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11 - Congrès archéologique de France. Un Anglais à Saintes... Ne pas oublier.. Agenda

Publié le par culture-histoire.over-blog.com

Un Anglais à Saintes

On se souvient...

A votre agenda de juillet

11 - Congrès archéologique de France. Un Anglais à Saintes... Ne pas oublier.. Agenda

L'Archéologie en congrès

à Saintes, la clôture.

Ce lundi après-midi avec des conférenciers de choix, le 177ième congrès s'est terminé. 

Pour Saintes: Avec l'église basse, dite crypte, dans l'église haute St  Eutrope, puis sur le parvis, avec  une belle ouverture sur le site St Eutrope.

Que ce soit dans l'église basse (crypte), l'église haute (Basilique) ou sur le parvis de l'église St Eutrope, aux environs de 100 personnes (inscrites pour ce congrès) ont suivi avec un vif et réel intérêt la présentation étalée dans le temps de ce prestigieux site religieux, que l'on pourrait décrire comme le berceau du christianisme chez les Santons.
Que ce soit dans l'église basse (crypte), l'église haute (Basilique) ou sur le parvis de l'église St Eutrope, aux environs de 100 personnes (inscrites pour ce congrès) ont suivi avec un vif et réel intérêt la présentation étalée dans le temps de ce prestigieux site religieux, que l'on pourrait décrire comme le berceau du christianisme chez les Santons.

Que ce soit dans l'église basse (crypte), l'église haute (Basilique) ou sur le parvis de l'église St Eutrope, aux environs de 100 personnes (inscrites pour ce congrès) ont suivi avec un vif et réel intérêt la présentation étalée dans le temps de ce prestigieux site religieux, que l'on pourrait décrire comme le berceau du christianisme chez les Santons.

