVOIR DE MEMOIRE, nous devons nous laisser guider par notre affectif.

On peut aussi déclarer, haut et fort, que, tant que demeurent en vie des gens ayant connaissance de barbarie, de génocide, de terrorisme, à quelque échelle que cela soit, tant que l'homme aura le cœur serré à ces seules évocations, le DEVOIR DE MEMOIRE devra être sollicité.

La MEMOIRE…. c'est le respect des hommes dignes de ce nom qui nous ont procédé, mais c'est aussi une arme contre toute forme de guerre, la mémoire c'est la seule arme qui reste aux hommes quand leur corps est usé par les années et affaibli par l'âge.

Michel SOURIS

30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002
30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002
30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002

RECHERCHES HISTORIQUES SUR UN FAIT DE GUERRE

 

*

 

En matière de recherches historiques, pour la personne intéressée par ce genre d'investigations, aussi bien dans un but personnel, que collectif, il y a deux possibilités: soit faire des recherches sur des faits s'étant déroulés il y a fort longtemps, cas où il n'y a plus de personnes, encore en vie, pouvant témoigner sur tel ou tel fait, ou alors faire des recherches sur des faits contemporains, voire pour ce qui va suivre, sur la guerre 39/45 thème de cette journée.

Il est évident que pour tout ce qui est antérieur à 1900, il n'y a pas de survivants de cette époque, sauf cas exceptionnels… Contacter alors nos centenaires. Aussi, en ce qui me concerne et pour x raisons j'ai choisi l'époque de la dernière guerre, étant né en novembre 1944, ceci explique peut-être cela.

Comme tous le savent bien, dans nos sites médiévaux ou romains, seules les pierres peuvent s'exprimer, alors j'ai pensé qu'il serait dommage de ne pas conserver la mémoire de nos contemporains, alors que nous avons la possibilité de témoignages directs.

Je vais vous commenter la démarche de mes investigations historiques, relevant principalement de 10 ans d'expérience et ayant rencontré environ 1000 témoins.

Il s'agit ici présentation de méthodes de recherches axées sur le crash de deux avions, après un combat aérien, ce fait de guerre s'est passé en janvier 1944 dans notre Saintonge. 

Souvent le point de départ de mes investigations a comme origine une simple phrase sur un fait de guerre, avec, en général, comme simple indication, un lieu-dit, des fois une commune, quelques fois une date, voire une époque de l'année.

Mon intérêt immédiat est de retrouver et de localiser le site du crash, mais pour cela je dois partir en quête de témoins oculaires ou de personnes qui ont de vagues informations. C'est ainsi, que par ces premiers " bouche à oreille " j'en arrive à situer le point de chute de l'appareil, voire que des fois il y a confusion d'avions et qu'un avion, explosant parfois en plein ciel, se retrouve en plusieurs endroits sur le sol.

Puis après la localisation du point de chute, il y a une autre priorité, il me faut rencontrer beaucoup de témoins pour obtenir un maximum d'informations me permettant ainsi d'avoir une vision globale, mais aussi détaillée, de ce fait de guerre. Un maximum d'informations permet aussi une approche assez précise de la véracité des faits.

Il faut considérer que les témoins, en règle générale, sont tous âgés, cela se confirmant de jour en jour, et que, ainsi, va la vie ces hommes et femmes nous quittent un jour où l'autre. 

Mon père disait… " Un homme qui meurt, c'est un livre que l'on enterre… " Oui nos anciens, qui nous ont quittés, ont emmené avec eux leur histoire et une partie de la notre…

Dans ces investigations il y a une autre difficulté, à cette époque il y a aussi des mouvements de population, cas de force majeure, mais aussi par le fait de mariages et de changement de région, aussi des témoins de l'époque peuvent aujourd'hui se retrouver à l'autre bout de la FRANCE, voire à l'étranger. Puis il y a eu les changements de noms dus aux mariages.

Mais je reviens sur le point de chute de l'avion.

Avec les premiers témoignages il m'est possible de localiser le point d'impact de l'avion sur le sol, parfois avec des repères décrits par les témoins, faute qu'il ne se rende sur le site avec moi, soit aussi par la découverte immédiate de pièces de l'avion sur le site, l'appareil s'étant souvent brisé au moment de l'impact avec le sol. A savoir que parfois l'avion se retrouve enfoui dans le sol, souvent un champ. 

