3 - Quartier de la gare.. parent pauvre - Colombe de la paix - Clair Obscur de Wolfgang Autexier... origines du monde selon Freud

Clair Obscur Sauvage

Wolfgang et ses cygnes

« Clair Obscur Sauvage »

Tout un art, une manière de ne voir que l’essentiel, mais cet essentiel laisse tellement de place à notre imaginaire » (M.S)

Salle Marguerite, dans les bâtiments conventuels, pourtant un lieu où ils ne pouvaient être prononcés, même voir pensés… ces mots où que certains voudraient bien voir un certain langage des signes (ou cygnes), est-ce les « origines du monde » sauce courbet, mais à la sauce Wolfgang et à savoir tant de psychanalystes, tel Sigmund Freud !

Wolfgang revient de Bruges, il partira bientôt vers d’autres capitales européennes pour distiller ses connaissances, essentiellement dans l’art de la photo, mais aussi de ses chers cygnes et libellules. Bien sûr tout cela décliné en « Clair Obscur Sauvage » et bien d’autres concepts dont il a le secret et qu’il va dévoiler aux divers publics rencontrés.

Il maîtrise bien, alors…. Action…

En prologue, détails techniques sur ces cygnes, en raccourci cela va de soi.

Oui le cygne est un oiseau qui vole bien. Quand ce cygne traverse notre ville, on les connait bien ceux de Saintes, en général il évolue vers 60km/h. Quand il s’envole, d’un coup de ses pattes il se donne de l’élan, en effet à moins de 6/7 km/h il retombe au sol, c’est la vitesse critique. Petite astuce de ce « plumeux », l’eau ne doit pas rentrer dans son plumage, aussi il va chercher dans une glande située dans son soubassement arrière un produit qu’il se passe sur le plumage, ainsi l’eau par effet électrostatique se transforme en gouttes et tombe au sol. Mais il faut compter sur les prédateurs aussi le cygne est très protectionnisme, de nombreux petits finissent entre les dents des silures, sandres et autres carnassiers. Mais comment s’appelle les cygnes de notre Saintonge..

« A Saintes, dans notre région ces beaux oiseaux blancs ce sont des cygnus Olo, dans la Grèce antique les cygnes étaient sacrés ».

Au cœur du « Clair Obscur Sauvage », toujours avec W.A.

Il y a deux manières de photographier, soit le direct avec la couleur et le visuel immédiat, soit un visuel très simple, presque dans l’irréalisme.

L’irréalisme permet le questionnement, on voit alors réellement ce que l’on aperçoit, mais avec une interprétation très personnelle. Cette possibilité est rendue possible avec cette pratique des photos dites « clairs obscurs », déjà la peinture, via Le Caravage (en 1560), avait ouvert cette voie, qui ne s’est pas interrompue depuis. Ce clair obscur cela peut être l’immortalité de personnes, d’éléments. Souvent cela permet une étude sur l’essentiel.

Sauter du numérique, voire de l’argentique, et se retrouver en 1650, même près de Léonard de Vinci, pourquoi-pas. En effet S.Freud était un admirateur inconditionnel de Léonard de Vinci,  Ce psychanalyste analysait aussi bien les humains que les peintures, de là au visuel de notre interprétation des « clairs obscurs » il n’y a qu’un pas.

Dans ces histoires des créations picturales, combien de fois ont été frôlés sexualité, érotisme, ceci souvent avec le concours de nos cygnes, rappelons-nous ces tableaux sans aucune équivoque.

Une petite heure et demie, à vol d’oiseau entre notre imaginaire et les beaux cygnes, en irréaliste ou en couleur en décor environnemental évident, nous en a appris un peu plus  sur un symbolisme sur lequel se sont penchés de nombreux « psy ». Décidemment les origines du monde seraient bien le vecteur de l’imaginaire…..  Cela c’est clair…  mais parfois un peu obscur.

Merci à Wolfgang qui fut un bon professeur dans l’hémicycle au parfum de moniales.

Quittons cette salle " Marguerite " (symbole de la pureté, comme semblent le montrer ces nombreuses fleurs sculptées sur l'abbaye), pour aller au pied de l'arc de Germanicus en pleine toilette, puis rue de Madère, vieux quartier de Saintes, du moyen-âge et certainement occupé à l'époque gallo-romaine..

Dernières minutes.. deux photos du voyage de Wolfgang à Bruges et pour la petite histoire... W.A est l'auteur des photos des fameux " Parapluies / ombrelles ".

La médaille de W.A et la galerie de Bruges.. expo Saintes.

*****************************************

Plus comme autrefois...

Faute de trains..... et de voyageurs..!

Au hasard des hôtels.... quartier gare / Saintes

Désertification... rien de moins vrai pour Geneviève Bibard, propriétaire gérante de on hôtel " Le petit Parisien " depuis 1992. Toujours de la clientèle en suite continue, mais ses petits plus sont convaincants.

Côté rue, côté jardin il n'y a pas photo....! Et en plein centre du quartier rive droite, certes aux confins du quartier Gambetta.

" Le Parisien "

C'est...

- Une ambiance familiale avec ses petits déjeuners en famille.

- Un superbe espace jardin, vaste et aux extrémités un parking.

- Neuf chambres sont offertes, de 31 à 70 €.

- Petit déjeuner.. 6 € 50

- Pour les personnes qui prennent pension, prix spécial.

A même pas 3 mn (à pied) de la gare, avec aucune nuisance sonore, ce lieu est une agréable surprise, même pour les passagers d'une nuit, à entendre un commentaire (souvent rengaine) de clients....

" Havre de paix, petit paradis "

-----> Hôtel le Parisien - 29, rue Frédéric Mestreau - Saintes

Téléphone: 0546742892

Nouvelles de la Colombe

Sauvée par Delphine

Merci Delphine, surtout que ce messager de paix nous sera plus que jamais utile.