Les conférenciers: Christian Gensbeitel, Samuel Drapeau et Yves Blomme, chacun dans sa spécialité, mais souvent croisée et interactive nous ont parlé de l'art et des constructeurs, que ce soit en bas, crypte, en haut, la basilique, voire le clocher, dont le docteur en art (médiéval) Samuel s'était fait le spécialiste. L'histoire ne cessera jamais de nos dévoiler ses secrets, certes avec un beau coup de pouce des chercheurs, soit en creusant le siol, soit en parcourant les anciens écrits, mais à chaque fois il faut souvent se gratter la tête car il faut tout faire correspondre. En effet nous n'avons plus de témoins oculaires encore en vie, mais, comme le disait Samuel Drapeau, parlant du clocher, reconstruit sous Louis XI, il y a les écrits, les correspondances et aussi des dates que l'on retrouve à la base du clocher.  Yves Blomme a longuement épilogué sur la question de l'époque à laquelle la coutume voulait que l'on sorte les reliques des Saintes, les tirant des pénombres pour les mettre en pleine lumière, ainsi présentées à la vénération des fidèles,; cette pratique semble bien installée au XIIième siècle. Sur ce sujet un Allemand en visite à Saintes, vers 1490, avait déclaré (écrit) bien avoir vu les corps d'Eutrope, d'Eustelle et d'un autre saint.  Pour le clocher,une date inscrite sur une pierre, 1482, nous dit aussi que cette année là le clocher fut consacré, mais on ne sait pas s'il était alors bien terminé. Quelque-part il a aussi été écrit que... " 150 bouchers, aux ordres du roi, avaient tué Eutrope... " mais aussi... " Quelques nobles chevaliers avaient aussi donné les coups de hache sur la tête du premier évêque de Saintes... " Enfin beaucoup de fantaisies à une certaine époque de notre histoire, mais qui ne servait pas la vérité, et loin de là...!  Nous aurons remarqué parmi les assistants, l'ancien maire de Saintes, Véronique, en charge de responsabilité sur le site historique de Trizay, des techniciens de la ville de Saintes, des personnes proches d ela municipalité de Saintes et bien sûr André Péret, éternel... et dévoué paroissien de St Eutrope qui est toujours disponible pour ouvrir l'église, le clocher, voire la crypte.  Merci à tous et à chacun pour ces magnifiques moments de partages dans le monde médiéval. A noter des des boursiers, étudiants en histoire de l'art, s'étaient vu offrir la participation à ce congrès archéologique.
Les conférenciers: Christian Gensbeitel, Samuel Drapeau et Yves Blomme, chacun dans sa spécialité, mais souvent croisée et interactive nous ont parlé de l'art et des constructeurs, que ce soit en bas, crypte, en haut, la basilique, voire le clocher, dont le docteur en art (médiéval) Samuel s'était fait le spécialiste. L'histoire ne cessera jamais de nos dévoiler ses secrets, certes avec un beau coup de pouce des chercheurs, soit en creusant le siol, soit en parcourant les anciens écrits, mais à chaque fois il faut souvent se gratter la tête car il faut tout faire correspondre. En effet nous n'avons plus de témoins oculaires encore en vie, mais, comme le disait Samuel Drapeau, parlant du clocher, reconstruit sous Louis XI, il y a les écrits, les correspondances et aussi des dates que l'on retrouve à la base du clocher.  Yves Blomme a longuement épilogué sur la question de l'époque à laquelle la coutume voulait que l'on sorte les reliques des Saintes, les tirant des pénombres pour les mettre en pleine lumière, ainsi présentées à la vénération des fidèles,; cette pratique semble bien installée au XIIième siècle. Sur ce sujet un Allemand en visite à Saintes, vers 1490, avait déclaré (écrit) bien avoir vu les corps d'Eutrope, d'Eustelle et d'un autre saint.  Pour le clocher,une date inscrite sur une pierre, 1482, nous dit aussi que cette année là le clocher fut consacré, mais on ne sait pas s'il était alors bien terminé. Quelque-part il a aussi été écrit que... " 150 bouchers, aux ordres du roi, avaient tué Eutrope... " mais aussi... " Quelques nobles chevaliers avaient aussi donné les coups de hache sur la tête du premier évêque de Saintes... " Enfin beaucoup de fantaisies à une certaine époque de notre histoire, mais qui ne servait pas la vérité, et loin de là...!  Nous aurons remarqué parmi les assistants, l'ancien maire de Saintes, Véronique, en charge de responsabilité sur le site historique de Trizay, des techniciens de la ville de Saintes, des personnes proches d ela municipalité de Saintes et bien sûr André Péret, éternel... et dévoué paroissien de St Eutrope qui est toujours disponible pour ouvrir l'église, le clocher, voire la crypte.  Merci à tous et à chacun pour ces magnifiques moments de partages dans le monde médiéval. A noter des des boursiers, étudiants en histoire de l'art, s'étaient vu offrir la participation à ce congrès archéologique.
Les conférenciers: Christian Gensbeitel, Samuel Drapeau et Yves Blomme, chacun dans sa spécialité, mais souvent croisée et interactive nous ont parlé de l'art et des constructeurs, que ce soit en bas, crypte, en haut, la basilique, voire le clocher, dont le docteur en art (médiéval) Samuel s'était fait le spécialiste. L'histoire ne cessera jamais de nos dévoiler ses secrets, certes avec un beau coup de pouce des chercheurs, soit en creusant le siol, soit en parcourant les anciens écrits, mais à chaque fois il faut souvent se gratter la tête car il faut tout faire correspondre. En effet nous n'avons plus de témoins oculaires encore en vie, mais, comme le disait Samuel Drapeau, parlant du clocher, reconstruit sous Louis XI, il y a les écrits, les correspondances et aussi des dates que l'on retrouve à la base du clocher.  Yves Blomme a longuement épilogué sur la question de l'époque à laquelle la coutume voulait que l'on sorte les reliques des Saintes, les tirant des pénombres pour les mettre en pleine lumière, ainsi présentées à la vénération des fidèles,; cette pratique semble bien installée au XIIième siècle. Sur ce sujet un Allemand en visite à Saintes, vers 1490, avait déclaré (écrit) bien avoir vu les corps d'Eutrope, d'Eustelle et d'un autre saint.  Pour le clocher,une date inscrite sur une pierre, 1482, nous dit aussi que cette année là le clocher fut consacré, mais on ne sait pas s'il était alors bien terminé. Quelque-part il a aussi été écrit que... " 150 bouchers, aux ordres du roi, avaient tué Eutrope... " mais aussi... " Quelques nobles chevaliers avaient aussi donné les coups de hache sur la tête du premier évêque de Saintes... " Enfin beaucoup de fantaisies à une certaine époque de notre histoire, mais qui ne servait pas la vérité, et loin de là...!  Nous aurons remarqué parmi les assistants, l'ancien maire de Saintes, Véronique, en charge de responsabilité sur le site historique de Trizay, des techniciens de la ville de Saintes, des personnes proches d ela municipalité de Saintes et bien sûr André Péret, éternel... et dévoué paroissien de St Eutrope qui est toujours disponible pour ouvrir l'église, le clocher, voire la crypte.  Merci à tous et à chacun pour ces magnifiques moments de partages dans le monde médiéval. A noter des des boursiers, étudiants en histoire de l'art, s'étaient vu offrir la participation à ce congrès archéologique.