Un autre moyen de repérage est l'empreinte de l'impact de la chute de l'avion au sol, ainsi on constate que la terre est d'une autre couleur ou que la végétation est aussi de couleur différente. Ce dernier détail repose sur le fait que l'avion qui vient de tomber prend feu, l'huile, le carburant brûlent, chauffant la terre, provoquant une transformation accidentelle de la composition de celle-ci.

Par exemple, pour la végétation, quand il s'agit de blé, tige d'une dizaine de centimètres, au cœur du crash le blé sera de couleur verte : jaune alors qu'autour la couleur est normale, soit verte. Cinquante ans après les faits la terre porte encore les traces de combats.

Sur ce site ainsi localisé et dont un relevé de l'emplacement est effectué, un maximum d'éléments matériels de l'avion sont récupérées. Cette récupération a plusieurs buts, à savoir que si la marque et la nationalité de l'appareil ne sont pas encore connus, ces éléments aideront à apporter une réponse. Ensuite en étudiant de plus près les éléments découverts il sera possible d'approcher au plus près des faits, soit connaître certains détails d'avant le crash et au moment de celui-ci. Un intérêt historique non négligeable étant de garder ces pièces comme témoignage pour demain.

Toujours dans le détail historique, certaines pièces sont révélatrices des faits eux-mêmes ou de la chronologie de ceux-ci, pour démonstration voici deux exemples:

Soit nous trouvons des douilles percutées, donc dans ce cas, tir effectué au cours du combat aérien, soit la cartouche est entière, mais aussi déformé par le choc ou qu'elle ait éclaté du fait d'un l'incendie; ces détails sont donc déterminant dans la chronologie des faits. Autre cas, alors que l'avion vient de brûler au sol, des éléments métalliques ont fondu et en refroidissant ils ont enserré dans la matière d'autres morceaux de l'avion, puis aussi cette matière fondue, refroidissant sur le sol a pris l'empreinte du sol, voire de la végétation de l'époque. 

Il y a aussi les traces de feu, les traces et le sens de déchirement des éléments de l'avion, ce qui nous donne une idée sur la mort atroce des aviateurs prisonniers dans leur cage de fer. 

Au sujet de cette recherche d'indice matériel, il faut toujours avoir à l'esprit qu'au bout de ces métaux déchiquetés et acérés, il y a toujours le sang des hommes, des larmes et certainement des cris et appel au secours.

C'est ainsi que de simples morceaux de tôle, de métal, de plexiglas, ou tout autre matière deviennent témoignage pour notre histoire.

Pour ce qui est des témoignages humains, la situation se complique, car souvent des évènements identiques, d'une manière relative, se sont déroulés dans une même région à quelques kilomètres de distance.

L'intérêt est donc de rencontrer un maximum de témoins, preuve en est que pour le crash du bombardier américain à NIEUL LES SAINTES, j'ai rencontré 70 témoins, et cela a été payant. Un maximum de témoins permettant un maximum d'informations, de détails, mais surtout d'entrecoupement de ces récits.

Avant tout entretien de fond avec un témoin potentiel, il lui est demandé son âge, ainsi que son métier et son domicile au moment des faits. Voir que le témoin nous parle de son environnement familial. Ensuite pour le déroulement logique du témoignage, le témoin se positionne par rapport à ce qu'il a vu, ce qu'il a vécu et qu'il nous indique son occupation au moment des faits. Parfois, je ne l'ai pas toujours fait, il est nécessaire de se rendre sur place, même refaire avec le témoin son parcours au cours du déroulement des faits.

Quant au témoignage proprement dit, il est étonnant de constater, qu'alors que la personne relate le fait qu'elle connaît, elle se transporte à cette époque, se transpose de sa condition actuelle à celle qu'elle avait à l'époque, quelque part on peut dire que le témoin remonte dans le temps, il a le comportement de quelqu'un qui vit l'événement, j'ai vu deux témoins s'effondrer en larme (Ces témoins se trouvaient en 44 sous les bombardements alliés).

Comment expliquer ce comportement ! A mon avis : Premièrement Par le fait de l'extrême jeunesse du témoin au moment des faits.

Deuxièmement: Par le vécu émotionnel d'une extrême violence subi à l'instant des faits.

En fait comme si ces images s'étaient gravées en eux, comme le ferait l'impact d'un flash.

Mais… Ce témoin nous dit-il la vérité, sa vérité, sa vision des choses…. !

