Portrait vie privée
D'une femme publique : Catherine Quéré - Député PS
Catherine Cousot est née à Angoulême en 1948, certes elle est de famille
catholique, elle-même non pratiquante, mais pourtant elle fut baptisée à l’église St Pallais de Saintes.
Pourquoi Saintes et bien son père avait été attaché à cette ville par amour, en effet
c’est en se trouvant à la caserne Taillebourg qu’il avait connu ma mère Jeanine Braud. Ainsi, issu d’une famille normande de six enfants, il était fils d’ouvrier agricole, puis ses fonctions
militaire l’avaient amené comme sous officier à la caserne où était cantonné le régiment des tirailleurs sénégalais. En passant il est bon de préciser que ces hommes furent envoyés en première
ligne au cours du dernier conflit, comme le précisait alors le lieutenant Cousot à sa fille Catherine, des sénégalais se jetaient parfois devant leurs gradés pour les protéger.
Le père de Catherine Quéré militaire au R.T.S
Caserne Taillebourg, site qui a connu un fabuleux destin (Ce fut aussi le terrain de jeu.. bien plus tard de l'auteur de Culture-Histoire, à l'époque de la friche du site)
C’est ainsi qu’en juin 1939, l’homme qui deviendra mon père, a épousé Jeanine Braud
dont les parents étaient commerçants à Saintes.
En septembre 1939, la déclaration de guerre a fait que mon père est parti au
front ; Il a été fait prisonnier et il s’était retrouvé très loin à l’Est, dans l’oflag XVII A. Ce cap de prisonniers, pour les officiers, étaient très rigoureusement gardé, il était réputé
pour n’avoir connu aucune évasion.
« La paix revenue, mon père est rentré
dans l’enseignement. J’ai passé mon enfance à Angoulême mais je me retrouvais souvent à Saintes pour les vacances. J’ai eu une scolarité ce qu’il y a de plus banale, maternelle, primaire, puis
collège, lycée avec en final mon Bac en poche. J’ai ensuite pris la filière des lettres modernes à bordeaux Pessac, mais je n’ai pas été bien loin dans ce parcours d’étudiante. En tant que fille
d’enseignant je ne pouvais être que bonne étudiante, un peu plus tard j’avais même appris le russe, car j’adorais la littérature russe. Ainsi en août 1978 je me mariais, à la mairie d’Angoulême
d’abord et ensuite à l’église de Chaniers. Cela mettait fin à mes études mais mon mari m’a fait découvrir un « nouveau monde » il était exploitant agricole, là je peux dire que j’ai
vraiment apprécié ma nouvelle carrière. Mon mari, Jean-Yves Quéré, avait fait des études d’attaché de presse, mais il a surtout embrassé l’activité agricole, en effet il était viticulteur. Mais
de nos jours il est aussi conseiller général, alors ses études d’attaché de presse, puis a culture générale et sa connaissance de la société ont certainement été pour beaucoup dans son engagement
citoyen ».
Catherine Quéré, vos loisirs, vos pôles d’intérêts dans votre enfance et
maintenant… ?
« Quand j’étais jeune, j’aimais la lecture, faire les mots-croisés, je
précise pour les livres que j’adore consulter les livres de cuisine, j’aime faire la cuisine. Pour en revenir au monde littéraire, dans mon adolescence j’avais aussi écrit des poèmes. Le
jardinage je connais bien et je le pratique encore, avant j’avais des volailles. Même j’ai tué des cochons (pratique ancienne par la méthode… J’en ai vu égorger… C’est dur, c’était comme cela… NDLR) »
Aujourd’hui, vous avez un engagement citoyen, puisque comme chacun le sait, vous êtes
députée dans une circonscription de Saintes, nous n’allons pas revenir sur cette « mission », un article en a déjà parlé sur ce blog média, mais en un mot, pas de
regrets… ?
« J’ai beaucoup aimé le métier d’agricultrice, et, comme vous avez ouvert le
sujet société, j’ai aussi aimé la politique, socialiste bien sûr »
Merci Catherine, mais avant de se séparer, sans trop pénétrer votre vie privée, vous
avez des enfants… ?
« J’ai deux filles, Caroline et Olivia. Puis j’ai ensuite quatre
petits-enfants…. Antoine, Manon, Alice. Puis la toute petite dernière, née il y a peu, Camille. Vous savez je suis très famille, j’ai oublié de vous dire que j’avais une
sœur ».