Les conférenciers: Christian Gensbeitel, Samuel Drapeau et Yves Blomme, chacun dans sa spécialité, mais souvent croisée et interactive nous ont parlé de l'art et des constructeurs, que ce soit en bas, crypte, en haut, la basilique, voire le clocher, dont le docteur en art (médiéval) Samuel s'était fait le spécialiste. L'histoire ne cessera jamais de nos dévoiler ses secrets, certes avec un beau coup de pouce des chercheurs, soit en creusant le siol, soit en parcourant les anciens écrits, mais à chaque fois il faut souvent se gratter la tête car il faut tout faire correspondre. En effet nous n'avons plus de témoins oculaires encore en vie, mais, comme le disait Samuel Drapeau, parlant du clocher, reconstruit sous Louis XI, il y a les écrits, les correspondances et aussi des dates que l'on retrouve à la base du clocher. Yves Blomme a longuement épilogué sur la question de l'époque à laquelle la coutume voulait que l'on sorte les reliques des Saintes, les tirant des pénombres pour les mettre en pleine lumière, ainsi présentées à la vénération des fidèles,; cette pratique semble bien installée au XIIième siècle. Sur ce sujet un Allemand en visite à Saintes, vers 1490, avait déclaré (écrit) bien avoir vu les corps d'Eutrope, d'Eustelle et d'un autre saint. Pour le clocher,une date inscrite sur une pierre, 1482, nous dit aussi que cette année là le clocher fut consacré, mais on ne sait pas s'il était alors bien terminé. Quelque-part il a aussi été écrit que... " 150 bouchers, aux ordres du roi, avaient tué Eutrope... " mais aussi... " Quelques nobles chevaliers avaient aussi donné les coups de hache sur la tête du premier évêque de Saintes... " Enfin beaucoup de fantaisies à une certaine époque de notre histoire, mais qui ne servait pas la vérité, et loin de là...! Nous aurons remarqué parmi les assistants, l'ancien maire de Saintes, Véronique, en charge de responsabilité sur le site historique de Trizay, des techniciens de la ville de Saintes, des personnes proches d ela municipalité de Saintes et bien sûr André Péret, éternel... et dévoué paroissien de St Eutrope qui est toujours disponible pour ouvrir l'église, le clocher, voire la crypte. Merci à tous et à chacun pour ces magnifiques moments de partages dans le monde médiéval. A noter des des boursiers, étudiants en histoire de l'art, s'étaient vu offrir la participation à ce congrès archéologique.

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