Il a pu entretenir, durant 50 ans une vision déformée de son vécu, un mélange de plusieurs faits regroupés en un seul…. Oui c'est certainement possible, mais c'est là que le travail de l'historien intervient, car il s'agit de démêler les informations , de faire des recoupements, etc..

Par contre le témoin mentirait-il par intérêt, vantardise, affabulation, je pense qu'en la matière le mensonge volontaire est rare, car le témoin va au plus profond de lui-même, trouvant aussi une satisfaction de livrer ce vécu aux autres, pour une fois qu'on lui demande, et puis mentir quand il est question de notre vécu, de notre passé, voir notre jeunesse…. Dans quel but !!

Donc je demande au témoin de relater ce qu'il a vu, ce qu'il a vécu et alors je peux avoir affaire, parfois, à deux cas extrêmes, soit le témoin a de gros trous de mémoire, pour différentes causes, bien qu'ayant connu des faits d'une grande violence, soit le témoin, un peu comme le ferait un magnétoscope, fait un récit parfait se déroulant comme un film. C'est le genre de témoin qui fait la joie du chercheur. 

Dans cette rencontre avec les témoins, le dialogue n'est jamais le même, en fonction du nombre d'interlocuteurs, l'idéal étant, je le sais par expérience, le témoin et l'enquêteur, voire qu'il peut aussi y avoir un ou deux proches du témoin. Il est évident que l'on peut aussi admettre deux enquêteurs. Il ne faut pas oublier que ce tête à tête avec le témoin est un instant privilégié, intense où le témoin se confie, donc une mise en confiance totale.

Parlons aussi de la discrétion, de la neutralité du chercheur, mais aussi savoir faire faire une pause à la rancœur, à la haine, tout au moins ne pas la faire grandir.

Pour étayer et appuyer ces témoignages, concernant ces faits historiques relatés, il est nécessaire d'aller fouiller les archives, dans les administrations, d'autres familles, dans les pays étrangers, aussi il faut partir sur la trace de survivants pour récupérer leur témoignage sur leur vécu au moment des faits, permettant ainsi de les confronter avec ceux des témoins.

Mais il arrive que la situation se complique, car en temps de guerre, on ne donne pas de noms, on connaît la peur, donc on se cache mais aussi on se tait, on ne note pas les dates…. Certains précisent: c'était aux moissons, c'était aux vendanges, il y avait un beau ciel bleu…..

Et puis, pour ne citer que des combats aériens, rien que dans notre Saintonge, du 31 décembre 1943 au 5 janvier 1944, il y a eu 4 bombardiers US et 4 chasseurs allemands abattus. Une dizaine d'aviateurs US et deux aviateurs allemands ont été tués, il faut aussi compter dans le ciel une vingtaine de parachutistes, rien d'étonnant que pour les témoins il puisse y avoir eu confusion.

C'est là que l'intervention de l'historien chercheur est utile, car il aide les témoins à y voir plus clair dans ce qu'ils ont vu, en effet celui-ci a une meilleure vue d'ensemble que les témoins, sans risques de balles ou de bombes…

Pour en conclure avec cette argumentation sur la recherche historique contemporaine, je précise que tous les témoignages recueillis sont notés et après, mises en forme, sont déposés aux différentes Bibliothèques, ainsi qu'à la Société d'histoire locale, souvent sous forme de recueils ou de livres, pouvant être aussi obtenus par les particuliers gratuitement

Pour revenir au DEVOIR DE MEMOIRE, il arrive que sur les lieux des crashs d'avions des stèles soient érigées, que des rues portent les noms des acteurs victimes de leur devoir.

En ce qui me concerne j'ai apporté ma contribution à l'érection de 2 stèles, sur les sites suivants: ECURAT, crash d'un avion de la ROYAL AIR FORCE le 22 juillet 1944, NIEUL LES SAINTES, crash d'un Bombardier de l'US Air Force le 5 janvier 1944. La stèle de NIEUL LES SAINTES a été inaugurée en janvier 2001 en présence du fils du Capitaine Charles Donald COLE, mort héroïquement pour la FRANCE sur cette terre de Saintonge.

Mais il ne faut pas s'y tromper, derrière cette stèle ou une autre, borne du temps, au-delà de la plaque, au delà du Capitaine COLE, il y a ces centaines de milliers d'hommes et de femmes victimes d'un système barbare et totalitaire, ou tous les autres héros ordinaires d'un gigantesque conflit.