Petite remarque qui a son intérêt, Catherine Quéré est très positive
(Dixit)
Merci Catherine Quéré, vous étiez venue sur ce blog média pour un interview sur votre
engagement politique, on vous reverra pour que vous nous expliquiez le parcours d’une loi. Depuis la révolution française on dit que le peuple fera la loi, via les députés, alors ce sera à vous
de démontrer que le pouvoir fait appliquer des lois qui émanent vraiment du peuple…. A propos… bonne chance, chacun vit pour ses rêves, vous vous
vivez pour votre idéal de société.
Bon parcours sur le chemin de la vie (Mots amicaux et sincères… NDLR)
Clin d'oeil à la commune de
Chaniers.......
Enveloppe postale culturelle (Création M.S 1989)
" Lavons sous la pluie "
Depuis quelques années déjà....
Economisons notre ressource primale
Résultat garanti nickel et... pas besoin d'essuyer.
Mise en garde: Il est interdit de laver son véhicule sur la voie publique ....... mais faut quand même pas pousser... si... maintenant... on ne peut plus
rien faire, même d'écolo..!!!!!
Accident nocturne... Dommages
PS: Le conducteur ne devait pas se rendre ou revenir du travail.... (Port larousselle -Saintes)
Kermesse - Vide grenier - 27 mai
" Papillon " dépend de l'association " Dépannage distraction ", c'est le principe des " Nez rouges ". Son organisation intervient dans les hôpitaux (surtout
pour les enfants) et dans les maisons de vie (de retraite).
Leur zone d'activité est le grand Sud-ouest. De Niort à Perpignan et de Bayonne à Clermond-Ferrand (Papillon est professionnelle pour la
Saintonge).
" Dépannage distraction " existe depuis 20 ans. Tous les clowns sont salariés.
Ecoutons Papillon...
" J'ai choisi cette voie professionnelle par vocation. auparavant j'aimais déjà le spectacle, mais bien sûr j'ai suivi un enseignement propre à ce monde
des clowns ".
Restauration possible sur place
Nuit des musées..... Une ouverture...
Imaginaire..... images du passé
Des sons d'autrefois.. et des voix
Avec Alice... Retour sur notre passé...... " Médecine
"
" Naissance et évolution de la médecine dans la Rome antique "
Devant un parterre de 11 personnes, dans l'accueil de l'amphitéâtre.
Extraits.....
"La volonté de se soigner a toujours existé depuis la préhistoire. La volonté de faire reculer la mort. Mais il y a eu une grande avancée quand les
hommes furent affranchis de la religion. Tout avait commencé avec Hippocrate, en Grèce, au Vième siècle avant Jésus-Christ. En effet des ouvrages écrits par Hipocrate, furent le socle de ce qui
deviendra la médecine occidentale. rappelons-nous du fameux serment d'Hippocrate qui liait les médecins dans leur fonction, en fait une déontologie de la profession. Ce serment est toujours en
vigueur, même s'il a changé dans les temps modernes, le fondement en reste le même.
Puis de la Grèce la médecine est venu au coeur de l'occident du fait de l'expansion de l'empire romain. Pour la Grèce la médecine, comme fondement
essentiel, était parti de la Macédoine.
A saintes nous avons retrouvé divers objets et instruments directement liés à la médecine romaine. Vous pourrez en voir devant vous, ainsi un pilon et
deux objets ayant appartenu à des oculistes. Sur ces objets, en bronze très bien conservés, on peut y lire les noms de praticiens, ainsi que le produit médical à utiliser.. Sur l'un d'eux on peut
lire... Caïus Julius...
La profession de médecin était très réglementé sur l'empire romain, voire gallo-romain pour notre territoire. Les médecins grecs installés à Rome était
alors acceptés comme citoyen romains pour pouvoir exercer leur profession, ce qui parfois les obligeait à latiniser leur nom.
Un système pour se faire la main pour ces médecins (chirurgien....) était d'intervenir dans le milieu des gladiateurs ".
.
Depuis 2000 ans..... le temps de la dégradation est omniprésent.....
Le pan de mur droit menace vraiment de s'effondrer (il fait le ventre)..... Il faudrait peut-être stopper ou ralentir " La chute de l'empire romain
".
En soirée et en musée...
Toujours la " Nuit des musées "
Musée Dupuy Mestreau, salle des faïences
Avec le conservatoire de musique de Saintes
Sous les yeux de Bernard Palissy, célèbre potier du 17ième, Cédric Burgelin, organiste de l'orgue de la cathédrale, est au
clavecin.
" Impromptus lyriques et musiques " répertoires des siècles passés.