Je souhaite que la prochaine stèle, qui sera érigé, soit une pierre de la Mémoire pour construire la Paix de demain.

Michel Souris – 2002

 

Argumentation présentée et débattue devant l’ensemble des élèves techniciens de l’armée de l’air (EETAA 722 – Saintes 17) le 23 mars 2002

 

 

30 - J'étais conférencier à l'école des Elèves techniciens de l'armée de l'air de Saintes - Août 2002

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28 - Charlotte Renou était boulangère à Saintes... Je l'ai souvent rencontrée - Ordination à Saintes: Nouveaux prêtres

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Madame Renou,

" Merci pour tous nos entretiens que nous avons eus en maison de retraite où vous vous étiez retirée ". 

En effet voici quelques années je visitais des personnes en maison de retraite, certes cela me permettait de récupérer une partie de leur vécu, mais aussi.....   " Je demandais aux responsables quelles étaient les résidents qui avaient le moins de visite, voir pas du tout et ainsi je visitais l'élu et souvent jusqu'à son grand départ ".

Ce soir je vous invite dans la chambre 16 / appartement de Charlotte Renou, à son écoute. 

Voici une partie de son vécu, durant la terrible période....  2 septembre 1939 / 4 septembre 1944 à Saintes où elle tenait son commerce, avec son mari, au fournil, rue Pasteur.

Voici une partie de son vécu, durant la terrible période.... 2 septembre 1939 / 4 septembre 1944 à Saintes où elle tenait son commerce, avec son mari, au fournil, rue Pasteur.

Avec son accord, certes moral, car elle n'est plus là pour un accord verbal, voici d'autres photos.... son mari Edmond Renou à l'armée et d'autres devant la boulangerie, dont l'une prise quelques-instants après le passage de De Gaulle en septembre 1944 à Saintes. Madame Renou m'avait transmise cette partie de sa mémoire car elle savait fort bien que je la raconterais un jour prochain.... (Précision: Ce témoignage est un document d'études et n'est pas finalisé)
Avec son accord, certes moral, car elle n'est plus là pour un accord verbal, voici d'autres photos.... son mari Edmond Renou à l'armée et d'autres devant la boulangerie, dont l'une prise quelques-instants après le passage de De Gaulle en septembre 1944 à Saintes. Madame Renou m'avait transmise cette partie de sa mémoire car elle savait fort bien que je la raconterais un jour prochain.... (Précision: Ce témoignage est un document d'études et n'est pas finalisé)
Avec son accord, certes moral, car elle n'est plus là pour un accord verbal, voici d'autres photos.... son mari Edmond Renou à l'armée et d'autres devant la boulangerie, dont l'une prise quelques-instants après le passage de De Gaulle en septembre 1944 à Saintes. Madame Renou m'avait transmise cette partie de sa mémoire car elle savait fort bien que je la raconterais un jour prochain.... (Précision: Ce témoignage est un document d'études et n'est pas finalisé)

Avec son accord, certes moral, car elle n'est plus là pour un accord verbal, voici d'autres photos.... son mari Edmond Renou à l'armée et d'autres devant la boulangerie, dont l'une prise quelques-instants après le passage de De Gaulle en septembre 1944 à Saintes. Madame Renou m'avait transmise cette partie de sa mémoire car elle savait fort bien que je la raconterais un jour prochain.... (Précision: Ce témoignage est un document d'études et n'est pas finalisé)

La très belle photo où l'on voit deux dames assises, ne peut-être légendée car hélas Charlotte Renou n'avait plus la mémoire de ces personnes, mais c'est une photo très ancienne, vu les tenues et l'état de conservation du cliché.
La très belle photo où l'on voit deux dames assises, ne peut-être légendée car hélas Charlotte Renou n'avait plus la mémoire de ces personnes, mais c'est une photo très ancienne, vu les tenues et l'état de conservation du cliché.

La très belle photo où l'on voit deux dames assises, ne peut-être légendée car hélas Charlotte Renou n'avait plus la mémoire de ces personnes, mais c'est une photo très ancienne, vu les tenues et l'état de conservation du cliché.

Ordination sacerdotale à Saintes 

Pour deux nouveaux prêtres.

Un fidèle paroissien, mais aussi fidèle lecteur, me transmet des photos prises samedi dernier dans la cathédrale St Pierre.

Ordonnés prêtres par l'évêque de La Rochelle et Saintes, les nouveaux hommes d'églises ont commencé leur mission en toute humilité en s'allongeant face  contre terre. Ainsi ces nouveaux " vicaires du Christ " seront envoyés en mission. Souhaitons une belle mission et " moisson " à Brice Degbey et à Jean-Eudes Blandin de Chalain.

Ordonnés prêtres par l'évêque de La Rochelle et Saintes, les nouveaux hommes d'églises ont commencé leur mission en toute humilité en s'allongeant face contre terre. Ainsi ces nouveaux " vicaires du Christ " seront envoyés en mission. Souhaitons une belle mission et " moisson " à Brice Degbey et à Jean-Eudes Blandin de Chalain.

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27 - Patronage St Pallais de Saintes, autrement nommé " Patro des curés "

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Patronage St Pallais - Saintes

Entre 1952 et 1960

" Le patronage des curés "

Avec les ' Cœurs Vaillants "

C'est ici que tout avait commencé, un nouveau vicaire de la paroisse avait bien su se faire accepter, aussi pour son équipe de " Cœurs Vaillants ", ce prêtre, originaire de Vendée, avait fait le nécessaire pour attirer Jeudi et dimanche des dizaines de jeunes. Le jeudi.... dans les bois, le dimanche c'était le cinéma et au choix de nos deux salles, surtout au début. Au départ ce n'était que des films fixes et souvent muets quand c'était des films dits " bougeant ".

C'est ici que tout avait commencé, un nouveau vicaire de la paroisse avait bien su se faire accepter, aussi pour son équipe de " Cœurs Vaillants ", ce prêtre, originaire de Vendée, avait fait le nécessaire pour attirer Jeudi et dimanche des dizaines de jeunes. Le jeudi.... dans les bois, le dimanche c'était le cinéma et au choix de nos deux salles, surtout au début. Au départ ce n'était que des films fixes et souvent muets quand c'était des films dits " bougeant ".

Et bien sûr avec diverses activités, dont des kermesses annuelles.
Et bien sûr avec diverses activités, dont des kermesses annuelles.
Et bien sûr avec diverses activités, dont des kermesses annuelles.

Et bien sûr avec diverses activités, dont des kermesses annuelles.

Sur la côte sauvage, La Coubre, et à Chaumet les Violettes, vallon des arcs.
Sur la côte sauvage, La Coubre, et à Chaumet les Violettes, vallon des arcs.

Sur la côte sauvage, La Coubre, et à Chaumet les Violettes, vallon des arcs.

Après ce petit périple dans le parc du château du Douhet, retour dans la cabine de projection du cinéma et regard vers la scène de théâtre..... que de fous rires devant les Laurel et Hardy et autres comiques, mais aussi de bons moments devant les images fixes de " Tintin " où nous parlions à tour de rôle sur les images.

Après ce petit périple dans le parc du château du Douhet, retour dans la cabine de projection du cinéma et regard vers la scène de théâtre..... que de fous rires devant les Laurel et Hardy et autres comiques, mais aussi de bons moments devant les images fixes de " Tintin " où nous parlions à tour de rôle sur les images.

Espérons que vous avez été ravis de cette rétrospective, j'ai aussi le plaisir de vous annoncer le prochain article..... " Charlotte Renou, boulangère à Saintes en 39/45 ", une sacrée personne que je visitais régulièrement en maison de retraite de " La Providence " à Saintes et jusqu'à son décès. C'est là qu'elle m'avait tout raconté au cours de nos nombreux entretiens.
Espérons que vous avez été ravis de cette rétrospective, j'ai aussi le plaisir de vous annoncer le prochain article..... " Charlotte Renou, boulangère à Saintes en 39/45 ", une sacrée personne que je visitais régulièrement en maison de retraite de " La Providence " à Saintes et jusqu'à son décès. C'est là qu'elle m'avait tout raconté au cours de nos nombreux entretiens.

Espérons que vous avez été ravis de cette rétrospective, j'ai aussi le plaisir de vous annoncer le prochain article..... " Charlotte Renou, boulangère à Saintes en 39/45 ", une sacrée personne que je visitais régulièrement en maison de retraite de " La Providence " à Saintes et jusqu'à son décès. C'est là qu'elle m'avait tout raconté au cours de nos nombreux entretiens.

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24 - Je suis né en 1944. Investigations crashs.... rapprochement de découvertes: Le peigne d'un pilote

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1944

Il y a eu le fameux jour du 24 juin 1944, moi à cette époque j'étais parti avec mes parents en campagne, réfugiés à Bussac sur Charente.

Mes parents avaient bien connu la guerre et les alertes. Une triste sirène de jour et de nuit.

Bien après la guerre la sirène des ateliers SNCF, à 13 h 50, sonnait l'embauche aux ateliers et mon père nous disait souvent que cela lui donnait à chaque fois mal au ventre. Devenu grand je l'ai bien compris.

Né pendant la guerre, j'étais dans les entrailles de ma mère alors qu'i y avait eu les deux gros bombardements de Saintes, mais elle n'avait pas échappé aux chasseurs qui mitraillaient souvent la vie ferrée vers Bussac. Là-aussi je comprends bien maintenant la terreur de ma mère, courant dans les champs, tenant mon frère aîné par la main et me portant en elle.

Puis j'ai été baptisé en avril 1945, je n'ai jamais compris pourquoi pas après la capitulation allemande... ! Bien sûr on ne pouvait pas le savoir.

Sur une des photos, entre les bras de ma tante, on se trouve sur l'emplacement d'un ancien abri.

De cette épisode familiale partons sur mes investigations " Crashs avions de guerre - 39/45 ". Etudes comparatives de découvertes du 19 juin 2020 (Sauf pour le système radio)

De cette épisode familiale partons sur mes investigations " Crashs avions de guerre - 39/45 ". Etudes comparatives de découvertes du 19 juin 2020 (Sauf pour le système radio)

ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.
ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.

ET en prime... très humain, assemblage relatif de trois fragments du peigne du pilote US Charles Donald Cole.

Le peigne, après cette planche des découvertes du 19/6/2020

Le peigne, après cette planche des découvertes du 19/6/2020

24 - Je suis né en 1944. Investigations crashs.... rapprochement de découvertes: Le peigne d'un pilote

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23 - Témoignages... du quotidien à Saintes entre 40 et fin 44.

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Témoignages du quotidien de Saintais 

De 1940 à fin 44

 

Extraits......

Après le blockhaus / abri de Recouvrance... les extraits pris au hasard de mes dossiers...

Après le blockhaus / abri de Recouvrance... les extraits pris au hasard de mes dossiers...

4 Boulanger en 39/45 - Travail pour la panification allemande plutôt que le S.T.O

A l'époque j'habitais dans le quartier St Eutrope St Eutrope mais je travaillais dans une boulangerie vers la kommandantur (Rue Pasteur...!). De cet endroit je voyais beaucoup de collaborateurs.

Un jour deux feldgendarmes sont venus me convoquer à la boulangerie. Ainsi je m'étais rendu à la kommandantur où j'avais rencontré un interprète, un Alsacien M. Zink. Il m'avait engueulé en me disant... " Vous êtes un mauvais Français...". Par la suite M. Zink était rentré dans la résistance, sur la fin de la guerre.

En fait je ne voulais pas partir au S.T.O alors je m'étais embauché à la panetterie allemande, située rue de Lt Mazel, c'est toujours une boulangerie qui était là bien avant la guerre, elle servait à ravitailler l'armée française. Les allemands en avaient aussi besoin pour ravitailler leurs hommes du mur de l'Atlantique et dans le fournil il y avait jusqu'à 6 ou 7 fours.

1 Bombardement de Saintes - 24/6/1944

Cette nuit-là je me trouvais au lieu-dit " Les métrelles ", dans une maison se situant à l'entrée. Je me trouvais chez notre vendeuse, Paulette Guérin, nous avions le magasin " Michel Caoutchouc ". On était chez ses parents.

Le bruit des avions nous avait réveillés et j'avais alors ouvert une fenêtre au nord, apercevant les torches qui éclairaient le ciel. aussitôt j'étais partie rejoindre ma belle-mère et ma fille âgée de 4 ans, elles se trouvaient aux Métrelles dans les dernières maisons. Là avec d'autres personnes nous avons regardé vers la ville, apercevant les lueurs et entendant les explosions.

A la fin de l'alerte j'avais pris mon vélo, passant par " La Récluse " et le Haras j'avais rejoint notre maison de l'avenue Gambetta, pour m'assurer qu'il n'y avait pas eu de dégâts. J'avais appris le lendemain que j'avais eu de la chance car une bombe à retardement avait explosé devant le Haras.

Notre maison avait été secouée par les vibrations et il y avait de la poussière partout, je voyais même l'empreinte de mes pas en marchant. Au premier étage, la cloison entre la salle de bains et la salle à manger, était fissurée, déchirant alors la tapisserie à 1 mètre de haut et sur toute la longueur. (Photo prise.. visible en 1996)

J'avais aussi une lampe de chevet, un héron en métal blanc, portant une boule, il était tombé au sol en cassant cette boule. Je l'ai toujours. ( Photo: visible en 1996). Il a été dit que des allemands, qui s'étaient réfugiés dans les souterrains de la gare, avaient été tués et ils étaient nombreux.

En haut du cours national il y avait un dentiste, vers le théâtre, et aux alertes il partait se réfugier aux arènes. Mais pour ce bombardement quand ces personnes étaient revenues vers leur maison, ils l'avaient découverte détruite. ainsi ce dentiste, M. Forher - Bevin, a fait un malaise. Cet homme aura pour gendre le docteur Buovolo. Forher-Bevin - Chirurgien dentiste - 107, crs national - tél: 3.91 (annuaire 1939)

2 Bombardement de Saintes - 14/8/1944

Mon père étaiit chef d'îlot de la D.P. après le bombardement il avait été au cimétière St Pallais voir si la tombe de mon beau-frère, Serge Poupet (1916 - 14/3/43) était indemne. Cette tombe a une statue de " femme pleureuse ", elle a eu des impacts d'éclats de bombe (aucun impact visible en 2020). De l'autre côté, il y avait le caveau (8 places) du docteur Cazes (1872/1936) et il avait été complètement détruit. Par la suite une grande plaque de bêton avait été posée dessus avec une croix. Le cercueil du docteur Cazes avait séjourné quelques-temps dans notre caveau.

3 Combat de Saintes - Epuration - 4/9/1944

J'étais à la foire de Saintes, c'était un jour de liesse et le commandant Violette (Bataillon ayant libéré Saintes) était fêté par tous. On ramassait les femmes qui avaient couché avec les Allemands, pour les tondre. une fille avait été amenée au salon de coiffure Barré, rue Alsace Lorraine. On lui avait fait une coupe de cheveux très courte... puis on l'avait amené sur les marches du palais de justice , elles étaient deux ou trois.

4 Portraits du maréchal Pétain de De Gaulle

Quelques-jours plus tard (certainement après ce 4 septembre... M.S) des commerçants avaient en vitrine des photos du maréchal Pétain, mais les avaient vite remplacées par des photos de De Gaulle.

5 Chien loup et la Gestapo de Saintes

Chien loup et M.Henri. Nous avions une chienne « Finoute », coupée de loup et de berger allemand. M. Henri de la Gestapo qui demeurait dans le secteur (Rue Emile Zola) était venu voir maman et avait voulu que son chien couvre notre chienne. Son chien était aussi un chien coupé de loup, il lui avait donc demandé de l’amener à la prison, mais elle avait refusé. A cette époque les allemands recherchaient des chiens pour faire sauter les mines. Un jour ils avaient demandé que tous les chiens soient amenés sur la place Bassompierre. Notre chienne qui y avait été amenée avait mordu cruellement (malgré la muselière) un capitaine allemand, celui-ci avait alors sorti son pistolet mais ma mère s’était interposée. L’intervention de M. Henri a sorti ma mère et son chien de graves ennuis. Ce dernier avait alors déclaré… « Madame, je vous connais, je vous avais déjà demandé pour votre chienne.. »  et de ce fait il avait demandé que la chienne devrait être amenée à la prison où elle serait couverte. Après la mise à bas les « chiots » sont partis pour la prison, puis ils ont été emmenés en Allemagne. Ma chienne est décédée avant la mort de ma grand-mère en juillet 1949.

*

Depuis 1992.... entretiens avec des centaines de témoins, souvent chez eux et au meilleur endroit, assis autour de la table de la cuisine, mais aussi sur le terrain. Merci à ces nombreux témoins pour avoir accepté de raconter en me recevant. Belle confiance.

Depuis 1992.... entretiens avec des centaines de témoins, souvent chez eux et au meilleur endroit, assis autour de la table de la cuisine, mais aussi sur le terrain. Merci à ces nombreux témoins pour avoir accepté de raconter en me recevant. Belle confiance.

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22 - Investigations crashs... belle découverte - Dé-confinement.. souvenir - Visite dominicale à Fontcouverte

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Trois thèmes...

Dernières découvertes: Crash 5/1/44 = Une belle pièce

Fontcouverte.. la belle campagne de Saintonge

Confinement et après, mais souvenirs.... 

Zoom et détail. comparaison avec une même pièce mais d'un autre avion abattu une semaine plutôt... en faisant 7 morts US.
Zoom et détail. comparaison avec une même pièce mais d'un autre avion abattu une semaine plutôt... en faisant 7 morts US.
Zoom et détail. comparaison avec une même pièce mais d'un autre avion abattu une semaine plutôt... en faisant 7 morts US.

Zoom et détail. comparaison avec une même pièce mais d'un autre avion abattu une semaine plutôt... en faisant 7 morts US.

A Nieul les Saintes, un seul mort, le pilote, déchiqueté à 5 mètres de ce bouchon de réservoir.
A Nieul les Saintes, un seul mort, le pilote, déchiqueté à 5 mètres de ce bouchon de réservoir.
A Nieul les Saintes, un seul mort, le pilote, déchiqueté à 5 mètres de ce bouchon de réservoir.

A Nieul les Saintes, un seul mort, le pilote, déchiqueté à 5 mètres de ce bouchon de réservoir.

Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.
Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.

Joli et calme village de Saintonge, construit aux pieds du viaduc et à peu de distance de tunnel de Fontcouverte, dit aussi de Lormont. On peut remarque un superbe graffiti provenant certainement d'une structure très ancienne (la preuve en est qu'il est seul à cet endroit), mais reste à la déchiffrer.

Et nous terminerons cette ballade charentaise... entre vestiges de différentes époques, en faisant un petit retour sur les deux mois de confinement..... Action.... moteur.... images.....
Et nous terminerons cette ballade charentaise... entre vestiges de différentes époques, en faisant un petit retour sur les deux mois de confinement..... Action.... moteur.... images.....

Et nous terminerons cette ballade charentaise... entre vestiges de différentes époques, en faisant un petit retour sur les deux mois de confinement..... Action.... moteur.... images.....

Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G.......  en fait 12 foyers mais plus de noms... un  petit salut à chacun via ces lignes.
Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G.......  en fait 12 foyers mais plus de noms... un  petit salut à chacun via ces lignes.
Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G.......  en fait 12 foyers mais plus de noms... un  petit salut à chacun via ces lignes.
Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G.......  en fait 12 foyers mais plus de noms... un  petit salut à chacun via ces lignes.
Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G.......  en fait 12 foyers mais plus de noms... un  petit salut à chacun via ces lignes.

Et bien sûr rappel du groupe des 12 voisins... confinés mais pas ignorés.... Patrice, Sylvie, Camille, Thomas, Claude, David, M. B........,, Valérie, Frédéric, Michel, Noëlle, Axelle, Catherine, Fabienne, Hélène, Michel, Jacques et Mme G....... en fait 12 foyers mais plus de noms... un petit salut à chacun via ces lignes.

22  - Investigations crashs... belle découverte - Dé-confinement.. souvenir - Visite dominicale à Fontcouverte
22  - Investigations crashs... belle découverte - Dé-confinement.. souvenir - Visite dominicale à Fontcouverte

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20 - Plaisir.... du regard et imagination saintaise

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Prendre du temps

Rien que pour le plaisir….

….. des yeux.

Notre fleuve... se la coule douce... comme un fleuve que l'on voudrait long et tranquille. La preuve...

Notre fleuve... se la coule douce... comme un fleuve que l'on voudrait long et tranquille. La preuve...

Entre le ciel et l'eau, un pigeon saintais en plongeon.... alors que là-haut dans un ciel devenu bien vide la circulation est réduite au minimum nécessaire.
Entre le ciel et l'eau, un pigeon saintais en plongeon.... alors que là-haut dans un ciel devenu bien vide la circulation est réduite au minimum nécessaire.
Entre le ciel et l'eau, un pigeon saintais en plongeon.... alors que là-haut dans un ciel devenu bien vide la circulation est réduite au minimum nécessaire.

Entre le ciel et l'eau, un pigeon saintais en plongeon.... alors que là-haut dans un ciel devenu bien vide la circulation est réduite au minimum nécessaire.

20 - Plaisir.... du regard et imagination saintaise

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